Chapitre 1

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SALUT LES GENS !

Me voici, en trés grande forme, avec ce tout premier chapitre du troisiéme tome, qui s'annonce... MOUAHAHAHAHAHA !

Oui, je suis excitée. J'expliquerais pourquoi plus tard x)

Merci à tous ceux qui me lisent et laissent des reviews ! J'espére que ce tome vous plaira tout autant (voir même plus, qui sait ?) que les deux premiers !

ENJOOOOOOY !

PS : Tout est à JKR sauf... bah, ce qui est à moi et à d'autres auteurs (vous les reconnaîtrez, je pense XD)

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Chapitre 1 : Est-ce que tu viens pour les vacances ? I

Ou

L'auteure se creuse la tête pour trouver un nom en rapport avec le chapitre, mais elle n'y arrive pas

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Un certain endroit (Azkaban), un certain moment (les vacances), avec une certaine personne…

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Il renifla le sol de sa cellule, et se dirigea jusqu'à la porte qui le séparait du couloir.

Il attendit patiemment que les Détraqueurs passent, et résista à leur emprise grâce à la protection qu'offrait la forme qu'il avait adoptée.

Il sentit son cœur hurler d'horreur, et retint un gémissement.

Finalement, les Détraqueurs partirent, et il pu respirer convenablement à nouveau, pour tenter de faire disparaître l'intolérable froideur qui s'était emparée de lui. Il savait que c'était peine perdue, mais sentir l'air circuler dans ses poumons lui apportait un réconfort étrange.

Ensuite, il approcha sa tête des barreaux.

Il avait bien calculé : il était assez maigre pour passer. Et il sortit lentement de la cellule, pour se coller contre un mur et avancer dans le couloir.

Aller dehors fut presque trop facile. Les gardiens, obnubilés par leur prochaine relève, ne le virent pas passer –merci à son pelage aussi noir que les ombres de la prison.

Enfin, il vit la mer grise et froide lécher les galets pâles de la plage.

Il voulut hurler à la mort, mais sa partie rationnelle lui conseilla de ne pas se réjouir trop vite.

Néanmoins, alors qu'il grimpait sur une barque négligemment laissée-là –les gardiens étaient tellement persuadés que personne ne pouvait s'échapper que le système de sécurité de la prison était risible-, il ne put s'empêche de lever le museau vers le ciel et de se retransformer.

Alors, Sirius Black prit une grande inspiration et fit un magistral doigt d'honneur vers Azkaban.

Il était libre.

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Un certain endroit, un certain moment, avec certaines personnes…

La Saga des SovranoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant