Alvarez

Chapitre 1 : L'entré dans l'enfer.

Bonjour à vous voici le premier chapitre !! Je vous pris de m'excuser pour le temps de publication. Je n'avais absolument pas accès a mon ordinateur. <3

J'en profite pour vous informer que la fréquence de publication sera : 1 chapitre par semaine (sauf imprévu). ;-)

Voilà, je vous laisse avec la suite ! Bonne lecture ! J'espère que ce chapitre va vous plaire !

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Je me réveille dans une pièce sombre. Je suis allongé sur une planche à moitié glissante au vu de l'humidité qui régnait dans cet endroit. Je me relève, mais attends où je suis ? Pourquoi suis-je ici ? On va me tuer ?...

Alors que l'angoisse me gagnait, un bruit de clé m'interpelle. Une porte grince. Ma respiration se coupe. Des bruits de pas descendent des escaliers et s'approchent. Je me recule prise d'une peur immense. La silhouette d'un homme, euh...Deux... TROIS SILHOUETTES D'HOMMES se placent devant les barreaux de la cellule où je me trouve. Attends... Je suis... Dans une... CELLULE !!

- AHAHA... Ayla... tu es enfin réveillé ! Dit le premier homme se trouvant au centre du trio.

Comment... Sait-il comment je m'appelle !? Pensais-je alors que je commençais à manquer d'air.

- Tu es bien plus jolie que je le pensais petit ange ! Continua cet homme en entrant dans la cellule et s'approchant à pas de loup.

Je reculais à mesure qu'il avançait, mais j'atteignis vite le coin de cette foutue prison. L'homme, en voyant ma peur, commença à sourire de satisfaction. Il s'arrêta à quelques centimètres de moi et posa sa gigantesque main sur mon menton pour me forcer à le regarder dans les yeux. Il avait les yeux marron foncé à la limite du noir, une cicatrice se trouvait sur sa joue ce qui lui donna un air encore plus effrayant. Sa carrure et sa taille imposaient le respect.

- Tu dois sûrement te demander pourquoi tu es ici ? Lança l'homme à la cicatrice avec un sourire satisfait.

Je le regardais pétrifié par son sourire effrayant, par son contact répugnant sur ma peau et par sa lourde voix. Je voulus lui crier dessus, lui montrer que je ne veux pas qu'il me touche, me regarde, mais aucun son ne sortit de ma bouche. J'étais comme devenu muette.

- Eh bien petit ange, tu n'es pas très poli. Tu pourrais répondre quand on te pose une question... Dis alors l'homme a la cicatrice qui commence à s'impatienter.

- Tel père, tel fille a lancé un homme posté à l'arrière de la cellule.

Comment connaissaient-ils mon père ?!

- Georgio ta gueule ! Lui lança l'homme à la cicatrice.

- Quoi Dominico ! Tu ne penses pas qu'on perd notre temps. Répondis Georgio. Elle protégera son père coûte que coûte.

- Bien sûr que non, hein petit ange, détruire un père, c'est d'abord lui enlever ce qu'il a de plus cher ... Sa fille, sa petite princesse avança Dominico avec un sourire répugnant sur le visage.

Face à ce regard, je me sentis trembler de tout mon corps. Dans ses yeux sombres, dans ce sourire, je vis ma descente en enfer. J'allais payer pour ce que mon père leur avait fait... Mais je n'avais aucune idée de ce qu'il leur avait pris, moi ! À ce moment-là, j'ai pris conscience que je ne savais pas qui était réellement mon père.

- Bien ! Assez perdu de temps annonça Dominico en claquant des mains ce qui me sortis de mes pensées et me fis sursauter.

- Fredy amène Ayla et qu'on la prépare pour ce soir ! Je veux qu'elle ait l'allure d'une déesse ! Ordonna Dominico au troisième homme qui était adossé aux barreaux de la cellule.

Cet homme avance vers, moi enserre mon bras de manière forte. Alors qu'une douleur me cisaille le bras, il me força à me lever de la planche miteuse sur laquelle j'étais assise et m'emmena en-dehors de ce sous-sol humide vers ma prochaine sentence...