XVII

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Je sais pas si vous voyez mais je suis dans ce mood où je ne suis ni triste ni heureuse.
































































<<pourquoi vouloir fuir un démon quant on vit avec le diable>>
















































































PDV de Lya




















































































Je savais que ça s'annonçait risqué, qu'il y avait de maigre chance qu'il accepte mais je devais quand même tenté le coup.

Marcos: demande à Lyam la permission tu n'es pas sa prisonnière, tu n'as même pas à le lui demander tu auras juste à le lui dire.

- et tu penses vraiment que je n'ai pas essayer de lui en parler? Tu penses que ça me plaît de devoir faire des pieds et des mains pour pouvoir quitter le pays comme une voleuse. Mais je ne peux pas, je ne peux vraiment pas.

Si je le lui disais, il prendra ça comme une information quelconque et si jamais Riyad lui demande où je suis et je sais qu'il le fera il le lui dira en pensant que c'est anodin et je l'aurais a nouveau aux fesses.

Je ne veux pas l'avoir à mes côtés, je ne veux pas me souvenir de tout le mal qu'il m'a fait, de toutes les personnes qu'il m'a enlevé et encore moins Le voir aussi heureux et tout souriant alors qu'il m'a détruite.

Marcos: et pourquoi tu ne lui dis pas. Il est certes le diable mais il n'en demeur pas moins humain et il en a rien à fourre de ta petite personne. Dû moins il ne laisse rien paraître alors si tu devais partir ça lui ferais autant de mal qu'une piqûre de moustique sur sa veste Versace.

- je ne peux pas te le dire Marcos mais fais moi confiance. Juste fais moi confiance et aide moi à quitter cet endroit dans la plus grande des discrétions.

Marcos: je vais y réfléchir.

Fais chier.

Je pris une bouteille d'eau et parti me mettre sur le fauteuils à bascule capable d'accueillir deux personnes. Je me couche dessus tout en pofinant les derniers détails de mon plan.

Carlos: salut miss.

- je pensais pas te revoir d'ici tôt. Ça avait l'air d'être du concret avec ta rousse.

Carlos: je ne suis pas L'homme d'une seule femme. Je pensais que tu le savais depuis longtemps.

Il souleva mes pieds, s'assit puis les posa sur lui.

Carlos: qu'est-ce qui se trame dans cette belle tête brune.

-rien je vois pas de quoi tu parles.

[III] L&LOù les histoires vivent. Découvrez maintenant