Mon caporal [TOME 2]

Episode 57 : Attentat

Eren Jäger... J'avais passé une bonne partie de ma vie à l'élevé à lui inculper des valeurs et j'avais l'impression d'avoir tout rater. Il avait tellement grandit et c'était ses propres avis sur les choses, je savais que je devais les laisser faire, parce que c'était ça voix. Mais couper le cordon relevait de l'impossible, je ne pouvais pas, pas maintenant. J'avais fait une promesse à ma soeur et je me devais de la tenir. Meme si ça devait me coûter la vie.

La vie elle même était en ce moment très compliqué, surtout lorsque l'on parlait travail. J'avais l'impression que le gouvernement partait en vrille, la preuve elle même. Un énorme troupeau de personnes, terré devant mon lieu de travail. Certain tenait dans leurs mains des pancartes et d'autres criaient. Ils manifestaient pour une raison qui mettait inconnu.

.Je tentais de passer sans qu'on me remarque mais lorsque Flegel me vit, il m'arrêta sur le coup avec son bras.

- On veut des explications général !

- Des explications sur quoi exactement ? Demandais-je en haussant un sourcil

- C'est quoi, cet ordre d'évacuation générale de la population de Shiganshina ?!

- Et les travaux de reconstruction pour lesquels vous nous avez recommandés, alors ?!

- La rumeurs court que tous les mercenaires ont été emprisonnés ! Confirmez-vous ?!

- On a également entendu dire qu'Eren Jäger se trouve derrière des barreaux est-ce exact ?!

Comment avaient-ils obtenus toutes ses informations qui relevaient du confidentiel ? Une taupe ? Je me massais le crâne avant de demander le silence.

- Une question à la fois, je suis assez occupé pour le moment pour répondre à vos questions mais je vous promets que je vous accorderais une entrevue quand tout ce sera calmer.

- Peut-on vous faire confiance ?

- C'est à vous de voir, si toute mes actions du passés vous on convaincu alors oui. Sinon... Vous savez à quoi vous en tenir . Dis-je avant d'entrouvrir le portail et de partir à l'intérieur de l'établissement sous les exclamations mécontentes des habitants.

Walter étant aux côtés de la reine, je me retrouvais seule avec une pression incroyable sur les épaules.

- Daris ? C'est quoi cette histoire ? Et puis cette chaise... Sérieusement je croyais qu'elle était partie aux oubliettes après... vous savez quoi. Grimaçais-je

- Oh, des soldats me l'ont apporter, que des bons souvenir... Ce coût d'état était magique et tu parles des manifestations dehors ? Oh c'est très simple, en fait, des taupes, des soldats du bataillon d'exploration, anti-Mahr qui se sont amuser a livrer des informations confidentielle. Parce qu'il trouvait ça, injuste. Ironisa-t-il

- Je rêve... Qui ?

- Froch Duster et sa bande d'ami.

Je savais que ce gamin avait un véritable problème, je l'avais toujours dit mais beaucoup pensait qu'un esprit comme lui pouvait être utile à la guerre. Moi j'en doutais fortement.

Je soufflais rapidement avant de sortir de son bureau et de me rendre dans le mien. Moi qui pensais passé une journée tranquille, terminé à quatorze heure, et passé le reste de l'après-midi avec les enfants. Mais non, la vie en avait décidé autrement, après une vingtaine minutes de travail, je descendis me prendre un café.

Une fois mon café bus, je remontais tranquillement tout en chantonnant discrètement. Rien ne m'empêcherais d'avoir une mauvaise journée, absolument rien. Un groupe de trois jeunes soldats du bataillon me passèrent devant.

Je continuais d'avancer et aperçu Armin et Mikasa au loin à quelques mètres de moi et les trois soldats entrer dans le bureau de Daris. Une fois arrivé à leur niveau, je leur lançais un sourire et regardais leurs mines déconfites.

- Armin ! Mikasa ! Vous en tirez une de ses t

Je n'eu même pas le temps de prononcer un quelconque mot qu'une explosion retenti et que je me retrouvais cloué au sol par Mikasa.

- Qu'est-ce qu'il vient de se passer ? Soufflais-je en entendant des sifflements dans mes oreilles

- Quelque chose à exploser.

- Vous n'avez rien ? Demanda Mikasa

- C'est à moi de poser ce genre de question d'habitude, mais oui je vais bien, et vous deux ?

- Je vais bien

- Moi aussi

Lorsque nous descendîmes dans la cours où les journalistes et les manifestants hurlaient, je donnais des ordres aux soldats.

- Eteignez l'incendie ! Hurlais-je aux soldat avant de voir le corps complètement déchiqueter de Daris.

Ils venaient de faire exploser le bureau de Daris, et Daris avec, s'ils s'attaquaient à une figure du pouvoir ça ne pouvait signifier qu'une seule chose. Un attentat. On se révoltait contre le pouvoir publique, je réflichais à une allure folle en rassemblant tous les éléments qui se présentait à moi. La fuite d'information, les soldats, Froch... Froch...

- Allez voir si Froch et les autres sont toujours aux même endroit. Ordonnais-je. Je veux que vous alliez voir si Eren Jäger est toujours à sa place !

- Oui, général !

Et une dernière chose me fit tiquer, si Daris était décédé, j'étais actuellement le général de l'armé.

Le nombre de fois que j'avais souhaité sa mort étaient folles, mais le voir, à moitié déchiqueter, comme ça. J'avais affreusement mal au coeur... Au final, nous étions en quelques sortes des amis, des amis qui passaient leurs temps à se chercher.

Je soufflais, avant de détourner le regard et le poser sur les personnes présentes faces aux portails et à cette scène de crime. Je ne pensais pas que cette scène allait autant m'horrifié et que les paroles que Céleste m'avait annoncer lorsque j'étais enfant.

- Sur le coeur ! Hurla un homme

La guerre a toujours diviser les Hommes