The Sleuth Of Ming Dynasty

Chapitre 159

Grand-mère Zhou n'est pas aveugle dans sa vieillesse, elle voit Sui Zhou entrer de loin: «Aïe, mon bon petit-fils est là!»

«Salutations à ma grand-mère, puissiez-vous vivre aussi longtemps que la mer de l'Est et aussi grandiose que la montagne du sud!» Faire la révérence de Sui Zhou.

La grand-mère Zhou était ravie de sa rapidité, elle lui fit signe de venir, elle le tira vers lui et le regarda, avant de le faire asseoir à côté d'elle, elle était toute souriante: «Je suis contente que tu sois là, je ' Je suis contente que tu sois là, tu n'es pas ici depuis presque un mois, cette vieille grand-mère pensait que tu m'avais oublié!

Sui Zhou n'a pas peur de faire face à sa grand-mère, qui l'aime depuis qu'elle est enfant: «Je reviendrai te voir, même si je suis occupée par mes fonctions officielles.

La grand-mère Zhou a de nouveau demandé à sa femme de chambre d'apporter des bonbons et des conserves pour qu'ils les mangent tous les deux, mais malgré l'enthousiasme du vieil homme, Sui Zhou a pris une orange et l'a prise dans sa bouche.

Mais la vieille dame a ri et a dit: «Avez-vous le même esprit ou quoi? Runqing était là, je lui ai dit de manger et il a choisi les mêmes conserves.

Sui Zhou pensa: «Naturellement, nous avons un cœur à cœur» mais la vieille dame ne sait pas ce qui se passe, il est difficile de provoquer le vieil homme, alors elle l'a fait passer avec un vague signe de tête.

La vieille dame était attentive, elle a alors demandé: «Vous a-t-on fait du tort à ce bout de l'autre maison?»

Sui Zhou était abasourdi, secouant la tête en signe de déni: «Non»

Grand-mère Zhou était mécontente: «Vous n'avez rien à me cacher, si vous n'êtes pas heureux, vous ne pouvez rien dire à votre propre grand-mère, si je découvre que vos parents ne sont pas justes, je leur gronderai quelque chose de méchant plus tard! "

Tout comme le père et la mère de Sui favorisaient leur fils aîné, la grand-mère Zhou aimait le plus Sui Zhou et n'aimait naturellement pas le voir victime d'intimidation.

Sui Zhou était amusé, il n'était plus un enfant à être lésé mais il était toujours touché par la pensée de la vieille dame.

«Ce n'est pas vrai, grand-mère, personne ne peut m'intimider, ne t'inquiète pas.

Vous n'avez pas besoin que Sui Zhou le dise, grand-mère Zhou le sait, ce ne sont que les petites choses qui se passent dans la maison.

Le cœur de Sui An est plus haut que le ciel mais son talent et sa chance ne sont pas si bons, il a gaspillé la moitié de sa vie sans avoir une place aux examens impériaux mais sa famille ne se soucie pas de la nourriture et des vêtements, s'il peut se contenter de le statu quo, il peut ne pas devenir un homme riche comme lui mais les pauvres ont leurs difficultés, les riches ont leurs griefs, Sui An n'a pas besoin de travailler pour se nourrir et se vêtir mais se consacre à sa poursuite des examens impériaux tout au long de sa vie, personne ne peut le persuader de le faire, c'est sans doute frustrant.

Grand-mère Zhou a dû lui donner du fil à retordre, mais Sui An était tellement déformée qu'il n'écoutait personne et quand elle parlait trop, il pensait qu'elle était biaisée en faveur de Sui Zhou, grand-mère Zhou ne pouvait pas. Pour l'aider, elle devait le laisser faire, même les parents de Sui An n'y pensaient de toute façon pas, pourquoi s'en donnerait-elle la peine? Même les parents de M. Sui An n'y pensent rien, pourquoi elle, une grand-mère, devrait-elle s'en soucier?

Mais si tel était le cas, Sui An a épousé une femme qui pense comme Sui An, Lady Jiao est également déterminée à faire de son mari un succès, le cœur de Sui An l'est seulement mais elle le transforme en un imbécile déterminé mais il est toujours échoué aux examens impériaux mais c'est Sui Zhou qui est le chef de la garde Jinyiwei, qui est à l'origine de l'inquiétude de la famille.