[III] L&L

XIX

Là je vais mieux. Je dis pas que c'est la grande forme hein mais je vais mieux qu'il y'a quelque heures. C'est déjà ça 🤧.

<<fuis moi je te suis...>>

PDV de Lya

Je me réveille le corps plein de courbature. Je comprend pas comment dormir sur un lit hors de prix peut te donner la même sensation que de dormir sur un lit bon marché. Il devrait vraiment penser à se faire rembourser.

Je sortis de mon lit et avec la plus grande peine du monde parti prendre une douche. Je mis ensuite les vêtements qui étaient sur ma chaise et sortis de ma chambre.

Nouveau pays, nouvelle maison, nouvelles habitudes, nouvelle routine. Maintenant je me hais d'avoir pris cette décision, de ne pas être rester au près de ceux que j'ai considérée comme les miens l'espace d'un court instant de bonheur.

Il devait être 15h chez eux et Carlos, toujours dans l'exagération la plus extrême serait parti dans ma chambre pour s'assurer que je vais bien. Il aurait trouver la lettre sur ma table et après l'avoir lut l'aurais ramener au reste de la bande. Lyam aurait eu ce même rictus amer qu'il a chaque fois qu'une envie malsaine est passé dans son esprit. Il serait ensuite parti dans sa chambre sans dire un mot et aurait essayer de voir dans quel sens il devrait prendre la trahison que je venais de faire parce que oui pour lui je venais de commettre un crime de guerre.

Le trahir alors qu'il m'accordait sa confiance traduit un manque de bon sens et de discernement aigu.

Je suis seule dans cette maison de fou et ça m'énerve. Bon je ne suis pas vraiment seul Riyad a eu la gentillesse de me laisser avec ses amis à lui censé me surveiller le temps que l'équipe arrive.

Une équipe qui est censé venir dans deux heures pour rencontrer leur dernier membre et pofiner les détails d'un plan dont j'ignorais l'existence y'a encore trois heures et 26 minutes.

Je partis dans la cuisine me faire des lasagnes tout en écoutant de la musique afin d'essayer de me détendre. Sauf que manque de bol pour moi il n'y avait aucun couteau ni aucun couvert en métal, il était tous en plastique.

Il est bien drôle celui là et comment suis-je censé me restaurer, par la pensée.

Écoute moi bien Riyad déjà que tu me force à quitter un endroit où j'étais logé et nourris gratuitement et correctement c'est pas pour venir me forcer à faire jeune et prière. Je peux pas faire ton coup si je manque de force pour tenir mon arme.