Chapitre 31 : le souffle d'une nuit

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Alors la les Chico's je vous ai réparé un chapitre de MALADE MENTALE !

 C'est une DINGUERIE à quel point je kiiifff ce chapitre... Bon j'espère qu'il est aussi bien que dans ma tête mais normalement j'ai dead ça. bref j'ai trop hâte !!!!! Très bonne lecture à vous et je veux pas dire mais au cas ou vous ne l'avais pas remarqué, c'est mon chapitre préféré.

Love <3



...




Mikhaïl :


Assis au côté d'Alexei, je le laissais conduire tandis que je continuais à pianoter sur l'écran de mon ordinateur. Maintenant qu'on avait fini de vider les rangs, il fallait qu'on trouver les derniers traîtres, dont celui qui se cachait parmi nos rangs. J'avais rendez-vous chez Andreï pour rencontrer mon nouveau « co-équipé » et j'allais profiter de leur installation pour pouvoir fouiller dans les affaires de mes frères. Il fallait que je scrute l'intégralité de leur vie, de leur vas et viens jusqu'à trouver quelque chose qui pouvait les incriminer ou au contraire, les discriminer.

Je lançais un regard à Alexeï qui pianotait également sur son téléphone. Pas très prudent vu qu'il était censé être au volant, mais bon que pouvais-je y faire ?

Après quelques heures en voiture, on arrivait enfin jusqu'à la maison d'Andreï. On fut rapidement accueilli par une section d'hommes armés jusqu'aux dents. Comme conseillé par Viktor, on posa nos mains sur le tableau de bord en attendant que son chef de sécurité vienne à notre rencontre.

UN homme à la carrure imposante se démarqua des autres pour venir à notre rencontre. Il nous salua d'un hochement de tête qu'on lui renvoya. Il jeta un long coup d'œil dans la voiture avant de nous ordonner de la quitter. Alexeï me lança un coup d'œil acquiseur, l'air de me dire de suivre leur commandement. Après quelques instants, on fut rapidement entouré et escorté jusqu'à l'entrée de la maison.

Puis on nous banda les yeux. On avait beau être chez des alliés, prudence était mère de sûreté alors je restais constamment sur mes gardes, chose qui n'était pas aisée quand on ne voyait absolument rien. J'ignorais les coups répétés de mon gardien et marchait sans vraiment savoir où j'allais. Ce ne fut qu'une fois assis qu'on nous retirait nos bandeaux pour nous retrouver face à un homme aux cheveux aubrin : Andreï.

- Privet, homme de Viktor.

- Privet Andreï. Répondit Alexeï. Aussitôt, l'un des hommes lui frappa le crâne en répliquant :

- Lui, on l'appelle Boss.

Alexeï tirait sur ses liens qui bien évidemment étaient bien trop serré pour se défaire.

- Mon Boss c'est Viktor. Cracha-t-il. Aussitôt, Andreï pouffa de rire.

- C'est bon Boris, laisse les tranquilles. Amène-moi Valentin.

Le dénommé Boris nous lança un long cou d'œil avant de laisser deux de ses hommes dans la pièce et sortit enfin. En soit, sa confiance me faisait rire parce que enchaîné ou pas, vu la distance qui le séparait d'Alexeï, il n'aurait fallu pas plus de quelques secondes pour que celui-ci l'étrangle à mort. Mais bon, s'il se pensait tout puissant laissons les tranquille.

- Alors, commença Andreï. J'ai entendu dire que vous aviez besoin de moi ! Je le dévisageais pendant qu'il s'asseyait confortablement dans son fauteuil.

-Moy Sokrovitch- -Mon trésor- [Terminé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant