Mon caporal [TOME 2]

Episode 18 : Azumabito

Le port était enfin achevé...

Aujourd'hui la famille Azumabito du pays d'Heazul, notre seul pays ami devait venir sur nos côtes. Tous les grands représentant de l'îles et membres important du corps de l'armée et de l'île avait été convié cet évènement historique, le premier arrivage d'un navire ami et non ennemi. Même Historia avait fait le déplacement pour l'occasion, malgré la grande réticence de Daris qui se préparait pour une possible attaque ennemis.

Pendant que tous le monde était au port pour accueillir nos convives, j''étais dans la grande salle de réunion pour terminé de préparer tout ce qu'il fallait pour mettre à l'aise notre invité de marque. J'avais insisté auprès de la reine pour organiser après la réunion d'affaire une petite cérémonie histoire de nous faire bien voir. Alors je devais gérer la salle de réunion et celle d'évènement en même temps, et les migraines venaient facilement.

Heureusement que pour l'évènementiel, j'avais eu l'aide de ma grande amie Mary. Sans quoi j'aurais déjà sauter par une fenêtre.

- Heureusement qu'ils sont soldats et non pas décorateurs d'intérieur. J'ai demandé à un soldat de m'apporté du bleu azur et il m'a donné du bleu cyan. Soupira-t-elle en se votrant sur la chaise qui mettait destiné alors que je la regardais avec un air rieur.

- Tu sais Mary, il y a peu de gens qui savent faire la différence entre les nuances de couleurs. Estime toi heureuse qu'il sait ce qu'es du bleu !

- C'est vrai, tu as raison. Gloussa-t-elle

- J'ai toujours raison. Riais-je en lui faisant un clin d'oeil avant que Walter vienne à moi totalement paniquer comme à son habitude

- Arya, on a un problème, un très très gros problème.

Je lançais un regard à Mary par peur de la laisser seule et elle me fit un signe de main avant de me dire qu'elle s'occupait de ses soldats affreusement musclés. Parfois, je me demandais vraiment si elle avait vraiment la trentaine passé et non pas quinze ans.

- Qu'est-ce qu'il se passe ? Demandais-je en avançant dans les couloirs avec lui

- Allons dans le bureau, il ne vaut mieux pas que ça s'ébruite. Chuchota-t-il

Une fois dans mon bureau, je restais debout devant la porte en attendant l'annonce terrible qu'il allait le me faire.

- Ils ont disparu

- Qui a disparu ? Demandais-je

- Plutôt qu'est-ce qui a disparu ? Dit-il tout transpirant. Les livres, les livres de monsieur Jäger on disparu.

- Tu es sur que tu as bien regarder partout ?

Il hocha la tête énergiquement pendant que mon cerveau chauffait, les seules informations que l'on pouvait récolter sur le futur de la situation était dans ces livres, et ils avaient disparus. Ils s'étaient volatilisé.

- C'est pas grave, soufflais-je, il y a des copies.

- Elle aussi, elles ont disparus, comme nos notes toute ses informations ne sont plus là.

- C'est pas vrai... Soufflais-je

On toqua à la porte et je l'ouvris et fis face à un soldat.

- Ils sont arrivés madame Ackerman.

- Tch...

C'était bien la première fois que je me permettais de souffler de cette manière mais ça montrait de toute évidence mon agacement. J'enfilais mon manteau sans prendre le temps de le fermer et claquait des talons.