[III] L&L

XXXX

Je pense mon plus gros défaut...
je m'attache trop rapidement aux gens et ça fait chier.... vraiment chier

ok alors je suis triste d'accord et... je sais que c'est badass ce que je vais faire mais....

Je sais que je dois pas écrire de chapitre quand je suis dans cet état parce qu'après je vous rend plus triste que moi mais wallah j'y peux rien je veux que vous soyez triste aussi.

(02-03-2020)

<< Cuánto duelen las pequeñas cosas en la vida
Cada beso tuyo lo recuerdo como ayer >>

Pdv de Lya

Je pense qu'hormis cette phrase où il insinuait que ma mère allait bien, mon cœur.... cette vidéo m'horrifait à un point...

Par cette phrase qui me rendait heureuse... j'avais la confirmation que... cet homme que j'aime n'est.... il n'est tout simplement pas humain, tout simplement pas normale.

Comment peut-on ressentir du plaisir à tuer quelqu'un.

Comment????

Riyad : je vais me le faire ce fils de pute je vous jure que je vais me le faire.

J'étais dans ma bulle là, j'essayais de me raisonner, de me dire de ne pas avoir peur de Lyam, que c'est toujours cet homme que j'ai connus mais....

L'ai-je vraiment connus ?? Est-ce que j'ai connu le vrai Lyam. Sa réputation le précède pourtant, elle ne cesse de parler pour lui et je m'efforce à le considérer comme un être normale... mais a partir du moment où tu ressent du plaisir en tuant quelqu'un tu n'es plus humain. Tu ne l'as même jamais été.

Je me lève désireuse de partir me défouler dans la salle de sport mais l'homme en face de moi ne daigne pas bouger puisque son maître ne lui en a pas donner l'ordre.

- vous voulez bien dire au toutou que je veux retourner dans ma chambre.

Izzar: Lya....

- vous avez quoi a à tous me sortir aujourd'hui non ce n'est pas le moment, toute façon avec vous ce n'est jamais le moment pour rien. Je veux retourner dans ma chambre c'est pas fameux ce que je demande non.

Apparemment c'est tout ce que Riyad demandais, un souffre douleur et je venais de lui être servit sur un plateau d'argent.

Il se rua sur moi tel un prédateur sur sa proie. Il prit ma tête qu'il lança contre le mur. Ça va là douleur était supportable, ce n'était rien en comparaison à celle d'une balle.