Chapitre 33

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Ce matin, nous avons assisté à l’enterrement de monsieur Britony. Son fils, Max, était complètement anéanti. Je peux imaginer à quel point il peut être triste d’avoir perdu son père, car sa mère aussi est parti et il est donc laisser à lui-même.

Ce soir, j’ai envie d’aller me défouler à cette école dans la forêt. En fait non, je n’ai pas envie de me défouler, mais seulement de tuer. Suis-je devenue aussi horrible? Avoir envie de tuer pour mon simple plaisir, parce que je suis en train d’aimer ça et que j’en fais presque un loisir.

Je me dirige vers la grange, où nous dormons depuis notre arriver. Les autres étaient tous en train de préparer le repas, ou autres chose qui ne m’intéressent pas.

La petite histoire d’amour entre Mia et Sam s’est terminée avec quelques insultes bien méritées de la part de Mia, avec une bonne claque en pleine poire et Sam va regretter toute sa vie de l’avoir blesser. Résultat, avec Cassie on discute beaucoup avec Mia. Entre autre, comment elle a survécu de sa supposer mort et à son réveille inattendu.

Arriver à la grange, je mets des vêtements de rechange dans un sac, deux bouteilles d’eau et je un petit mentaux sur le dos pour ensuite me diriger tranquillement vers la forêt. En évitant de me faire voir bien sûr.

L’école n’a pas changé, les portes sont grande ouverte par contre. Ce qui prouve que des zombies sont entré. Les couloirs sont dans le même état dans lequel je les ai laissés, pleins de corps de zombie mort. Mais ce n’est que lorsque je vois Kay, enfin le « zombie » Kay, allongé par terre encore une fois mort sous mes yeux.

J’entre dans l’une des classes, il y a trois zombies. Tous dos à moi et regarde le sol, j’espère seulement pour eux que c’est plus intéressant que ça en a l’air.

Je m’avance avec discrétion, prend la première chaise qui me tombe sous la main et donne un coup de patte de chaise derrière les genoux de l’un d’eux. Le second, je lui plate la même patte de chaise dans l’œil. Le sang du mort gicle partout sur moi pendant que le troisième se lance sur moi. Il étire ses bras pour m’attraper, je pousse celui avec la patte de chaise dans l’œil et il tombe par terre. Je lui donne un coup de coude sur le nez et il recule de quelques pats pendant que le premier se relève, pour ensuite s’élancer vers moi. je prends une paire de ciseau qui était poser sur le bureau et lui plante sur le sommet de son crâne, je lui est enfoncer jusqu’à la vis qui tient les deux lames ensemble. Maintenant, il n’en reste plus qu’un dans cette classe. Je m’élance, je prends un peu de vitesse et lui saute dessus pour le faire tomber sur le bureau derrière lui. Je prends la première chose qui me tombe sous la main, un crayon en bois et je lui rentre dans l’œil. J’en cherche ensuite un deuxième pour lui mettre dans l’autre. En plus de vouloir tuer, je suis devenu sadique!

En sortant de la classe, je tombe nez à nez avec un autre d’entre eux. Je me recule un peu, surprise et je trouve une horloge accroché au mur. Je la casse contre mon genou, en prends un morceau de verre et l’enfonce le plus profond possible au milieu de son front. Les giclure de sang éclatent au plafond, laissant de belles taches rouge cramoisi,  

Après la chute de ce zombie surprise, je sors enfin de cette classe et me dirige vers une autre et encore une autre. Les quelques classes sur ce coter si de l’école ne sont pas très occuper, mais je m’enfonce plus loin dans les couloirs et cherche presque désespérément quelque chose à tuer.

Soudain, j’entends un cri. En fait, ça ressemblait plus à un grognement suivit d’un cri. Une chose est sure, c’est que ça ne vient pas de moi et si il y a quelqu’un autre ici, ce n’est pas une femme. Le cri était bel et bien masculin, mais qui ça bien être?

Je me mets à courir, je tourne les coins de plusieurs couloirs avant d’arriver devant une scène plus qu’effrayante. Mon cœur se mit à cogner comme s’il voulait s’échapper de ma poitrine pour aller secourir la personne qui m’a remise dans le bon chemin, en essayant de me convaincre que je ne suis pas irrécupérable. Celui avec lequel j’ai passé tout c’est jours à essayer de survivre et de tomber amoureuse par la même occasion.

La fin du mondeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant