Chapitre 3 : La rencontre d'un sauveur

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Attention dans ce chapitre certaine scène peuvent heurter la sensibilité de certaine personnes.

Si vous êtes sensible psychologiquement, il est préférable de ne pas lire ce chapitre. Sous demande privé je pourrais vous transmettre ce chapitre sans la scène sensible.

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Ayla

Plusieurs jours, c'était écoulé après cette affreuse annonce. Par chance, il n'avait pas décidé de consumer "notre mariage". Mais j'étais quand même obligé de dormir à côté de ce gros porc, de subir ces attouchements et ces remarques désobligeantes. Je me sentais sale et je sentais toujours ses mains sur moi ce qui m'écœurait. La femme avait raison, je me sentais détruite, mon âme me quitter à mesure qu'il me touchait.

Je n'avais malheureusement pas appris grand-chose sur leur plan. Mais on m'avait signalé que la femme d'un mafieux devait être capable de le défendre en utilisant la parole, mais aussi les poings comme les armes.

S'il pensait que j'allais le protéger, il allait se fourrer le doigt dans l'œil avais-je pensais à l'entente de sa demande.

On avait donc commencé à m'entraîner au combat, mais aussi à tuer. Je profitais de ces séances d'entraînements pour en apprendre le plus possible. Comme ça si un jour, je réussissais à m'enfuir, je saurais me battre.

- Non mais tu es une bonne à rien !!! Cria mon entraîneur alors que j'effectuais un mouvement qu'il m'avait montré au préalable.

Ce qu'il ignorait, ce qu'ils ignoraient tous... C'est que je possède une excellente mémoire, en l'observant faire, j'avais déjà acquis son mouvement et tous les autres qu'il m'avait montré jusque-là. J'avais décidé de ne pas leur montrer mon savoir-faire, car, comme ça, je pourrais les prendre par surprise le jour de mon évasion. Au fur et à mesure des mois, je devenais donc une professionnelle du combat, et même si je détestais l'idée de me qualifier comme tel, je suis devenu une tueuse professionnelle. Mais n'ayez crainte, je ne compte pas tuer, sauf dans des situations d'extrêmes urgences pour me défendre.

Un jour, en fin d'après-midi, Dominico rentra dans la chambre en claquant la porte sur le mur. Ce qui me fit sursauter. Sur sa figure, était plaqué un immense sourire à en glacer le sang. D'habitude, il ne rentre pas si tôt. Je le sens mal...

- Mon petit ange !!! J'ai une surprise pour toi... !! Tu ne devineras jamais ce qui m'amène de si bonne heure !! A-t-il dit avec la voix ragoûtante d'un psychopathe.

Alors que je reculais avec la boule au ventre, mes yeux fixés sur ses lèvres dans l'attente de ce qu'il va dire. J'ai peur tellement peur... Je sens que quelque chose ne va pas.

- Ton petit papa nous embêtera plus... Maintenant, tu es tout à moi petit ange... Ahah... Le pauvre, il était tellement désorienté par ta perte qu'il n'a même pas fait attention à la menace qui régnais sur lui... Avait-il dit après un petit temps d'attente qui était interminable.

QUOI ? Non... Ne me dites pas que c'est vrai... Il... Est... Mort... Mon Cher Papa.... Tu devais me sortir de là....

Sous le choc, mes genoux m'ont lâché, je suis au sol. Je pleurais tellement fort que mes yeux étaient brouillés par les larmes. J'étais tellement abasourdi par la nouvelle que je ne l'entendis pas s'approcher de moi, avec ce rire. J'étais perdu dans mes souvenirs que je ne le vis pas me prendre pour me déposer sur son lit pour m'enlever mes vêtements.

Alors que sa main parcouru tout mon corps, jusqu'à s'arrêter sur mon entre-jambe. Je fus, soudain, sorti de ma transe. Mon corps était bousculé par tant d'émotions : la tristesse, la peur, le dégoût... Que mon cerveau se mit en veille comme pour me protéger de l'horreur qui était en train de se dérouler sous mes yeux. Je le voyais, je le sentais, mais mon corps refusait de bouger... C'est la fin... ce que je redoutais le plus était en train d'arriver. Il allait me violer... Une larme coule sur ma joue... ce fut la dernière...

AlvarezOù les histoires vivent. Découvrez maintenant