[ 𝐓𝐄𝐑𝐌𝐈𝐍𝐄 ]
À seulement dix-sept ans, Ayesha Tahir, fille d'un couple immigré, s'apprête à intégrer l'une des universités les plus prestigieuses du pays.
Choi Soobin est un garçon issu d'une famille aisée et son avenir semble d'ores et déjà...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
La lutte des classes
-AYESHA-
💬 De Shasha :
Salut Soobin, j'espère que tu vas bien ! Comme tu le sais, Lea est venue chez moi aujourd'hui et on a passé un agréable moment. Je t'avoue que les magnifiques cadeaux que tu as pris la peine de me faire n'ont pas manqué de sublimer cette journée.
Merci beaucoup Soobin.
C'est tellement gentil et je suis forcée de reconnaître que j'ai vraiment été émue ! Je ne sais pas comment te remercier, j'ai l'impression que le mot "merci" est beaucoup trop faible.
Maman, papa, Hakim et Lea ont goûté tes cookies et tes madeleines, et comme moi, ils les trouvent absolument délicieux ! Bon, les membres de ma famille ignorent que c'est toi qui se cache derrière ces succulentes préparations culinaires, mais moi je le sais, ne t'en fais pas. Je suis sûre que tu pourrais ouvrir une pâtisserie !
Je te remercie encore. J'espère qu'on pourra très bientôt se revoir, et nul besoin de te faire un sang d'encre pour moi et mon état de santé.
Je t'embrasse fort, je t'aime et je te souhaite un merveilleux week-end !
Oh et merci pour le bouquet de fleurs, elles sont absolument magnifiques !
💬 De Soobice_cream :
Je suis tellement content de savoir que ce cadeau t'a fait plaisir ! J'espère que les bouquins vont te plaire, c'est ma mère qui me les a conseillés pour toi ! Repose-toi bien Ayesha, et ne te surmène surtout pas s'il te plaît.
Sinon, je suis allé à un autre festival printanier et je vais t'envoyer les photos ! Moi aussi je t'embrasse fort Ayesha, prends soin de toi, je t'aime et à très bientôt. J'ai tellement hâte de te retrouver.
Becca ouvrit la porte de ma chambre : je devais mettre mon plan à exécution.
— On m'a dit que t'étais malade ! Tu vas mieux ?
— Oui, oui, répondis-je aussitôt en posant mon bouquin sur mon lit. C'est gentil d'être venue me voir.
— Oh je t'en prie.
Elle se débarrassa de sa veste en jeans avant de prendre place sur mon lit. Elle lança un coup d'œil sur ma lecture du moment et dressa un pouce en l'air.
