[III] L&L

X

Comment vont mes gosûr

<<l'être humain est si prévisible...>>

Pdv de Lya

Marcos: suis moi nous allons parler dans un coin plus calme.

Jason nous suivit sans renchérir, arriver au salon de la maison nous nous assîmes tous sur les fauteuils à disposititon.

Marcos: vous vous connaissez d'où?

- c'est mon cousin.

Jason: maintenant tu m'explique ce que tu fais quoi ici?

-je suis en mission et toi?

Jason: je boss ici.

- tu quoi????

Jason: je ne pouvais plus bosser chez Lyam et vus que je dois gagner de l'argent je suis venue dans la seule favelas qui n'en a rien à foutre de Lyam.

- d'accord. Jason la prochaine fois que tu oses parler de ma mère comme ça, je te jure que tu ne termineras pas la journée vivant.

je suis parti dans ma chambre me reposé. Demain je dois commencer mon repérage dans cette favelas. Jamais de toute ma vie je n'aurais envisager tout faire pour entrer dans une mafia.

je me réveille aux environ de dix heures comme ça, je prend une douche rapide et je descend me faire un petit déjeuner tout aussi rapide que la douche que j'ai pris pour ensuite sortir de cette maison. je detestait la tenue que je portais, je détestait Lyam pour cette personne qu'il me forçait à redevenir.

concernant la tenue, vue que mon objectif est de me faire repérer par des gars qui ont la queues facile, j'ai mis une longue robe noire près du corps avec de fine manche et comme chaussure je mis des sandales, pour la coiffure, je laissa mon chignon qui ne ressemblait à rien et me fit un beau et magnifique chignon bien plaqué, et au lieu d'enrouler les cheveux qui vont pendre, je l'ai est laisser retomber jusque dans le bas de mon dos, faut dire aussi que j'ai des cheveux plutôt long.

Marcos: ça ne rigole plus.

-plus vite ils voudront de moi et plus vite je pourrais rentrer chez moi.

Marcos: tu devrai aller au parc qui est en bas, généralement c'est là-bas qu'ils traînent, et peut-être qu'avec un peu de chance Emilio sera là.

je lui fis un hochement de la tête puis pris la direction du parc. évidement, les yeux de tout le monde étaient sur moi, une nouvelle qui fait la belle, évidement que ça ne passe pas inaperçu.

Arrivé au parc, je me mis dans un coin, écouteur aux oreilles et j'étais prête pour l'analyse de tout ce qui m'entoure. Il y'avait dans un coin reculé du parc près du mur des hommes tatoués de la tête aux pieds, cigarette en main entourés de filles toutes en chaleur sur eux.