ALEJANDROLe moteur actif, de promptitude inconcevable à identifier, de sons imperceptibles. La route déserte d'automobile était mon singulier champ de perspective. Et les penser accablante demeurais incessant. Un appui plus fort de mon pied était ressentant, comme un support sur la détente.
Jefe señora n'a pas baisé.
Les vidéos de surveillance avaient une tout autre réalité que mes visions. Dans ma réalité, elle était un chiffon se laissant utiliser par toute liquide vaisselle. Mais elle était aussi propre, vierge, que mon casier judiciaire avant mes 7 ans, aussi propre qu'un drap prêt à tacher, que des lèvres inanimé de parfum.
Mes recoins de lèvres se durcissent en un agaçant sourire semblant de sortir de ma transe de jouissance. Puis me raidit d'un rire mélodieux dans l'ensemble des sièges.
Elle lui avait pété la mâchoire. Elle lui avait fait seul bordel !
J'étais pris d'une folie de fierté indicible.
Cette vue était digne de faire la présence au cinéma. Dans son corps tout raide, elle était apte de détruire un vivant, comme un venin.
Comprendre la gestion d'un cartel était plus facile que d'y comprendre les pensées d'une femme. Mais sa façon de penser de ce soir-là était admirable - tout autant que son courage - ce qui avait le don de m'intéresser.
Les rues de mon pays étaient désertes de végétation, les bâtiments sont dressés, coloré et vibrant les vendeurs de tacos à chaque recoin de rues et parkings emplisse l'air d'arômes alléchants.
Et le chaos résidait à chaque libre espace de Tijuana. C'était une ville chaotique, la densité de circulation conduisant à un accident fulgurant tous les jours, l'agitation des quartiers, ainsi que les prostituer à chaque bout de rues, accompagné des fusillades extirpant des vies.
Le nombre d'enlèvements et de perte de vie. Et bien évidemment, j'en suis le principal concerné. Je règne sur ces terres tumulte.
Ces familles endettées, surpassant leurs délais, ou bien même désobéissant pas à mes ordres se trouva tantôt attaquer en pleine journée dans leurs demeures, tous éradiquer, sauf leur enfant.
Ainsi se trouve transporter leurs filles dans des boîtes de nuit, devenant les jouets favoris, et quand elles se trouvent à la tentation de rébellion elles rejoignit les anges de l'enfer
Et c'en était un tout autre sort pour les garçons, castré jeter au fin fond des trous de Tijuana, et d'autres sorte de destin banalisés de ma vie.
Dans les motels les plus ombrés, c'est ainsi qu'à débuter ma vie de narcotrafiquant.
Corrigeons, j'ai toujours été impliqué. J'en ai juste pris l'application.
Mes touts premiers coulis de sang d'adrénaline à chaque parole échanger dans mes talkie-walkies concernant mes marchandises, baisant à chaque instant avec toutes prostituer sans me questionner si cette voie était de leurs envies. Le goût des débuts était toute autre chose.
Luna.
La petite puta que j'avais par habitude de passer il y a 8 ans. Le début de l'aventure du jeûne au sang frais Alejandro. Discrète à la robe courte rose flamboyant, Luna. Sa masse bouclée noire et son teint mate, frêle et s'était laisser emporter à me raconter en larmes sa petite histoire tragique.
Et c'est lors d'une de ces fuites qu'elle fit perdre vie. Fuir ma boîte était assimilable de mort volontaire. Après l'avoir pisté, l'un de mes plus fidèles, Isaï l'avait tué. Je n'ai été connaissant que ce jour-là, non exclusivement la pute que je baisais à ma coutume étais parmi les obscurantismes morts, mais l'enfant qu'elle porter aussi.
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Fernandez
ActionUne ville balnéaire, un pays en proie aux flots tumultueux de la discorde. Une cause ? Une organisation. Alejandro Fernandez Diaz, un dirigeant puissant, cruel et célèbre pour sa férocité mythique ; il possède tout un monde. Allan Serenity, réputé...