[III] L&L

XXI

Bye trump ✌️😂

<< chacun d'entre nous à son histoire, certaines sont dignes de devenir des chef-d'œuvre de Disney et d'autre des comptes de Grimm>>

PDV de Lya.

-J'étais plus proche de mon père que de personne d'autre dans ma vie. Alors quand il est mort j'étais au fond du trou. Ma mère n'en parlons même pas elle est devenue une toxico qui n'en avait plus rien à foutre de sa fille. Le plus important pour elle était d'avoir de la bonne came. J'ai vécu avec ma grand-mère pendant trois ans. Et durant ce temps j'en voulais à ma mère de ne pas être là pour  moi. De préférer se défoncée plutôt que d'être à mes côtés. Moi aussi j'avais mal. C'était mon père qui était mort mais elle s'en foutait. Ensuite, après une longue discussion avec ma grand mère, sa mère, elle parti de son plein gré en cure de désintoxication où elle y fait un an. Elle était vraiment accro à ce truc. Elle en sorti lorsque j'eu 12 ans. Et à ce moment je ne voulais même plus être à ses côté. J'avais été élevé par ma grand mère, ce n'était plus ma mère mais la femme qui m'avait mise au monde. Un jour où elle recevait ses amis, elle voulut me changer et faire de moi la parfaite petite fille qu'elle voulait parce que ses amis n'aimaient pas me voir tout le temps en noir. On se disputa violenment et je parti, je voulais juste prendre l'air. C'est là que je le vis, le fameux Izar...

Je le sentis frémir à l'entente de ce nom. Je savais que ces révélations ne lui ferais pas plaisir mais il voulait connaître mon histoire, il devait connaître mon histoire, aussi sombre soit-elle et j'avais besoin de me libérer aux risques de vraiment devenir folle et faire la plus grosses erreur de ma vie.

-il était en quelque sorte le chef de notre quartier. Il avait 16 ans à cette époque. Je parti traîner avec lui et ses potes et... c'est là que ma vie à virer au cauchemar. Si je le savais jamais je ne serais sortie de cette foutue maison et j'aurais mis cette robe de merde qu'elle voulait tant que je porte. Je me mis à sortir avec Izar, va savoir pourquoi nous les femmes nous sommes toutes attirer par l'homme dangereux et crains par tous. Petit à petit il pris de l'ampleur dans le quartier, il balaya tous les autres caïds puis pris officiellement la place de leader du quartier, rien ne bougeait sans qu'il ne le souhaite. Lorsqu'il eu 17 ans je voulut lui offrir un cadeau spécial mais fauché comme j'étais et n'étant pas en bon terme avec ma mère je me dis pourquoi pas....?Certes t'as 13 ans mais y'a des filles plus jeunes que toi qui tombent enceinte.

Sa main qui entourait la taille, me sera un peu plus lorsqu'il compris où je voulais en venir.

- petit à petit il gravit les échelons et c'était tout le pays qui était sous son contrôle. J'étais toujours là pour lui j'en délaissais même ma mère qui me conseillait et me forçait de rompre avec lui. Je trouvais et pensais qu'elle n'avais pas son mot à dire dans ma vie. Alors lorsque j'eu 15 ans je fuis la maison et parti vivre avec lui. Je l'aidait à se faire toujours plus d'argent.  Il me donnait l'impression d'être sa bonnie et lui mon clyde. Il m'avait appris à tuer, il m'avait fait aimé le meurtre hum.... Ce que je pouvais être conne aussi. Un jours, il me dit qu'il devait aller faire une transaction mais qu'il ne se sentait pas bien alors naturellement et avec toujours cet envie de l'aider je me suis dis pourquoi pas. Je peux bien y aller à sa place toute façon j'étais connus dans le milieu pour être son bras droit. Si j'avais sue j'aurais moi aussi feins une maladie. Ce n'est que lorsque je parti au lieu du rendez-vous que je compris que c'était moi la transaction. Il venait de m'offrir, pour une plus grand part du Canada, à un malade qui eu vent de mes capacités et qui voulait se les approprier. Il me forma à être plus sanguinaire, plus précis dans les tire, il éteignit le peu d'humanité qui était en moi. Là-bas je me fis des amis, des vrais comme des faux. Il fis plusieurs équipe qui faisait plein de casse dans le monde. Mon équipe à moi était composé de quatre autres perosnne. Moi la snipeuse, Marc le catcheur Amanda la hakeuse et Andrea la psychanalyste censée maintenir le groupe saoudé. Andrea était ma préféré. Elle était la seule qui m'apaisait et qui me donnait un semblant de joie dans ce camps forcé. Au début je l'avais mal pris mais Izar m'avais convaincue que c'était pour notre bien et que très bientôt je le reverrais. Que ce n'était que provisoire et conne que j'étais je l'ai crue.