52 • TsukkiYama [4] 🍧🌈 •Saint Valentin

908 62 23
                                    

Cadeau de Saint Valentin

Tsukkishima Kei, un jeune lycéen aux cheveux platines et aux lunettes rectangulaires, n'a jamais su quel était l'intérêt de fêter la Saint Valentin.

Cette fête où toutes personnes se dévoilent de leurs amours à leurs porteurs, partageant des sucreries, lettres de confessions, ou paroles de déclaration à longueur de temps.

Le blond, lui, n'avait jamais reçus de tout ça.

Et même s'il aurait pu, il n'en trouverait pas l'utilité.

•••

Aujourd'hui est la Saint Valentin, un jour où tous sera mouvementé à Karasuno et d'autre établissement.

Tsukkishima arriva aux casiers, et vit déjà des groupes se formés autour.

Il soupira d'agacement à toute cette vulgaire agitation.

Il se déchaussa, et mît ses chaussure d'intérieur, les remplaçant.

Il enleva son casque, et le rangea proprement dans son sac, mettant son téléphone en silencieux.

Il pénétra le couloir l'emmenant directement dans sa salle de cours, marmonnant des jurons à toutes les filles s'extasiant d'excitation du au jour actuel.

Il rentra dans sa classe, et y vit installé son ami d'enfance, Yamaguchi Tadashi.

Il le rejoignit alors, s'installant à la table à sa droite, lui faisant un simple signe de main.

- Bonjour Tsukki' ! Alors, comment ça va ? S'exclama d'un grand sourire Yamaguchi

- Mmh, bien, et toi ? Répondu simplement le nommé Tsukki'

- Bien merci ! Dit-il en ricanant gentiment

Le vert reprit sa lecture, tant dise que le blond ferma les yeux, sentant la lourdeur de ces derniers.

La sonnerie retentit quelques secondes plus tard, avant que le reste de la classe n'arrive et entre dans la pièce d'étude.

Le cours débute à l'arrivée du professeur.

~~~

Il n'était que 10:00, et le binocle était déjà exténué et fortement agacé du comportement de presque tous les élèves du bahut.

Tout ce qu'il voyait depuis le début de cette matinée était les innombrables échanges de chocolat et lettres se glissant dans les casiers.

Lui, n'avait rien.

Ce n'était pas que cela le vexait, il trouvait simplement ça énervant.

Il n'attendait pas particulièrement d'être aimé d'une quelconque personne. Simplement, voir toutes ces personnes s'accoupler, rejeter, ou bien confesser, ne pouvait que le faire juger.

Il les jugeait.

Il rentra dans sa salle d'histoire, et s'assit à sa place, collée à la fenêtre.

𝐈𝐋𝐒 𝐒𝐎𝐍𝐓 𝐇𝐎𝐌𝐎𝐒.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant