Prologue

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Je suis une jeune femme, blonde aux yeux bleu turquoise, je viens d'avoir 20 ans. Je vis dans une grande et jolie maison en Ecosse.

Mon père, un grand homme d'affaires, est passé pour se changer avant d'aussitôt repartir à ses affaires. Lorsque j'étais plus petite, avant que mon père touche une grande somme d'argent par je ne sais quel miracle, on avait pour habitude de passer tout notre temps ensemble. A partir de ce moment, il avait acheté tout ce qu'on désirait puis c'est terrer dans son travail, je ne le voyais plus du tout. Et cela me rendais particulièrement triste et seule. En plus de cela, je n'avais aucune amies parce que mon père refusé que j'aille à l'école, car je cite "j'avais déjà tout ce que je voulais donc Je n'avais pas besoin de m'épuiser" j'ai donc étudié à la maison avec des tuteurs ou des cours en ligne.

Cet après-midi, j'ai décidé d'aller faire un petit tour. Lorsque la solitude commencée à me peser un peu trop, je sortais marcher dans un petit parc non loin de chez moi. Là-bas, les quelques arbres qui longent le chemin sont fleuris et une odeur agréable s'y dégage. Après une dizaine de minutes à marcher, je m'assois en dessous d'un grand arbre sous lequel j'ai mes petites habitudes. Je prends mon calepin puis sors mes crayons afin de dessiner. Le dessin a toujours été un moyen, pour moi, de m'échapper de cette lourde réalité. Lorsque la nuit est tombée, je range mes affaires pour rentrer chez moi.

Sur le chemin du retour, alors que je m'apprêtais à sortir du parc des bruits de pas qui viennent de derrière m'interpeller. Lorsque, je me retourne pour voir d'où ils proviennent les pas s'arrêtes et je n'arrive à distinguer personne.

Ça doit être Trévor. Pensais-je

À défaut d'être présent, mon père, avait pour habitude de m'envoyer un de ses gardes du corps pour "me protéger du danger" avait -il lancé alors que je lui faisais part de mon mécontentement quant à cette idée. Il avait fini par comprendre mon point de vue et avait arrêté de me l'envoyer. Enfin, c'est ce que je pensais, peut-être avait -il demandé à Trévor de rester dans l'ombre. Quel crétin.

Je décide de marcher plus rapidement. Je passe à côté d'une impasse dans laquelle je décide de m'engouffrer afin de le prendre en flagrant délit. J'entendis les pas se rapprocher. Puis, un homme s'arrêta net devant l'endroit où je me trouvais. Mais... Il ne ressemble en rien à Trévor qui était petit mais costaud. Non, celui qui me regardait avec ses yeux sombres était grand et fin. Mon regard tombe alors sur l'arme qu'il tient dans sa main droite. À cet instant, je sus qu'il fallait que je m'enfuie.

Dans un élan de courage, alors que j'étais prise au piège, je me mis à courir vers l'individu ou du moins vers l'espace qui se trouvait à ses côtés. Sous l'effet de surprise, il n'a pas eu le temps de dégainer son arme. Mais alors que je passais à côté de lui, il me fit un croche-pied ce qui a eu pour effet de me faire tomber au sol. Il me prit par les cheveux me faisant pousser un cri de douleur. Alors qu'il me leva à hauteur de ses yeux, je lui donne un violent coup de coude dans son estomac ce qui le déstabilisa.

Ce que ne savait pas cet homme, c'est que mon père m'avait entraîné à me défendre au cas où "quelqu'un voudrait m'atteindre" m'avait -il dit. Alors, j'avais quelques techniques de combat d'auto-défense qui se trouve avoir son utilité dans cette situation !

J'avais réussi à m'enfuir de quelques mètres lorsqu'il me rattrapa et me donna un violent coup sur la tête. Je tombai sur le sol. Lorsqu'on me retourna sur le dos, je vis des yeux noirs remplis de haine. Alors que je l'entendis rire, mes yeux se sont remplis de noir. J'avais perdu connaissance. À ce moment-là, je regrette amèrement que ce ne soit pas Trévor qui me suivait dans l'ombre.

Lors de cette nuit étoilée, dans ce parc alors que je dessinais des croquis, j'étais loin de me douter que ma vie allait prendre un tout autre tournant... 

AlvarezOù les histoires vivent. Découvrez maintenant