[III] L&L

V

J'ai froid et au lieu de partir me mettre au chaud moi je suis là je me prend pour Molière. Les gars que ne ferais-je pas pour vous.

<<tôt ou tard, faudra faire face à ses démons >>

Pdv de Lya

Une semaine, ça fait une semaine que j'ai plus vue lyam et je ne saurais vous dire à quel point je me sens comblée.

Selon les rumeurs qui circulent, monsieur serait dans une autre favelas entrain de s'assurer que tout fonctionne comme il faut.

Nous prions tous pour qu'il ne revienne plus de son voyage.

Je sortis de la maison écouteur dans les oreilles et pris la direction de la maison du chef. Il n'est peut-être plus là mais n'empêche je dois quand-même continuer à bosser.

Ivan:Salut Lya.

-salut Ivan. Tu me fouilles aujourd'hui ou bien je peux passer en paix.

Ivan: les règles sont les règles et tu sais à quel point le chéfé tient à ses règles.

Je me mis en face de lui et le laissa me faire cette fouille corporelle quotidienne. Ensuite, je pénétra dans cette maison, pleine d'hommes encore saoul ou qui sont entrain de décuvé.

Je pris la direction de l'entrepôt afin de prendre mon lot de drogue de la journée.

-décale toi je dois passer.

Hervé: toujours aussi poli à ce que je vois.

-toujours aussi casse-pied à ce que je vois.

Il me sourit puis se décala. Je pris ce que j'avais à prendre et sortie de cette maison.

Heureusement, lyam eu la sagesse d'esprit de ne me donner que des clients proche de la favelas ou dans la favelas. Ça aurait été le comble qu'en plus de me forcer à travailler pour lui il me faisait découvrira la ville et tout ceci à mes frais.

Bâtard oui.

Il devait être 18h quand je mis mon tablier. J'étais exténuée, devoir jongler entre deux boulot totalement distinct me pompait le peux d'énergie que j'avais en moi.

Je fis mon service de 8h avant de rentrer chez moi. Ainsi ce passe mes journées depuis que je travaille pour Lyam.

J'enchaîne fatigue sur insomnies. J'étais censé venir ici pour me reposer et me ressourcé et non pour me faire exclavagisé. Si mama savais ce que je faisais en étant ici jamais elle ne m'aurait envoyé ici.