[III] L&L

XXIII

Ça fait du bien d'être célibataire les gars n'en doutez jamais néanmoins vous savez pas la chance que vous avez de ne pas être hyperémotivite 🥺. Je vous jure je vous envie de pas voir votre journée gâchée a cause d'une phrase mal placée

<<on ne connaît jamais réellement quelqu'un>>

Enzo et Carlos tirèrent nos assaillant je ne sais où pour leur faire je ne sais quoi et honnêtement là c'est le dernier de mes soucis.

Lyam: elle est où Kayla?

- dans ma chambre. Je vais égalent bien et non t'inquiète c'était un plaisir de me prendre des coups pour sauver vos gueules.

Lyam: t'as survécu? Oui alors me fais pas chier s'il te plaît j'ai déjà pleins de problèmes à gérer.

Ah bon??? Donc je me démêle pour improviser un plan à la con pour venir te sauver alors que tu es la dernière personne qui mérite une bonne action de ma part et tu te permet de l'ouvrir !!! Lyam c'est pas toi c'est moi, la prochaine fois tu pourras crevé devant moi je ne bougerais même pas le petit doigt. Batardin.

Je pris la route de ma chambre et dis à Kayla qu'elle pouvait sortir. La pauvre si c'est comme ça que ça se passe chaque fois qu'elle viens rendre visite à son frère ils serait mieux qu'elle reste en France.

Mais étonnamment lorsqu'elle m'ouvrit la porte je ne vit pas l'ombre d'une peur ni même d'une quelconque crainte. Comme si elle savait qu'il ne pouvait rien  arriver au grand Lyam. Bon se serait bien de souligner que mon intervention était crucial pour son état actuel mais bien sûr on s'en fou.

Kayla : j'imagine qu'il ne l'a pas fait alors merci de l'avoir sauver, de les avoir tous sauver et ce malgré ceux qu'ils t'ont fait.

Elle me fis la bise et sortie de ma chambre. Au moins une qui a bien suivit l'éducation de sa mère.

Je parti me mettre sur le lit et pris un bouquin parce que là il m'était impossible de dormir. Après une activité pareille et avec l'augmentation de cadavre à la longue liste que je traine je n'avais plus envie de dormir.

Vers 7h je sortie de ma chambre et parti dans le jardin. L'air frais du matin mélangé à la rose qui planait encore dans l'air était agréable à sentir sur ma peau.

Lorsque j'entre à nouveau Dans la maison je fus attiré par un couloir que je jurerai n'avoir jamais vue dans cette maison. Je sais que je n'ai pas suffisamment durer ici pour savoir qu'est-ce qui est et n'est pas là mais j'ai fais le ménage de cette maison de fond en comble y'a moins de 24h et je n'ai même pas vue l'ombre de ce couloir. Alors curieuse que je suis je l'emprunte et plus je descendais plus je sentais une aura malfaisante planer autour de moi.

Je savais que ce que je faisais était mal, que je risquerais de voir ou d'apprendre des choses sur eux que je ne voudrai pas et pourtant je continuai ma perpétuelle descente jusqu'à l'origine de ses cris.