𝟏𝟕 - 𝐒𝐎𝐔𝐅𝐅𝐋𝐄

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IRÈNE

1 semaine après


Patience.

Patience.

Patience.

Patience.

Patience.

Mes voies pulmonaires restreint d'air m'affliger une douleur tel un coup de foudre tapant sans prévenir, privant de souffle et me paralysant. Mon âme s'écria, cherchant la liberté banale de personnes lambda.

Sortir, je veux sortir. La nuit semble être calme, comme les autres.

Je me trouve figé par la force qu'exerce Isai étant de retour pour la surveillance sans faille, sans retrait.

- Lâche-moi, se fait clair ma voix au bout. Je t'ai dit de me lâcher !

L'autre homme intervenant, se posta face à moi me prenant de haut dû à sa taille.

Attaquer, attaquer et seulement attaquer. Mon esprit, formé de toute pièce par Allan, fut brisé.

La patience est la clé de la victoire, me répétait-il lors de mes cours.

Nos esprits diamétralement confrontés telles deux forces égales et opposées s'affrontant dans une joute oratoire causaient des ennuis.

Dans cette situation, lui aurait réfléchi à un manœuvre avisé. Mais moi, ma patience était hors de portée du siens. Et le peu de patience mis à l'écart se dissipait jours en jours sous ce toit.

- Pousse-toi de mon chemin, lui crachais-je sur le visage, la tête haute.

- Ferme-la et va t'asseoir !

Il l'a bien cherché, ils ont tous bien chercher.

Tendant son bras dans ma direction, je l'immobilise le retournant, lui arrachant un pousser de cris de douleur.

Au même instant, de mes années de cours en catch, parvenant à le mettre au sol instantanément ne laissant pas un instant de répit à Isai, je pris l'arme au coin de la ceinture de l'homme au sol et visé Isai.

- Laissez moi sortir bordel !

Mon souffle, court, haletant et saccadé était le reflet causé à l'effervescence qui me témoigna ces derniers jours, l'adrénaline pulsait dans mes veines faisant ressentir tout mon être.

Le toutou du Fernandez se levant en un instant fugace, me décortiquer du regard et Isai pointa son flingue sur moi.

Un rire triomphant s'évadant laissa les deux gorilles dubitatifs presque tétanisés.

- Aller, ris-je encore, tir moi et foire le plan a ton patron. Vous ne pouvez rien faire, rien.

- Tu ne vas pas tirer, alors lâche cette arme !

- Tu penses ? Quand une personne est à bout de patience, il fait des choses qui se sont promis de ne jamais faire.

- Tu ne vas rien faire alors baisse cette arme !

Soudain sur de moi, je tire sans une once d'hésitation mais me laisser submerger d'excitation.

Affalé au sol, les mains posées sur la cuisse, gémissement de douleur. La petite fumée sortant de l'arme emplit mes narines tandis que ma victime se vide de son sang.

- Tu disais ?

En un rien de temps, l'autre garde dû proprios de la chambre me sauta dessus.

- Putain de salope ! me frappe-t-il en plein visage.

FernandezOù les histoires vivent. Découvrez maintenant