Je commence à crier avec Jeyan. Et la il me serre le bras grave fort. J'ai compris qu'il faller que j'arrête de crier parce qu'on aller passer devant tout le monde à l'accueil.
J'aller faire une crise cardiaque. Je vais pas vous faire la gaillarde. On est pas dans un films ici. Je flippe ma race. C'est quoi ça putain ? J'ai les larmes au yeux. Je comprend plus rien.
Ils nous font sortir de l'hôtel.
Moi : Laissez moi prendre mes affaires au moins.
Les deux mecs qui me tiennent se regarde en mode ??. Je pense qu'ils ont pas compris.
J'avais les larmes aux yeux. Jeyan me fixer en se mordant les lèvres, il avait la haine. Il se retenait de pas pleurer. Je le regarde angoissée.
Un homme monte dans le vanne avant moi et celui de derrière m'a fait rentrer et il s'est a mit à côté de moi. En gros j'étais entre eux deux.
Bref j'ai les jambes qui tremble 💀.
Jeyan est monter devant à côté du conducteur qui nous attendait déjà.
Moi : On va ou ?
... : Non parlez Fransızca
Moi : Arrête de faire genre t'as compris.
Il me lâche un regard noir...
Jeyan : Non en gros il parle pas
Jeyan : Je suis désolé Razane (il était énervé, triste en même temps)
Moi : On va ou
Jeyan : J'espère c'est pas se que je pense.
Moi : Tu penses à quoi
Jeyan : Mon père
Moi : On va voir ton père là ??
Jeyan : Je pense...
Moi : Mais je suis même pas présentable ??! Tema ma dégaine
Jeyan : Je pense que c'est pas sa qui l'intéresse là...
Moi : Comment ça ?
Il me répond pas.
Pendant un petit moment personne parler. Jusqu'à se que Jeyan commence à crier. Comme sa d'un coup...
Jeyan : PUTAINNNNNNNNNNNNNNN (il criait de rage) ALI DÉPOSE LA CHEZ ELLE (en turque) S'IL TE PLAÎT ABIM (mon frère) DÉPOSE LA
Le conducteur (Ali): Désolé abi. Serhan amcam (oncle) a était très clair.
Jeyan : EH JE M'EN BAS LES COUILLES DE VOTRE SERHAN. JE SUIS PAS SOUS SES ORDRES. JE SUIS PLUS SON PUTAIN DE FILS. (En turque)
Personne ne parle. C'était blanc. J'entends Jeyan respirer fort. Il était grave énervé.
Jeyan : Razane
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MA VIE SANS TOI JUSQU'À MA MORT...
RomanceMoi : Je te lâcherai pas, ça sert à rien de forcer. Ta famille ne me fait pas peur, Jeyan. Ils sont pas plus puissant qu'Allah Jeyan : Mais tu doit me lâcher, Razane, parce que eux ils vont pas te lâcher Moi : On s'est battu jusqu'ici, on s'est prom...