Une course dans un labyrinthe de rue

654 19 0
                                    

Je commence alors ma visite de cette ville qui me paraissait déjà familière , comme un souvenir lointain pourtant je n'étais jamais sortie de mon petit village car mon père m'interdisait toujours de sortir sans qu'il soit avec .
J'essayais desperement de voir si une enseigne ne cherchait pas une vendeuse ou quelque chose du genre .

La ville était déserte, ce n'était pas étonnant il était tard a peu près 23 heure mais je ne faisais pas attention à ce détail de toute façon je suis venue construire une vie comme je le souhaite et pour l'instant il faut poser, les bases j'ai pas besoin de m'épauler pour ça. Je ne veux plus être dépendante de quelqu'un.

J avais déjà fait tout le tour de la ville en passant par toute les rues inimaginable sauf un endroit le lycée. Le lycée a vrai dire mon père m'a toujours dit que l'école, ne sert à rien est c est une mine a bourrage de crâne inutile et que les vrais choses importantes ça s'apprend seule.

Je n'avais jamais mis les pieds dans un établissement scolaire a pars la petite section maternelle mais je n'avais plus de souvenirs de ces moments où du moins rien d'exceptionnels. J ai comme même eu de la chance d'avoir appris les bases avec des vrais profs sinon je suis même pas sûre que je serai vraiment parler si c'était mon tuteur qui se serait occupé de tous.

J ai toujours fait l'école à la maison avec mon père comme piètre professeur qui lui même  n'avais pas la patience et la compréhension pour tout m'expliquer. Du CP a maintenant.
Je me souviens un jour où il essayais de m'apprendre les pourcentages avec un paquet de carambar pour qu à la fin il ne se souvienne ni du prix du paquet ni du calcul qu il m'avait donné. Au final il s est énervé contre moi en disant que j'était un boulet et qu il avait honte de moi.  C était souvent le cas, que mon père rejette la faute sur le premier venue.

Revenons à ma petite balade, je contempler le lycée impressionné que des personnes arrivent à se retrouver dans ce bâtiment immense. Et que la journée il y a presque 1 200 élèves. A côté de ma maison ou on était que deux c'était immense.

D'un coup quelque chose me fit sortir de mes pensées, un garçon me demandant si tout aller bien . Je n'osais ni le regardais dans les yeux ni lui répondre, je n avais plus vue un garçon ni leur parler depuis mes 4 ans à la petite section maternelle avant que ma mère ne décède et que mon père ne me cloître à la maison sans contact avec personne sauf lui. Donc parler avec des gens est super difficile pour moi ou seule l'exception est ma grand mère a qui je parle de temps a autre comme un livre ouvert.

J'étais étonnée et anxieuse qu il m'ait regardé contempler le lycée et qu'il m'ait parlé de peur qu'il ne me juge et me trouve bizarre. Il me reposa alors la question si tout aller bien et si j'avais besoin d'aide . Un peu paniqué je commença a marcher vite car je ne veux être inscrite dans ce lycée mieux vaut être discrète pendant un mois. Par peur que la police ou service sociaux comprenne que j ai fugué. C'est alors que revenant à la réalité, je me retrouvais sur un grand terrain qui ressemblait à mes souvenirs a un terrain de rugby. Le garçon m'avais suivie était derrière moi .

Je l'entendit se rapprocher et me fit signe de me calmer. Il me demanda si j était perdue et nouvelle dans la ville car il me connaissait pas et pour lui j'avais l'aird'avoir besoin d'aide , je lui rétorqua sèchement que ce n'était pas ces affaires et je voulais juste savoir à quoi le lycée ressemblait , le garçon aux cheveux blonds bouclé répondu

- Oulala du calme je ne t ai pas agressé non plus, je voulais juste savoir si tu allais bien car tu avais l'air perdu donc je me suis dis que tu étais nouvelle dans cette ville. Il y a pas de quoi s'affoler. Fit il en agitant des mains.

Je lui répondis
- J ai pas besoin d'aide merci , je me débrouille toute seule.

Il me coupa d un air arrogant et ajouta
-Tu sais si tu a besoin d'aide j'aime aider les jolies filles dans ton genre.

Ce qui me donna envie de lui arracher ces cheveux bouclés un par un . Je continua donc d'un pas rapide tout droit comme ça au moins je ne me perdrai pas .

Mais le blond ne dit pas son dernier mot , il continua à me suivre en me parlant et me posant des questions dont je me fit une joie d ignorer.

Quelques minutes plus tard en continuant mon rythme accéléré je le ne vis plus dans mon champ de vision. Heureuse je lâcha un sourire narquois et satisfait de ma victoire.

J'essaie de me souvenir des quelques bribes de garçons qu'il me reste . Mais tous ces souvenirs ne sont pas flatteur pour les garçons entre ceux qui ce curés le nez et d autres qui jetaient des balles déçu et tirer les cheveux . J était bien contente d'avoir fuit le grand blond. Eh oui j'ai eu connus que des personnes de mon âge jusqu'à la maternelle.

Perdu dans un tourbillon de souvenirs, il m'effraya en sortant de nul part ,avec un sourire plus que satisfait sur le visage il ajouta pour m'énerver
- Alors on croit mieux connaître la ville que moi j ai réussi à te rattraper grâce à un raccourci.

Je luis répondit
- Bravo mais je ne jouais pas à la course avec toi.

Toujours aussi arrogant le garçon au yeux bleus ajouta
- Cool vu que tu n'aies pas inscrite à une course,  tu es peut être libre pour que je t'invite à boire un café et que tu me racontes ta ravissante arrivée à Beacon Hills.

Ayant soif après quelques heures de marche et n'ayant pas d argent pour le café j'accepta avec dépit . Ce qui fit briller les yeux de cette abrutis.

Il m'amena à un café nommé le "SEVEN DAYS".

One girl lost in Beacon HillsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant