Une nouvelle vie avec toi - Aidan Gallagher

Chapitre 72 : Liam & Maddie

Aujourd'hui nous sommes le 27 août 2031. Nous sommes tous rassemblés à l'hôpital en attendant la naissance des jumeaux Hale.

Quand Ambre par en salle de travail avec Noah nous restons tous les quatre dans la chambre à stresser un peu.

Ils reviennent 45 minutes avec deux magnifiques petits bébé.

Ambre se rallonge dans son lit et nous présente ses enfants.

Am: Donc je vous présente Maddie.
N: Et moi Liam.
Am: Ils sont tous les deux en parfaite santé.
M: Ils sont magnifiques !
C: Maddie te ressemble grave Noah !
T: Oui et Liam a le même nez que sa mère.
A: Félicitation ils sont très beau !
N: Merci beaucoup.

Nous passons la journée avec les deux nouveaux nés. Calen, Maya et Lucas sont gardés par Dorota chez nous.

M: Au fait, c'est peut être pas le bon moment mais ça vous dit qu'on fasse un week-end au ski cet hiver ? Mes grands-parents ont un chalet à côté de chez eux qu'on peut louer.
T: J'ai jamais fais de ski mais pourquoi pas.
C: Bah moi j'en ai fais quelques fois avec Maëlle, mais oui ça peut être sympa.
N: Moi aussi je suis chaud.
Am: Je suis pas trop fan de ski donc je pense que je resterai au chalet pour m'occuper des enfants mais un week-end à la montagne ça me branche bien.
A: Je suis partant aussi.
M: Super bah on se calera ça quand vous serez rentrer Noah et Ambre.
N: Ouais.

Nous partons le soir vers 18h et nous invitons Chloé et Tony à manger.

M: Et comment va ton frère Tony ?
T: Lequel ?
M: Les deux du coup.
T: Ondreaz va bien il a trouvé une copine il y a quelques temps et Xavier et sa petite famille vont très bien.
M: Nickel ça et elle s'appelle comment la copine à Ondreaz ?
T: Luna.
M: J'aime bien.
T: En plus elle est super sympa.

Ils partent le soir vers 21h car Maya commence à fatiguer et que Lucas dort profondément.

Le lendemain pendant que je donnais à manger à Calen il décide de ne plus vouloir manger.

M: Aller Calou ouvre la bouche.
C: Non !
M: Si Calen il faut que tu finisses ton assiette.
C: Veux pas.
M: C'est des carottes tu aimes donc arrête un peu.
C(en voyant un paquet de gâteau qui traîne): Ça !
M(en voyant de quoi il parle): Non, tu finis d'abord ton assiettes.

Il commence donc un énième caprice, il tape des pieds et pleure.

M: Stop Calen, quand tu auras fini tu pourras avoir un gâteau.

Il s'excite de plus belle quand je lui refuse ce qu'il demande, puis je vois Aidan entrer.

A: Qu'est ce qu'il se passe ?
M: Il veut pas manger, il veut des gâteaux.
A: Oh bah ça va il a presque fini tu peux lui donner.
M: Euh non Aidan. Si on commence à céder à ses caprices on a pas fini.
A: C'est pas céder s'il a quasi tout mangé.
M: Je suis désolé mais malgré tout les défauts de mes parents ils m'ont toujours apprit qu'il faillait finir son assiette pour avoir un dessert.
A: C'est pas très pédagogique.
M: Je m'en fou, c'est pas lui qui va décider ce qu'il va manger il a que deux ans.
A: Oui mais s'il a déjà manger !
M: Bon stop on va pas s'engueuler devant lui je m'en occupe.
A(en partant): Ok débrouille toi.

Je me tourne vers mon fils et reprend une fourchette.

M: Il en reste que trois et après tu pourras avoir des gâteaux. Ouvre grand la bouche.

Légèrement à contre cœur, Calen mange la fin de son assiette.

M: Bravo mon bébé ! Tu peux avoir un gâteau maintenant.

Je me lève et lui attrape un gâteau, il le mange avec gourmandise. Pendant ce temps je débarrasse sa table.

Quand il a fini de manger je le laisse jouer un moment avant de montrer le coucher. Après cela Aidan et moi passons à table.

A: Il a mangé ?
M: Oui il a fini et il a eut son gâteau.
A: Hum ok.
M: Qu'est ce qu'il y a ?
A: Je vois pas pourquoi tu l'a forcé à manger.
M: Parce que c'était un caprice et que j'allais pas céder uniquement pour éviter qu'il pique une crise.
A: Pourquoi ? Si ça peut éviter qu'il pleure ?
M: Parce que c'est pas lui qui décide, il a deux ans ! Et on est ses parents, on doit lui donner une bonne éducation.
A: Y'a rien de grave à lui donner un gâteau.
M: Non mais ça commence comme ça et après l'enfant fait tout ce qu'il veut et il est hors de question que dans cette maison l'enfant est le dessus sur ses parents. Désolé si mes méthodes d'éducation ne te conviennent pas mais c'est comme ça.

Je me lève et m'en vais, énervée de cette conversation.

Quelques heures après j'entends mon fils pleurer. Je me lève du canapé et va le chercher dans sa chambre.

En ouvrant la porte je le trouve debout dans son lit à barreau la tête encore endormie.

C(en me voyant): Maman !
M: Coucou mon chéri, t'as bien dormis ?

Je le prends dans mes bras et lui embrasse tendrement la joue. Je lui change la couche et nous descendons sur le canapé.

Je lui fais des câlins le temps qu'il se réveille complètement puis nous allons tout les deux jouer.

Après un moment je remarque que Aidan est introuvable, je décide d'aller voir Dorota dans la cuisine pour savoir si elle l'a vu.

M(avec mon fils dans les bras): Dorota, tu as vu Aidan ?
D: Oui il est partit prendre l'air après avoir mangé.
M: D'accord merci.

Elle me sourit et mon fils et moi retournons jouer.

Aidan rentre une quinzaine de minutes après.

M: Tu étais où ? Tu aurais pu me prévenir que tu partais.
A: Désolé je suis partis me balader au bord de la plage.

Nous discutons un peu et réglons calmement l'histoire de tout à l'heure.

Nous finissons la soirée calmement et paisiblement.