𝟏𝟒 - 𝐂𝐎𝐍𝐅𝐈𝐀𝐍𝐂𝐄

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CHRISTIAN


Son cri tourmenté a percé la nuit comme un couteau faisant courir un frisson dans l'échine à tout ce qui ont eu droit de l'entendre.

Frissons d'exaltation. Le ciel a saigné et l'obscurité a encore dominé l'air. À tour de rôle, on avait pris le temps de faire bon nous semble sur le corps de l'enfoiré.

Ces crie était devenu tel un chant religieux n'abdiquant pas un esprit. Il criait plus fort quand c'était Alejandro qui s'en occupait.

Diego était profondément défoncé que ses phrases étaient construites aléatoirement. Connaissant mon con de frère, il prendrait le chemin de la boîte de nuit et baiser toute la nuit.

- Qui t'a envoyé ? répéta mon cousin prenant une dernière bouffée de sa cigarette.

Le silence était son seul porte-parole. Et ses cris. Alejandro était de loin de régir la patience et la sagesse d'un saint.

- Ouvre la bouche.

- Qu..quoi ? élance t'il enfin sa voix.

- Ouvre la bouche.

Alejandro exerce une traction sur sa mâchoire pour la forcer à ouvrir et y immerge avec une grande impulsion sa cigarette.

Il pousse un nouveau cri au même moment que la femme de celui qui lui posait des questions rentra avec Pablo.

Toujours cette tête de fatiguer, mais avec l'étincelle de force dans ses yeux. Elle s'adossa contre le mûr gardant les yeux sur Alejandro.

- Tu vas parler ? s'enquiert impatient.

Alejandro est la définition même d'une bombe qui peut exploser prenant toute vie, mais il était avant tout silencieux et calme.

Alejandro face à une personne n'est pas une bataille, mais un carnage. Le point de départ de sa cascade de larme se posa sur elle. Mon cousin s'étirait avant de prendre des clous rouillés.

- Tu vois elle, la désigne-t-il de ses doigts, c'est la dernière fois que tu la vois, enfonças les clous dans les yeux l'homme hurlant.

Ça ne lui fait aucun effet, elle regarda la scène avec haine. Ce n'étais pas son agresseur, mais celui qui lui inflige cette douleur qu'elle regarder.
La petite n'a pas froid aux yeux.

Je vis ses mains cacher derrière tremblait, décidément cette scène lui octroyer une haine. Elle n'avait peut-être pas le sang si froid que ça.

Alejandro reçut un appel et ses yeux restèrent paisible avec un sourire cryptique. Un message fit vibrer son portable qu'il jeta un coup d'œil rapide.

Allongeant ma main vers un bâton en metal pointue disposer au coin du canapé, je me levais m'approchant de la victime peu bavard. Peut-être qu'il restait silencieux parce que lui-même ne savait pas pour qui il travail ?

- ARGHHH !

- Cállate cabrón, insultais-je, tu as déjà perdu un de tes sens, tu veux en perdre un autre ? Qui t'a envoyé ?

FernandezOù les histoires vivent. Découvrez maintenant