🌻Chapitre 48🌻: Renfort

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Imogène appella Jihaa après avoir reçu un appel d'Alec, le directeur de l'institut de New-York. Les deux femmes de pouvoir discutaient et elles étaient d'accord sur un point. Elles allaient devoir se déplacer jusqu'à cet institut qui avait grandement besoin d'aide. De plus, Idris est la capitale des shadowhunters et cette ville avait beaucoup d'armes puissantes, contrairement à un simple institut et de toute évidence ces démons ne mourraient pas au contact d'une arme basique.

- Alors c'est décidé, nous allons à New-York. Conclut Imogène.

- Inutile de faire paniquer la population, ordonne à nos guerriers les plus robustes de venir, ma fille se joint à nous aussi. Rajouta Jihaa.

La consule appella un sorcier, ils allaient avoir besoin d'un portail. Jihaa prit plusieurs armes puis au bout d'une heure ils étaient près. Mais en une heure, beaucoup de choses s'étaient passé.

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Les shadowhunters de New-York étaient dépassé par les événements, il ne restait presque plus personne dans l'institut, la plupart des guerriers se baladaient dans les rues. Ils ne pouvaient pas faire grand-chose étant donné qu'ils ne savaient pas de quel race était ces démons mais les chasseurs pouvaient protéger les terrestres. Les humains avaient besoin d'être rassuré, alors ils obtenaient l'aide des guerriers pour se réfugier quelques part.

Malgré l'absence de combat, beaucoup de nephilims revenaient blessé et les victimes avaient peur de se transformer en esclave sans libre arbitre. Les infirmiers aux sang d'ange étaient dépassé par les événements, ils avaient beaucoup trop de patient et ils ne pouvaient pas tous les soigner avant leur transformation.
Les blessés qui attendaient étaient enchaîné dans le couloir au cas ou ils devenaient incontrôlables. Ils avaient peur.

Clary, Izzy et Romy étaient partis dans les rues, le trio voulait aider les terrestres et elles ne supportaient plus de voir des gens revenir blessés chaques secondes à l'institut. Les filles n'avaient vu aucun démons pour le moment.

Simon était parti prévenir les plus grandes figures du monde obscure de New-York, dont Luke qui était l'alpha de la plus grande meute, Raphaël qui de même était le leader d'un des plus grands clan de vampires de cette ville, Magnus qui était le grand sorcier de Brooklyn et la Reine des fées, qui comme son nom l'indique, est la reine, les fées n'obéissent qu'à elle sans remettre en doute ses ordres. Les loups-garous, les fées, les vampires et les sorciers allaient aider les shadowhunters, malgré le fait que la plupart était contre les lois de l'enclave. Après tout, leur ville était en danger.

Alec et Jace restaient à l'institut, le brun devait rester ici pour surveiller la situation et continuer à donner des ordres, malgré le fait qu'il ne savait pas comment faire pour régler ce problème. Le blond soutenait son parabatai et aidait les infirmiers ainsi que les blessés mais par dessus tout, il attendait sa grand-mère. Le duo avait été mis au courant que l'enclave envoyait des soldats et toutes sortes d'armes qui pourraient s'avérer utile. De plus les deux hommes paniquaient à l'idée de savoir Clary et Isabelle dans les rues, elles pouvaient être blessés à tout moment et devenir une sorte d'esclave.

Jace appelait souvent sur le portable de la rouquine pour avoir des nouvelles, il était terrifié à l'idée de la perdre. Il l'avait déjà réanimé une fois et il ne voulait pas recommencer. Ce jour-là avait été un des plus mauvais jours du blond, le simple souvenir de cette journée était atroce pour lui. Quand il avait entendu le sorcier dire qu'elle ne respirait plus il avait eu l'impression de suffoquer et il ne voulait pas revivre ça.

Le blond entendait des shadowhunters qui essayaient de s'échapper, ils étaient possédés et essayaient par dessus tout de casser cette chaîne. Certains avaient réussis leur tentative et Jace avait dû les tuer, il était hors de question que ces nephilims sortent de l'institut. Les possédés n'avaient pas de pouvoir supérieur à un autre nephilim, ils ne ressentaient plus de douleur physique ni psychologique et c'est pour ça que la plupart n'essayaient pas de redevenir comme avant, car leur vie étaient tristes. Le seul moyen de les arrêter pour le moment était de les tuer ou les endormir, mais l'option numéro 1 était plus sûr. Jace souffrait de devoir tuer certains de ses collègues, dans le lot, il y avait même des amis à lui.

Shᥲdoᥕhᥙᥒtᥱr : Pᥲrᥲbᥲtᥲι Où les histoires vivent. Découvrez maintenant