𝐀𝐃𝐀𝐍𝐀 𝐑𝐈𝐂𝐇𝐀𝐑𝐃𝐒𝐎𝐍 .𝐖𝐚𝐬𝐡𝐢𝐧𝐠𝐭𝐨𝐧 𝐃𝐢𝐬𝐭𝐫𝐢𝐜𝐭 𝐨𝐟 𝐂𝐨𝐥𝐮𝐦𝐛𝐢𝐚
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— Tu ne peux pas continuer comme ça cabròn !
— Arrête de me prendre la tête et laisse moi dormir.
Cet imbecile d'être, part s'allonger sur son lit non sans exprimer son soulagement. Je ferme la porte de sa chambre avant de le frapper avec un oreiller, chose qui le fait grogner alors qu'il m'insulte de tous les noms en espagnol.
— Aydan, il est sept heures du matin, on a cours dans même pas une heure et toi tu reviens de je ne sais où, les yeux rougies sûrement à cause de la drogue en plus de l'odeur infâme avec laquelle tu te promènes ! Dans deux semaines peut être moins, on retournera habiter à la Maison Blanche Aydan, toi autant que moi tu sais que ce que tu fais tu ne pourras plus le faire !
— Alors laisse moi en profiter et ne me fait pas chier, madame je suis la fille parfaite.
Je mords sans retenue ma lèvre, pour m'empêcher de lui exprimer le fond de ma pensée. Je préfère sortir de sa chambre, la porte que je claque derrière moi, alors que je descends les escaliers guidée par la délicieuse odeur du petit déjeuner qui est préparé par ma mère. Je la retrouve en peignoir, en train de servir trois assiettes, mon père qui lui comme d'habitude est au téléphone, en train de boire son café face à la vue qui donne sur notre géant jardin. Je m'approche de ce dernier et me hisse sur la pointe des pieds pour embrasser sa joue.
Il tourne sa tête et sourit légèrement en posant un baiser sur mon front. On a bien raison de dire que je suis la petite chérie de mon père, car c'est vraiment le cas. Il ne me refuse rien, il cède toujours à mes caprices ce qui lui haut nombreuses réprimandes de la part de ma mère qui elle, nous a élevé à la dure en voyant que mon père cédait à tous nos caprices. Contrairement à moi, mon frère est lui le petit chouchou de ma mère. De nature solitaire, timide sur les abords et très introverti, mon frère est bien moins sociable que moi et ça se voit sur de nombreux aspects, il n'a que deux amis à son effectif, Jonathan son meilleur ami, et Jayson, notre cousin, le fils de mon oncle Logan.
— Holà vieja.
Ma mère me lance un regard noir chose qui me fait sourire alors que je pose mes lèvres sur sa joue, en récupérant mon assiette.
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𝐀𝐙𝐄𝐀𝐋𝐘𝐀 ; 𝘸𝘢𝘴𝘩𝘪𝘯𝘨𝘵𝘰𝘯 𝘥𝘤 𝘦𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯
Teen Fiction« 𝐂𝐫𝐨𝐢𝐬 𝐦𝐨𝐢 𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐞 𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐚̀ 𝐝𝐨𝐬 𝐥𝐞 𝐯𝐢𝐜𝐞 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐞́𝐭𝐚𝐭𝐬 𝐮𝐧𝐢𝐬, 𝐪𝐮𝐢 𝐞𝐬𝐭 𝐞́𝐠𝐚𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐦𝐨𝐧 𝐛𝐞𝐚𝐮 𝐩𝐞̀𝐫𝐞, 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐚 𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐜𝐡𝐨𝐬𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚𝐪𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐣𝐞...