Chapitre 29

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Bonjour tout le monde ❤️ Je voulais déjà vous remercier pour votre soutien depuis le 04 avril lorsque j'ai posté le prologue et le premier chapitre du premier tome de mon histoire : « Ces mots dans ma tête - Ademo ou Tarik ». Je voulais aussi vous remercier pour vous 11 400 lectures et vos 1 000 votes. Je ne me rends toujours pas compte de ces chiffres pourtant si énormes. C'est comme si je vivais un rêve éveillé depuis plusieurs mois. Je n'aurais jamais cru atteindre cela. À la base, je ne le faisais que pour vous partager mon univers, mes idées, mes histoires. Je m'étais dit que si ça ne marcherait pas, cela n'aurait pas été très grave, même loin de là. Avec seulement 5 lecteurs j'aurais été heureuse. Mais voilà, vous êtes bien plus que 5. Je dois vous annoncer quelque chose à la fin du chapitre, mais avant je tenais à vous remercier. Maintenant parlons du chapitre. On arrive enfin à ce que vous attendiez tous (je pense) depuis longtemps : le lemon. Pour ceux qui ne savent ce qu'est un lemon, c'est une scène de sexe explicite. Je sais que mon histoire n'est pas dans la catégorie adulte. C'est voulu. Car je pense que pas mal de jeunes ayant 15 ans ou plus sont tout à fait matures pour comprendre, lire cela sans être choqués. Pour ceux que cela dégoûte, gêne, choque, je vous invite à ne pas lire ce chapitre, qui est au trois quart un lemon. Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisiez. Alors merci de ne pas lire ou signaler l'histoire si vous êtes sensibles à ce genre de chose. Je voulais aussi remercier ma correctrice pour ce chapitre : @MarianneLiguiere, l'auteure de « Aux noms des siens » ; ainsi que celle qui a relu mon lemon et y a ajouté son grain de sel pour qu'il soit parfait : @clemmrt, une des deux auteures de « Nos Démons » . Si vous avez 15 ans ou plus et que vous n'êtes pas choqués par ce contenu, je vous souhaite alors une bonne lecture.


Chapitre 29


-Leia-


Il ne restait déjà plus qu'un mois avant les vacances de février. Le temps passait à une vitesse folle. La deadline me rattrapait. L'ambiance de la classe m'empêchait de bien travailler. J'étais sous pression. Pourtant, je travaillais mieux à l'école. Mais ces derniers temps, je me réfugiais de plus en plus chez moi, malgré les nombreuses tentations. J'étais la reine des charbonneuses, mais j'avais la plus grande des flemmes. Ce poids m'empêchait de bien travailler. Cela m'angoissait, et sous le stress, je faisais souvent de la merde. Les jours courts dus à l'hiver, pourtant que j'affectionne tant, me rendaient morne. Je perdais de plus en plus ma motivation.

Mais c'était mon projet, mon rêve. Alors, non, je n'abandonnerais pas, je le refusais. Je me battais tous les jours. Je finirais ce putain de court-métrage !

Heureusement que ma famille, mes amis et les QLF étaient là. Depuis que j'avais rencontré Tarik, tout avait changé. J'avais enfin l'impression de ne plus être seule dans cette capitale pourtant si remplie. Tonia m'envoyait aussi des messages régulièrement. Son amitié était très précieuse à mes yeux. Malgré le fait qu'elle habite en banlieue, nous avions entrepris une correspondance. J'adorais les lettres, la papeterie, les mots. Je savais la puissance qu'ils ont. Je pensais que dans une autre vie, j'aurais aimé être auteure. Je continuais aussi de courir tous les dimanches avec Elizabeth. Avant les vacances, je dois passer quelques jours chez elle en banlieue avec ses parents. J'aime tellement aller chez elle, il y a des poules et un coq. Il y a aussi plein de chats. Ses parents ont un grand jardin. Leur maison est à côté d'un ranch. Mon dernier séjour chez elle avait été si apaisant, comme hors du temps.

Mes pensées partirent vers un autre sujet, le corps de Tarik. Je ne sais pas ce que j'avais depuis quelques jours, je ne pensais qu'à ça. Sûrement les hormones. Ma libido faisait n'importe quoi en ce moment. Alors, oui, je rêvais de lui, de son corps, de nous l'un contre l'autre. J'avais envie de sentir ses lèvres sur ma peau, ses grosses mains au creux de mes reins ou sur mes seins, sa langue le long de mon dos, son torse contre ma poitrine. Je voulais ressentir de nouveau la peau contre peau. J'avais envie que Tarik me fasse l'amour comme jamais. J'avais envie d'être spéciale.

1 - Ces mots dans ma tête - Ademo ou TarikOù les histoires vivent. Découvrez maintenant