VIII

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Je vous aime aussi mes bb ne vous en faites pas😂😂


































































<< il arrive dès moment où même  le diable sait faire preuve d'humanité... ou du moins d'un semblant d'humanité >>



























































Pdv de Lya







































































Le regard que me lançait Lyam à ce moment n'avais rien d'agréable, au contraire, je pense qu'il ne reflétait que la haine qu'il ressentait en ce moment mais que je sache je n'ai rien fais de mal.

Il dit un truc en Espagnol à l'homme qui m'a ramener ici et celui-ci s'en alla me laissant seul avec le seigneur des enfers.

Lyam: monte.

C'était sec, très sec et pour une fois, je n'avais pas envie de le contredire. Je n'avais surtout pas envie de prendre ses foudre alors que je n'avais rien fais de mal.

Je le suivis sans un mot dans une grosse voiture noire. Le trajet jusqu'à je ne sais où c'est fait dans un silence des plus glaçant. Une trentaine de minutes après, il se gara devant la villa de la dernière fois.

Lyam: sort.

Je fis ce qu'il me dit et le suivis à l'intérieur. Il nous conduisit dans une pièce qui avait l'air d'être son bureau. À peine les portes fermés que je me sentis propulsé contre le mur. Il ne l'avais pas fais de façon brutal, mais c'était brusque. Pour tout dire je suis même étonnée de ne ressentir aucune douleur dans mon corps.

Il avais son bras droit sur mon cou tandis que l'autre maintenait mon corps contre le mur.

-lâche moi.

Lyam: là maintenant j'ai envie d'appuyer sur ta jugulaire jusqu'à ce que tu ne respire plus. J'ai envie de te voir suffoquer à cause du manque d'oxygène.

Il n'y avait plus aucune chaleur dans sa voix. Ce n'était pas le Lyam que je connaissais. Certes je ne le connais que très peu mais les rares fois où j'étais en présence de Lyam, dans son regard tu pouvais déceler ce petit éclat de joueurs et d'amusement mêlé mais là, je ne voyais rien, ses yeux était noir et terrifiant.

Il me regarda encore dans les yeux tout en pressant lentement son bras contre mon cou. Je commençais à ressentir une forte douleur à ce niveau. Cependant, je ne fis aucun geste de révolte, à quoi cela me servirait-il? Il est mille fois plus fort que moi,s'il le voulait il me tuerait dans la seconde et personne ne viendrait l'en empêcher.

Contre toute attente, il me lâcha et parti se servir un verre d'une des boissons alcoolisées qui traînaient sur son bar.

Lyam: tu étais où ?

- je ne sais pas.

Et c'était la pur vérité, je ne saurais dire où j'etais.

[III] L&LOù les histoires vivent. Découvrez maintenant