La Saga des Sovrano

Chapitre 17

Salut les gens ! Me voici me voilà pour ce nouveau chapitre qui... signe définitivement la fin du Sérieux dans ce tome.

Voilà. Vous êtes prévenus.

QUE TOUS CEUX QUI AVAIENT PRIS L'HABITUDE DE LA SERIOSITUDE S'ECARTENT ! LE CHANGEMENT BRUSQUE D'ATMOSPHERE POURRAIT NE PAS CONVENIR AUX PERSONNES FRAGILES !

NOUS ENTRONS DANS UNE AIRE DELIRE, JE REPETE, NOUS ENTRONS DANS UNE AIRE DELIRE ! VEUILLEZ ATTACHEZ VOS CEINTURES ET LIRE LE CHAPITRE AVEC PRECAUTION !

L'AUTEURE A PAR AILLEURS DU PROCEDER A UN DEBUT DE CHAPITRE NORMAL POUR QUE VOUS PASSIEZ PAR LE SAS DE DESERIEUSATIONNEMENT, AUSSI LA DIRECTION VOUS PRIT DE PRENDRE VOTRE TEMPS POUR LE LIRE AVANT DE PASSER A LA DEUXIEME PARTIE, OU LA PRESENCE D'UNE FORTE DOSE DE BLONDS ET DE STUPIDITE POURRAIT ETRE FATALE A HAUTE DOSE !

SI VOUS SENTEZ QUE VOUS CRAQUER, LISEZ QUELQUES PAGES DES "MISERABLES" POUR VOUS AIDER A RESTER MOROSE !

TOUS LE MONDE A SON EXEMPLAIRE A COTE ? BIEN ! MAINTENANT A VOS MARQUES, PRETS... LISEZ !

En vous remerciant de votre attention et de vos reviews, la direction (moi quoi) vous souhaite un agréable retour dans la contrée du Délire.

Enjoy !

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Chapitre 17 : Ze returne of ze rebel of ze shadows

Ou

Des fois, même moi je me trouve débile dans ce que j'écris U.U (cf le paratexte ci-dessus pour exemple).

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Harry, blême de peur et de rage, faisait le pied de grue devant l'infirmerie, devant une Pomfresh catégorique.

_Votre sœur va bien, Monsieur Sovrano, mais elle ne peut pas recevoir de visite pour le moment.

_Mais pourquoi elle ne peut pas si elle va bien ? Vous me cachez quelque chose, c'est ça ? S'écria le Serpentard, en serrant les poings.

L'infirmière soupira.

_Non, mais…

_Elle est victime d'effets secondaires ? Ces putains-

_Langage !

_De Détraqueurs lui ont détruits l'esprit ? Elle ne va pas bien du tout ? LAISSEZ-MOI PASSER !

Pomfresh leva des mains apaisantes, dans le (faible) espoir de calmer l'adolescent, qui s'énervait tout seul, son esprit passant en revu toutes les hypothèses possibles et imaginables de ce qui aurait pu arriver.

_Vous la séquestrez pour la violer ! Accusa-t-il finalement. C'est vous qui avez lâché ces Détraqueurs pour vous en prendre à ma sœur ! Relâchez-là tout de suite, espèce de-

_IL SUFFIT ! Hurla l'infirmière.

Elle avait supporté beaucoup de garnements au cours de sa carrière, et en avait vu des vertes et des pas mûres, mais se faire traiter de pédophile, c'était nouveau –et elle n'appréciait pas du tout.

_Vous allez m'écouter, Monsieur Sovrano, gronda-t-elle en usant de toute l'autorité qu'elle avait. Votre sœur va bien, mais l'attaque des Détraqueurs l'a épuisée. C'est tout. Maintenant, si vous voulez bien me laisser, j'ai des malades à soigner. Merci, au revoir.

L'instant d'après, la porte claquait au nez d'Harry.

Le jeune homme avait levé la main pour attraper l'infirmière, et il ne la baissa pas.

Scath…

Les yeux dans le vide, il resta longtemps perdu dans ses pensées, debout devant l'infirmerie.