IRÈNEAlejandro s'était adonné de me livrer aux mains de Pablo afin de me raccompagner jusqu'à la demeure familiale. Comme un joyeux précieux planant de mains en mains aux paumes avides.
Avant de retourner au foyer du diable, j'ai fait ma requête auprès de Pablo d'y retourner là où j'étais resté en présumant de prendre mes affaires personnelles.
Dans cette réalité qui m'entourait, mon unique dessein était de saisir le précieux téléphone portable qui m'avait offert comme un trophée par Aren et le journal de la mère du dictant de la famille.
Ces objets, d'une importance capitale, représentaient pour moi des outils essentiels, capables de m'apporter le salut et de mettre un terme à cette situation oppressante qui m'accablait depuis trop longtemps.
Le portable, symbole de connexion et de communication, allait se révéler être mon allié dans cette quête salvatrice, tandis que le journal, gardien des secrets et des vérités, renfermait en ses pages la clé de ma libération.
Les vitres cassées s'étaient propagées des plus belles au sol, elle en brillait avec l'éclat de la lune.
Le fracas de l'explosion résonnait dans mon esprit tel un chœur funèbre, où les cloches d'une église, empreintes de solennité, carillonnaient leur lugubre mélodie, annonçant l'arrivée inéluctable de la mort.
La mort, je l'avais coudoyé comme la mer embrasser les vagues âcretés, pourtant l'étendue d'eau salée durer de toute aménité.
La mort, elle en crée des dégâts émotionnels, abdiquant les battements de cœurs, comme la mort.
Je regarde à travers la vitre du véhicule, mon haleine alcoolisée fusionnée avec détermination sur la vitre étant source d'une buée tiédasse. Mon palais subsisté avide de suavité enchanteresse.
Elle symbolisait ma détresse, car l'alcool qui subsistaitter dans mon haleine résidait mon seul témoin de mon envie d'évasion.
Témoin de ma peine. Ma peine sans la minime présence de mon frère.
Les jours, les semaines, les mois s'en écoulait du sablier de la vie et Allan était un grain en plus entre les deux coter du sablier. Hésitant entre la vie et la mort guettant.
Le moteur du 4x4 s'éteint dans un silence tonitruant empreint d'un hourvari insonore.
Je quitte le véhicule avec hostilité avant d'enfin me conduire vers l'entrée de la résidence.
- Señora, retentit la voix rude de Pablo derrière mon dos.
Quand ma vie s'est tissée dans le monde contradictoire de celui de mon frère - là où la moral et les lois ne subsisteront jamais - je me suis appelé de tout genre de surnoms. Tous aussi désagréable que les autres.
- Irène, dis-je en lui faisant face, appel moi par mon prénom.
- Señora, insiste-t-il, tu changes de chambre. Le chef en a préparé un nouveau pour toi.
Son annonce m'adonner à l'ébaubi. Figurer méduser, inconsciemment ma main se mit à caresser le tatouage des Fernandez sur mon bras gauche.
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Fernandez
ActionUne ville balnéaire, un pays en proie aux flots tumultueux de la discorde. Une cause ? Une organisation. Alejandro Fernandez Diaz, un dirigeant puissant, cruel et célèbre pour sa férocité mythique ; il possède tout un monde. Allan Serenity, réputé...