/!/ Attention ce chapitre contient des scènes à caractère sexuelle. /!/
(Il est possible de passé directement au chapitre suivant sans tenir compte de celui là.)
Sur ce, je vous laisse avec la suite, Bonne lecture ;-)
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Mais toutes mes questions furent balayées lorsqu'il s'approcha de moi en disant :
- Ne me provoque pas de cette manière Ayla. Je pourrais franchir des barrières que tu ne voudrais pas...
Bien sûr que si j'en avais envie... Mais était-ce la bonne chose ? S'il se passait quelque chose entre nous, ne pourrais-je pas tomber et me faire mal ?
- Mais en même temps, je pourrais te montrer que je suis capable de faire mieux que toi... Continua Alvarez avec une voix rauque et en regardant sa main qu'il venait de lever.
Oh non, il m'avait entendu... Je rougis violemment de honte. Je n'osais plus rien dire. Et souriez bêtement pour cacher ma gêne. Ce qu'il sembla remarqué, car il éclata de rire. Ce qui me mit me colère... Il se moquait de moi et j'ai horreur de ça.
Alors guidé par la colère, je répliquais :
- Disons qu'on n'est jamais mieux servis que par nous-même ! Tu n'es pas d'accord?
- Tu es sûr de vouloir parier ?
Comme réponse, je lui offrais un sourire provocateur, sûr de moi. Même si à l'intérieur de moi aucune partie de mon être aspire à la sérénité. Mais ça sa reste entre nous...
Le voilà a quelques centimètres de moi, son regard coulé entre mes lèvres et mes yeux. Mon cœur battait la chamade et mon sourire pris congé petit à petit. Son odeur boisé rempli tout mon être qui étrangement n'a jamais été aussi calme. Dans mon bas-ventre, je ressentais de petites décharges électriques, agréablement douces.
- Es-tu sûr de vouloir te lancer dans cette pente ? Je ne suis pas quelqu'un de bien. Lança-t-il en brisant le délicieux silence qui s'était installé.
À l'entente de ses paroles, mon cœur s'est mis à battre si vite que je me demandais s'il n'allait pas lâcher. Pour la première fois, je voyais l'homme derrière le masque de parrain d'une mafia ultra puissante. Je voyais quelqu'un de doux et attentionné. Qui pensait sûrement qu'il ne méritait pas un tiers de ce que la vie pouvait lui offrir. Ce qui me fit tomber toujours plus pour lui. Car oui sans trop savoir comment, je m'étais attaché à cet homme et s'est sûrement la raison pour laquelle je cherchais à l'éloigner de moi. J'avais peur, il m'avait libéré des mains d'un mafieux qui avait fait de moi sa femme et j'étais tombé amoureuse d'un parrain encore plus puissant. Mais maintenant, dans cette salle de sport, pour la première, je n'avais plus peur. Alors je me mis sur la pointe des pieds et posé mes lèvres sur les siennes. Après un moment de surprise, il me rendit mon baiser. Il était doux passionné et plein de promesse.
- Tu me rends fou Ayla... Me glissa-t-il à l'oreille entre deux baisers. Avant de me prendre dans ses bras.
Il me porta hors de la salle et m'emmena dans la chambre où je logeais. Le cliquetis de la porte m'indiquait qu'il venait de fermer la porte. Il m'allongea délicatement sur le lit et se redressait pour enlever son t-shirt. Je pus admirer son torse musclé enjolivé par plusieurs tatouages. Un gros serpent entourait son abdomen...
- Fais gaffe, tu baves m'avais t'il dit un sourire moqueur aux lèvres. Ce qui eut pour effet de me faire rougir
- Qu'est-ce que j'aime quand tu rougis pour moi. Continua Alvarez avec une voix rauque.
Ça voix provoquer en moi une multitude de sensations plus agréable les unes des autres. Je me mordis la lèvre inférieure sous le plaisir intense que je ressentais. À peine l'avait-il remarqué qu'il se précipitait sur mes lèvres pour les embrasser plus brutalement, pendant qu'une de ses mains montées sous mon t-shirt me provoquant une chair de poule. Mon t-shirt retrouvait le sien au sol. Et mon leggings ne mis pas longtemps avant de les rejoindre. Me voilà nu devant ses yeux qui me dévorent littéralement. Son regard appuyé faisait naître en moi une peur incontrôlée... Et s'il n'appréciait pas mon corps... Je ne suis pas si jolie que ça... Mes mains essayaient de cacher mon corps, mais il les empêcha d'atteindre leurs objectifs.
- Tu n'as pas à te cacher de moi Princesse. Jamais... Tu es tellement magnifique...
Je deviens rouge cramoisi sous ce compliment que je n'avais pas pour habitude d'entendre. Et alors qu'il recommençait ses baisers dans mon coup, je m'autorisais à le toucher. J'explorais chaque recoin de sa peau guidé par le désir que je ressentais pour cet homme. Quand d'un coup, il descendit jusqu'à mon entre-jambe. Sans crier gare, il commença à le lécher. Sous l'intense sensation, je me courbais... Oh mon Dieu... Je n'avais jamais ressenti une pareille sensation. Et alors qu'il passa un bras sur ma hanche pour me forcer à résister et qu'il introduisit deux de ses doigts dans mon vagin, ce fut le comble, je ne peux plus me retenir de gémir.
- Alors Princesse, tu disais quoi ? Jamais mieux servis que par sois même ? Lança-t-il avec une voix rauque, en interrompant cette douce torture.
Je bougeais les hanches pour l'inciter à recommencer. J'en voulais plus... Mais il se releva pour se retrouver au-dessus de moi à quelques centimètres de mon visage.
Puis me demanda :
- Tu veux voir la suite ?
À travers cette question, je sentis qu'il attendait ma permission pour aller plus loin. Ce qui me fit que le désirait encore plus. Je hochais la tête transpirante en l'attente de nouvelle et exquise sensations. Il me regardait droit dans les yeux pendant qu'il retirait son pantalon et son caleçon. Puis il s'introduisit doucement en moi avant de commencer des vas et vient qui devenait de plus en plus rapide et brutale. Nos gémissements s'entremêlent dans la pénombre. Jusqu'à ce qu'on soit, tous deux transpirent et haletant.
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Alvarez
RomanceAlvarez, Parrain d'une des plus grandes mafias espagnole « Las serpientes » s'apprête à rencontrer celle qui peut être sa faiblesse mais aussi sa plus grande force dans son monde. Venu de nulle part, Ayla, va devenir sa lumière alors qu'elle-même se...