Destin d'une Potter, Tome 1

Chapitre 4

-Irlande a gagné, criai-je en sautant de mon siège. C'est qui qui vient de gagné des chewing-gums phosphorescents.
-Ouin, mais tu oublie que j'ai parié que Krum allait attraper le vif d'or, me contredis Loïc.

Nous nous regardons dans le blanc des yeux et je fini par soupirer.

-Bon d'accord, tu m'achètes mes chewing-gums et je te redonne ta carte. Ok, lui demandai-je.
-Ok

Nous descendons de la loge tranquille pas vite. Arrivé à notre tente, nous festoyons on peu et allons nous couché. Ma cicatrice se met soudain à chauffé comme un charbon. Je me redresse sur mon lit en gémissant de douleur. Encore une peu dans mon cauchemar, je pense au début qu'Alfred est là. Puis quand ma vision, s'adapte avec la noirceur de la pièce, je comprends que c'est mon croissant de lune qui me brule. Je cours jusqu'à la salle de bain et inspecte tant bien que mal ma cicatrice. C'est pas évidents car elle est derrière mon oreille. Elle doit être rouge sang. Je pose un linge humide dessus. C'est bizarre habituellement elle chauffe quand... un danger est proche! Des hurlements appuient ma théorie.

-Hailey, hurlai-je en courant dans sa chambre, Hailey réveille toi! Vite!

Je défonce la porte de sa chambre.

-Quoi, cri-t-elle. Qu'est-ce qui se passe?
-J'en sais rien. Mais il se passe quelque chose de pas normal et de dangereux. Va directement voir les Diggory et reste avec eux.
-Et toi...
-Fait ce que je te dit, lui criai-je après en sortant à l'extérieur de la tente baguette à la main.

Bon, je retire ce que j'ai dit un peu plus tôt, je suis carrément suicidaire. La vue qui s'offre à moi est épouvantable. Des gens courent de partout vers le bois. Ils fuient quelque chose qui traverse le pré dans notre direction, où plutôt une foule de personne masqué qui se moquent. Au dessus-d'eux, à plusieurs mètre, flottent quatre silhouettes qui se débattent.

Je me fige. Des images de moi criant de douleur me revienne, mes cris, ma douleur, mes supplications.

-C'est pas le moment, Mia, me criai-je après en secouant le tête.

D'autres sorciers sont en train de se joindre à la troupe masquée, montrant du doigt avec de grands éclats de rire les quatre corps qui flottent dans les airs. Des tentes s'effondrent sur le chemin de la foule en marche qui ne cessait de grossir à mesure qu'elle avance. Plusieurs tentes prennent en feu et les hurlements augmentent.
Je me détourne du spectacle et pars aidé une femme qui est pris sous un débris qui commencent à prendre feu. Bill arrive brusquement à côté de moi au moment où un projectile en feu atterrit sur mon bras gauche.

-Qu'est-ce que tu fais ici, me crie-t-il en m'aidant à enlevé la colonne de bois. Va te mettre en sécurité comme les autres.
-Mais je veux aidé, m'écriai-je scandalisé.
-Tu nous seras plus utile à soigné les rescapés blessé, dit-il. Ron nous a dit que tu avais la basse.

Je souffle et prends la direction de la forêt, en même temps sa me rassure. Un cris d'enfant arrive à mes oreilles. Paniqué, je me retourne en direction des pleures. Je cours en direction du cartier Irlandais. C'est comme une évidence, il est là bas, blessé, apeuré et seul, sans ses parents. Je n'entends plus rien d'autre que ses petits cris. La foule de sorcier malfaiteur arrive de plus en plus dans cette direction. Quand j'arrive aux tentes vertes, je fonce derrière la petite girouette. Je vois un petit corps recroquevillé sur lui même.

-Nahil, m'écriai-je en prenant son petit corps dans mes mains. Sa va ok, je suis là maintenant.
-Maman, chuchote le petit au yeux vert en s'accrochant à mon coup.
-Oui, on va trouvé ta maman.

Je regarde derrière moi et vois que les sorciers ne sont plus qu'à une cinquantaine de mètre.

-Accroche toi mon chou, bien fort, dis-je.