IRÈNEL'arme toujours figée face à nous, l'homme aux cheveux brun, dont ça barbe est semblable aux épines d'un buisson, nous fixèrent de ses prunelles d'un noir profond et sombres tel que des cendres écarquillées après une bataille déplorable.
Des bruits de pas rapides tonitruent inopinément. Un homme fit irruption dans la pièce, et se place à côté de Diego portant toujours un regard percevant sur moi. Ses iris verts me scrutèrent frénétiquement, m'administrant une émeute de faiblesse féroce créant une symphonie dans mes oreilles avec les frissons naissants.
Savait-il que je suis la sœur d'Allan ?
Peut-être qu'il n'acquiesçait pas les données qui me lient à Allan. J'essayais de garder mon calme, si seulement toutes les proximités de cette demeure n'était pas encombrée d'hommes, on disposerait vraisemblablement l'opportunité de les immobiliser afin de fuir.
Cette situation avait un goût amer d'échec, comme si les nuages sombres de la défaite s'étaient abattus sur moi.
On dit que lorsque la mort nous guette, elle se tient là, hautaine, nous narguant de son regard impitoyable. C'est à ce moment-là que l'on perçoit une lueur, une lueur qui s'accouple à notre esprit tourmenté.
Dans cette lueur, se dessine un paysage unique, celui de notre existence et de nos proches, comme un rappel poignant de tout ce qui compte réellement.
Mais hélas, cette lueur est accompagnée d'une peur si intense, si dévorante, qu'elle nous prive du droit de rêver, de croire en une issue favorable.
Elle nous enserre dans ses bras glacés, nous laissant impuissants face à notre destin.
Et dans les cendres de cet enfer cuisant, l'intransigeante réalité s'apparier de l'espérance stérile.
Conjecturer, nous pendait à l'obéissance ce qui demeurait contradictoire à ma philosophie construite par Allan.
L'individu venant de surgir la porte portait un t-shirt blanc mettant en valeur ses bras larges matte couverte de divers tatouages tel un gribouillage d'un enfant et un pantalon noir.
Ce dernier se pencha vers Diego en lui murmurant quelque chose à en faire dilater ses pupilles vert menthe.
D'un signe de main aboulique vers l'homme venant de pénétrer les lieux, Diego se tourna pour passer un appel.
Malgré mon impassibilité, un poids lourd l'introduisait en mon cœur comme si elle glissait de mon tronc brachiocéphalique pudiquement, déterrant.
Moi-même je séquestrais une admiration hypocrite à ma personne de ne pas mettre effondrer à ma position aussi piètre que calamiteuse.
S'empêcher se coulaient les émotions étaient fatales à mon esprit
Mes yeux patinèrent vers Luca avec prudence, de même qu'un cygne coudoyant ses pairs.
Répandant un cornage absolu prenant le major contrôle du mutisme régnant dans la pièce me rappelait que Luca est asthmatique.
Il fallait que quelqu'un réagisse avant qu'il ne fasse une crise d'asthme. Diego regagnait sa place précédente, son visage exprime un sourire si sournois, me figeant simultanément.
- Il y a..., balbutiai-je doucement, attirant l'attention de l'homme qui tenait une arme sur nous, qui est maintenant visé uniquement sur moi.
Reprenant mon souffle face à l'arme qui me menace, je continue d'intervenir :
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Fernandez
ActionUne ville balnéaire, un pays en proie aux flots tumultueux de la discorde. Une cause ? Une organisation. Alejandro Fernandez Diaz, un dirigeant puissant, cruel et célèbre pour sa férocité mythique ; il possède tout un monde. Allan Serenity, réputé...