La fin du monde

Chapitre 15

Je me fais tirer dans un grand corridor sans porte, sans fenêtre il y fait très froid. L’agent ne parle pas, ni ne me regarde.

-Vous avez le même nom de famille Carmen, vous êtes marier?

-Non, c’est ma sœur.

Je comprends mieux maintenant, mais où m’amène-t-il?

-Qu’est-ce que vous me voulez au juste?

-Tu es celle qui a répondu à tous nos critères, tu vas être le sujet sept.

-De quoi vais-je être l’expérience? 

-Tu le sauras tout à l’heure.

Je ne dis rien, pour contrôler un peu ma panique.

-Et que signifie le sept? Demandais-je en le regardant.

Il me regarde droit dans les yeux et c’est à ce moment que je m’aperçois que ses yeux sont vert profond, d’une tel beauté qu’on aurait presque envie d’y plonger.

-La ville d’où tu viens, c’est la zone sept. Il y à neufs zone au total et tu es la troisième à se présenter ici.

-Qu’est-ce qu’ils vont me faire? Lui demandais-je tout bas.

Il me regarde encore une fois, droit dans les yeux. Il s’est arrêter et son regard dévie de mes yeux à mes lèvres, comme s’il hésitait à tout me dire. Il baissa la tête, comme gêné et malgré moi, j’aurais aimé qu’il me touche. Pas comme la façon qu’il me sert le bras, mais doucement, qu’il mette sa main sur ma joue et qu’il replonge son magnifique regard dans le mien. Mais il reprit la route, en accélérant même le pat et arrivons devant une autre porte en métal, il appuie sur un bouton à coter de la porte où se trouvait une petite boite avec un écran et plein de bouton. La porte s’ouvre sur un laboratoire scientifique, il y a plein de corps de zombie partout. Plein de scientifique font des expériences sur c’est monstres. Je regarde sur ma droite, un zombie essaye de se lever de la table d’opération où il est couché et plusieurs scientifiques essayent de le retenir. Ils portent tous des sortes d’habit blanc et un casque à visière, aucun bout de peau ne parait. L’agent O’Brian me tire encore une fois par le bras pour me faire avancer, mais cette fois je ne me fait pas prier, car je souhaitais vraiment quitter cette endroit au plus vite.

Il me ramène à une autre porte en métal, mais cette fois il n’a pas le temps d’appuyer sur un bouton que la porte s’ouvre. Une femme, plutôt jeune, avec une chemise blanche, comme les docteurs et nous fait entrer. L’intérieur est minuscule, tout blanc. L’éclairage est tellement forte que j’en ai mal aux yeux, la femme met une main derrière mon épaule et m’encourage à m’avancer. Une chaise longue de dentiste est placer au centre de la pièce, mais il n’y a rien n’y personne d’autre que nous dans la pièce.

-Allez, assis-toi.

-Non, je veux savoir ce que vous allez me faire et où est Ben?

Je m’affole et regarde derrière moi, l’agent est là et m’observe attentivement. Je me surprend même à le supplier du regard, mais il détourne le regard et s’éloigne même. La femme vit notre échange de regard et se tourne vers l’agent qui va pour sortir, mais elle l’en empêche.

-Non, O’Brian, je crois que je vais avoir besoin de vous pour celle-là.

-Qu’allez-vous me faire au juste? Demandais-je en pleine panique.

Elle me ramène à la chaise avec force, mais je me débats le plus que je peux.

-Venez m’aider Wes.

L’agent se précipite sur moi pour m’enfoncer dans la chaise, je veux sortir d’ici et tout de suite. D’autre personne en chemise blanche, entre dans la pièce avec des instruments, l’un d’eux sort une seringue et fait sortir un liquide orangé de l’aiguille. Je me débats encore plus en voyant l’aiguille arriver vers moi, j’ai envie de crier tellement la peur s’est emparé de moi. les deux bras de l’agent, enfin, Wes à encore ses mains sur mes épaules pour m’empêcher de bouger, mais son regard ne perd pas une seule miette de mon visage. Je vois l’aiguille entrer dans mon bras, je jette un dernier coup d’œil vers Wes.

-J’ai peur…