Mon caporal [TOME 2]

Bonus : Les gens que j'aime

Arya Ackerman... Ou du moins Lewis dorénavant avait quitté la famille Ackerman sans donner aucune nouvelle d'elle depuis presque une semaine. Le caporal-chef Livaï l'avait cherché dans tout les endroits ou la femme qu'il aimait pouvait être mais elle, à l'intérieur des murs, à l'extérieur mais elle était à l'heure actuelle porté disparue. Aucune recherche qui avait été faite n'avait vraiment réellement porté ses fruits. Pourtant, une femme électrique était censé ce faire repéré rapidement en temps normal.

Personne mit à part le général Zackley, l'escouade de Livaï et les amis proches de la famille étaient au courant de cette soudaine disparition. Il ne fallait pas affoler les gens dans l'enceinte des murs, surtout pas quand une vraie bombe humaine était présente.

Le plus dur pour Livaï était surement de s'occuper des enfants qui chaque jours ressentaient de plus en plus le manque de leur mère. Farlan et Céleste attendaient chaque jours le retour de leur mère et Livaï lui, lorsque les enfants lui demandaient où elle se trouvait, jamais il ne trouvait les bons mots.

" Maman est au travail " " Maman est partie faire les courses". Comment dire à des êtres si petit que leur mère était partie et qu'elle ne rentrerait probablement pas ?

Il arrivait parfois que les jumeaux attendent devant la porte en espérant voir leur maman. Mais personne, pas même Mathilde ne trouvait les bons mots pour expliquer à ses enfants ce soudain abandon.

Heureusement pour Livaï, Hansi était là pour l'épauler quand il en avait besoin. Lorsqu'il devait partir travailler, Livaï s'était reposé sur Mathilde, Marie ou parfois les membre de son escouade.

Gérer les enfant n'était pas chose facile, après deux jours à s'occuper d'eux jours et nuits, Livaï avait comprit ce qu'Arya vivait constamment lorsqu'il n'était pas là, avec Hansi, Armin, Eren ou même Mikasa, ils avaient du mal à gérer les jumeaux, alors seul. Cela relevait de l'impossible.

Les enfants n'était pas des soldats à qui il pouvait ordonner de faire des pompes ou même les envoyer balader. Ils ont besoin d'attention, d'amour, de câlin et de bisou. Mais Livaï, lui, n'avait pas cette douceur qu'Arya avait, ni ce sourire charmeur qu'elle servait à toute les sauces, il ne chantait, ne dansait jamais. Alors comment s'occuper d'enfant lorsque l'on avait pas vraiment la fibre paternelle ? C'était la question qu'il se posait constamment.

Bien évidemment, ils s'étaient déjà occupé des jumeaux sans Arya, mais elle revenait toujours contrairement à maintenant. Il avait toujours pu compter sur elle comme un pilier mais là, tout s'effondrait.

Livaï n'avait jamais vécu avec l'amour de la vie, vivre juste pour vivre sans ce battre. La violence faisait partie intégrante de sa vie, parfois, même s'il ne l'assumait pas, il lui arrivait de ne plus vouloir vivre, dans un monde comme ça.

[...]

Lorsqu'il déposa les enfants chez Mathilde pour se rendre au campement et apporter son aide à Hansi. La vielle femme ouvrit la porte à côté d'un jeune homme souriant.

- T'aurais pu prévenir que tu pouvais pas garder les mioches la psy.

- Mais nooon ! Livaï, je te présente mon dernier fils, Liam. Liam je te présente Livaï le papa de ses deux petits anges.

- Coucou vous deux ! S'exclama le fameux Liam alors que les deux jumeaux ce cachèrent derrière les jambes de leur père qui fusillait Liam du regard.

- C'est un plaisir de vous rencontrez caporal chef.

- Tch.

- Il est un peu grincheux en ce moment, laisse tombé mon chéri. Dit-elle avant de s'abaisser et de tendre les bras vers les jumeaux.