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𝗞𝗘𝗘𝗡𝗔𝗡 𝗥𝗜𝗖𝗛𝗔𝗥𝗗𝗦𝗢𝗡.

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    En ouvrant les yeux, je me promets comme toutes les années auparavant, que je ne laisserais plus Kaori et Logan s'occuper des invitations. Je suis peut être ami avec beaucoup de monde, mais pas au point d'accueillir cent trente personnes chez moi, et devenir un membre des ones direction à faire des meet & great pendant une heure.


En plus de cela, ma soirée ne c'est pas terminé de la façon dont je l'avais espéré, avec ce qu'Azealya a avoué à propos de mon père. La nuit avait arrangé en rien ma colère, et où qu'il soit, il va la subir.


Je soupire de satisfaction alors que les doigts d'Azealya massent mon cuir chevelu. Elle c'est endormie à une heure du matin, et moi à sept heures pour jeter toutes les personnes qui espéraient dormir ici. Avec effroi j'avais découvert en plus, qu'un tableau d'un grand peintre avait disparu du plus grand séjour. Oui, on m'avait volé un tableau, et je ne sais même pas comment le justifier auprès de ma mère qui me criera dans les oreilles qu'elle est partit jusqu'en Italie pour le chercher.


Je souffle fatigué, en demandant l'heure à Azealya qui sursaute légèrement.



— Il est treize heures cinq. Je dois partir dans quelques minutes. Je dois aller travailler.



Je hoche de la tête et me tourne vers ma table de chevet pour attraper mon téléphone. Je ne prends pas en compte les tonnes de messages présents, j'envoie simplement un message à mon chauffeur pour savoir s'il peut se présenter dans quarante minutes. Il me confirme immédiatement sa réponse, alors qu'Azealya se lève en me demandant si elle peux aller prendre une douche. Je la sonde du regard ne croyant pas ce qu'elle vient de me demander cela.


— Je rêve ou tu viens de me demander si tu pouvais prendre ta douche ? Pourquoi je te refuserais l'accès à ma salle de bain ? Arrête de poser des questions du genre, fais comme chez toi.


Je lui lance un oreiller, alors qu'elle rit légèrement en s'enfermant dans la salle de bain. Je regarde la porte fermée le cœur battant, mais je reviens vite à la réalité. Je me redresse et enfile juste un jogging. Je sors de ma chambre et retrouve le rez-de-chaussée, toutes traces d'anniversaire et de fête disparus. Les cuisiniers s'affairent en cuisine, à la réception de ma mère et de ses collègues et amis dans deux heures, les femmes de ménagent elles, dépoussièrent les derniers recoins. Je les salue tous en me dirigeant vers le bureau de mon père.

Bien sûre ce dernier est fermé, j'effectue le code, la porte qui cède ensuite. Je referme la porte derrière moi en marchant jusqu'à son bureau. Imaginez le scandale, si j'avais osé laisser ouvert le bureau. Des adolescents qui ont eu accès au bureau du vice président des États unis, je crois bien que là j'aurai été déshérité bien que mes parents n'oseraient jamais, mon père le premier.

J'appuie sur la touche pour appeler le service technique du capitole.


« Mettez moi sur une ligne privée. »


Le technicien me confirme quelques secondes après, la manipulation. J'appuie cette fois sur la touche qui appellera le bureau de mon père, au capitole.


𝐀𝐙𝐄𝐀𝐋𝐘𝐀 ; 𝘸𝘢𝘴𝘩𝘪𝘯𝘨𝘵𝘰𝘯 𝘥𝘤 𝘦𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant