-Quartiers pauvres de BERLIN-
*PDV Moe*
Vendredi, 22heures 30
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-Tu es si belle Maureen. Dit-il en me léchant la peau de la base du cou à la vallée entre mes seins.
-Ah... gémis-je.
Bon Dieu prend moi ! Non pas toi seigneur, lui.
-Louis...
-Chut, patience ma belle, laisse-moi prendre mon temps, laisse-moi te savourer, te goûter dans tous les recoins désireux de ton magnifique corps. Dit-il en prenant durement en coupe mes seins.
-Ah ! Oui... Plus fort. Gémis-je en me cambrant encore plus vers ses grandes mains.
-Tu es tellement bandante en ce moment, là, à ma merci, quémandant ma queue à l'intérieur de ton sexe mouillé. Dit-il en bougeant son bassin contre le mien.
Bordel je sens son pénis dur et enflé contre mon sexe en nage. Je le veux en moi, mon corps s'enflamme, mes yeux roulent vers l'arrière et j'ai les larmes aux bords des yeux.
-PRENDS MOI ! S'IL TE PLAIT PRENDS MOI FORT LOUIS, JE TE VEUX TOUT DE SUITE. Implore-je en le repoussant de sur moi ce qui lui fait perdre l'équilibre et retomber contre le sol.
Je ne perds pas plus de temps pour me jeter sur lui à califourchon et prend rapidement les devant. Je lui serre fermement la queue dans le creux de ma main et joue avec ses boules.
-Ah... Doucement ma belle, c'est_ Ah... fra- fragile. Gémit-il.
-Je ne peux plus attendre. Annonce-je déterminée en plaquant durement mes lèvres contre les siennes.
On s'embrasse avec détermination, passion et désir. Le désir de se toucher, de s'explorer, de se découvrir et en quelque sorte d'assouvir un besoin charnel mutuel sans prise de tête.
Je retire ma main de sa queue tendue et la plonge dans sa masse brune de cheveux en les tenant fermement pour approfondir notre baiser. Je me déplace de sur lui de sorte à ce que chacune de nos intimités soit en contact direct puis je roule des hanches en appuyant fort les frictions et dans des mouvements rapides nous arrachant des gémissements entre nos lèvres en mouvement.
Il plante ses mains fermement sur mes hanches et m'aide à aller de plus en plus vite sur lui. Je sens le bout de son sexe appuyé contre mon entrée barré par le tissu de mon short et putain ce que je hais ce short en cet instant.
À bout de souffle, il brise le baiser et rejette sa tête vers l'arrière pour mieux savourer notre contact. Sa bouche ouverte en un "ah" silencieux.
Ce qu'il peut être sexy et vulnérable comme ça. J'accélère encore le rythme puis plonge ma tête dans le creux de son cou pour goûter au délicieux parfum de sa peau halée.
-Putain ! Hurle-t-il en relevant les hanches lorsque je mords dans sa douce chaire. Merde, j'en peux plus. Dit-il le regard brulant et déterminé en me faisant basculer sur le dos.
Il se relève rapidement et me tire par les mains pour que je sois debout face à lui.
-Enlève tes vêtements. M'ordonne-t-il en se déshabillant lui aussi.
Je me hâte de retirer les maigres bouts de tissus qui me recouvrent tout autant excitée qu'il peut l'être.
Une fois tous deux nus, il m'attire à lui avec force et m'embrasse avec une fougue déconcertante. Je sens sa queue bandée contre la peau de mon ventre et ça me fait mouiller encore plus. J'aime me sentir désirer, j'aime ce feu qui l'anime, j'adore tout de ce qu'il me fait en ce moment mais je veux encore plus, beaucoup plus.
Soudain il soulève une de mes jambes, m'obligeant à sauter et entourer ses hanches de l'autre autour de sa taille.
Il renoue ses lèvres aux miennes et entame une marche vers certainement sa chambre. Ses mains pétrissent durement mon cul, faisant entrer en contact nos intimités désireuses. L'air devient lourd, chargé d'électricité. Je le sens me poser sur une surface dure et glacée. Lorsque je sépare nos lèvres et ouvre les yeux, je découvre avec surprise qu'il nous a mené jusqu'à sa cuisine et je suis présentement assise sur le comptoir en marbre.
-Ce n'est pas le moment de faire de l'observation ma belle. Concentre-toi sur moi et ouvre tes belles jambes. Dit-il en se tenant la bite puis il la secoue devant mon entrée et donne de petits tocs.
Dès que je les ouvre, il s'enfonce brusquement en moi m'arrachant un cri de plaisir... ça fait bien longtemps que je ne ressens plus de douleur avec ce genre d'entrée. Pas que je suis un caoutchouc usé mais j'aime le sexe et je couche autant de fois que mon corps me dicte. C'est le mien alors je n'ai pas peur ni honte de le dire, j'aime le sexe. Lorsqu'un homme est en moi et qu'il me possède, ces quelques minutes ou quelques fois secondes sont les instants où je me sens la plus vivante, la plus femme.
-Ma belle... gémit-il. Tu es si mouillée, si sucré. Ah...
Et il se met à me pistonner, fort, rapidement et presque sauvagement. Tout comme j'en rêve. Lui c'est un homme, un homme comme il me fallait.
-Ah... Oui Lou_ Oh... Encore, oh mon Dieu encore ! Comme ça, oui s'il te plait, oui ! Hurle-je.
Je passe une jambe par-dessus son bras gauche qui tient fermement ma hanche pour m'empêcher de bouger, lui donnant mieux accès à mon centre. Le nouvel écart lui permet d'aller encore plus profondément en moi.
-Ah ! Putain Moe... Tu es tellement bonne putain !
Je le sens devenir encore plus dur en moi. Je sais qu'il est proche de la jouissance, tout comme moi et je mouille encore plus.
-Moe... Viens, viens pour moi, allez ma belle ! Dit-il désespérément.
Dieu ce que j'aimais cette sensation de pouvoir que j'ai sur lui en ce moment. Je descends une de mes mains qui entoure son cou et la glisse entre nous pour masser mon clitoris, décuplant mon plaisir.
-Oh putain oui ! Oui ! Laisse-moi regarder Moe. Ah... bordel ce que tu es sexy. Dit-il en regardant les mouvements de mes doigts.
Il donne encore deux autres coups de reins nous faisant enfin atteindre l'extase. Je le sens se déverser à l'intérieur de moi. Nos respirations saccadées, on peine à redescendre de notre nuage post coïtal. Il a la tête enterrée dans le creux de mon cou et je sens son souffle chaud entre coupé sur ma peau encore sensible.
Après quelques secondes, il se retire lentement de moi, haletant puis retire le préservatif usagé qui lui recouvre le pénis à moitié en érection à présent. Bordel de_ Le préservatif ! Je n'y ai même pas pensé avec tout ça. Putain je n'ai jamais été aussi négligente. Tout ce que je sais, c'est que je le voulais en moi et je me fichais du reste. Merde mais quelle idiote !
Cet homme... il est dangereux pour ma tranquillité d'esprit. Je déteste et j'aime ça. Il faut que je me reprenne.
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-Hey ! Moe, reviens sur terre ou tu vas te faire engueler par le boss.
Je reviens rapidement sur terre pour me concentrer sur le lieu où je me trouve notamment le bar où je travaille. J'ai découché hier pour rester la nuit avec Louis et quelle nuit !
J'ai hâte de recommencer.
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Naughty Harry, débuts de la passion
RomanceSYPNOSIS -Je sais que tu en as autant envie que moi Nina... dit-il en posant de doux baisers au creux de mon cou, me faisant frémir. -Non. Laisse-moi tranquille Harry. -Allons Nina, laisses-toi faire bébé. Je sais que tu me désires. Tu peux le nier...