14, Tome II.

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   POV Aydan Richardson

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POV Aydan Richardson.




Ça fait à présent deux mois qu'elle est partie.

Deux mois, que je n'arrive pas à croire que ce calvaire se poursuit. Que cette jolie brune qui m'avait approché lors d'une fête organisée par Joshua, est sortit brutalement de ma vie. Le fait que je ne sache pas encore qui est l'auteur de ce crime, ne me permet pas d'avancer, loin de là. Repartir dans les souvenirs de son corps sans vie, mes pleurs et mes cris, c'est mon quotidien chaque soirs avant de m'endormir.

Nous roulons depuis deux heures à présent, nous avons profité d'un week end de quatre jours pour les passer dans notre maison secondaire à New York. Nous avons préférés faire le trajet en voiture, Adana avait conduit avant de me passer le relai, cette dernière c'est lourdement endormie à mes côtés. Kellyoana, Joshua et Artellya qui font de même derrière.


Même si je n'ai pas été un exemple, je leur suis reconnaissant de s'être efforcée de ne pas me laisser seul face à mes merdes. Ma jumelle la première. Ce n'était pas rose entre nous ces derniers temps à cause de moi, mais je sais qu'elle foncerait la tête la première pour m'aider, et qu'elle serait toujours là pour moi comme je serais toujours là pour elle.

Après avoir déposé chacun de nos cousines et mon cousin respectivement chez eux, je roule vers la Maison Blanche alors qu'Adana émerge doucement de son sommeil.



— Bien dormi ?


— Comme un bébé.

Je souris légèrement et m'arrête derrière un feu rouge, le moteur de la lamborghini urus qui attire nombreux regards. Étant un fan inconditionnel de voitures, cette passion que je partage avec mon père, j'avais eu des frissons de me remettre à conduire cette voiture qui m'a été offerte à mon dix septième anniversaire.


— Je crois être amoureuse d'un garçon.

— Le fameux Andrea ?

Elle hoche de la tête, soucieuse pour une personne amoureuse.


— Pourquoi ça ne t'enchante pas ?

— Ça fait une semaine qu'il ne répond à aucuns de mes appels ni messages.

— Bizzare, peut être qu'il n'en vaut pas la peine ?

— Je ne sais pas, mais je commence à me faire des idées. Un soir je me suis trop confiée à lui, et je le regrette à présent.

𝐀𝐙𝐄𝐀𝐋𝐘𝐀 ; 𝘸𝘢𝘴𝘩𝘪𝘯𝘨𝘵𝘰𝘯 𝘥𝘤 𝘦𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant