Fernandez

𝟐𝟏 - 𝐀𝐑𝐄𝐍

ALEJANDRO

« Allan Serenity, va-t-il suivre le chemin de son père ? La mort, va-t-elle l'avoir ? »

« Le cartel s'est t'elle révoltée contre les lois ? »

« Alejandro Fernandez Diaz, défie-t-il la première puissance mondiale ? »

« Une question palpite dans toute la ville, est-ce qu'Allan Serenity va-t-il réouvrir les yeux ? »

« Les os du tibia fracassés, deux balles dans l'abdomen, la volonté de survie du procureur se perds à chaque seconde »

« San Diego s'est couvert de sang, et encore une fois, le principal suspect : le cartel de Triunfante.»

« D'après les médecins, même si la vie du procureur n'est plus en danger, les chances qu'il ouvre les yeux en est quasi-improbable »

« La jeune épouse d'Alejandro Fernandez est-elle de mèche à la tentative d'assasina de son frère ? »

« Les Fernandez, sont-ils les vrais coupables ? »

Putain de merde.

Chaque annonce se résumer un éclat de verre bouillonnant de sang, le rendant plus redoutable. L'infirmière ne demeura pas la seule pantelante de cette nouvelle impétueusement trépidante.

Elle s'était adjointe à la colère, semant un ouragan ayant le pompon. Ses cris suivis de tour de rôle de ses tentatives à m'atteindre avait été succomber à l'interversion de mes hommes et Edgar. Son acte peu réfléchi la conduite a l'emprisonnement à clé dans la chambre.

Un tableau d'interrogation s'était voilée sur chaque facettes familiales résidant sous le toit.

Les yeux patinant de mes cousins aux miens, récoltant toutefois la même expression ayant fleuri tantôt sur nos visages, leurs extraits, une rage inouïe.

Tandis que la situation se dégradait, presque notre défaite était présentée.

- Patrón, vibra mon portable toujours en appel, on ne parle que de toi dans les lieux.

Après avoir cloîtré la sœur du célèbre victime, mes hommes à San Diego étaient sous ordre d'espionner les lieux de la tragédie.

- Mon fils ? retentis la voix de l'homme sous la statue de père. Qu'as-tu fait ? ¿ Por qué ?

Une succession d'émotion vint de me pénétrer l'esprit. La rage. L'envie de destruction. Mettre fin à ces enfoirés essayant de nuire à ma réputation.

L'aversion, tel un remous psychologique d'une magnitude inébranlable, s'insinue dans les recoins les plus ombrés de l'âme, tout comme la cocaïne corruptible pour les esprits avides.

Or, la cocaïne demeure une tentation irrépressible, une dépendance insatiable, tout comme ce sentiment destructeur qui consume tout sur son passage. L'aversion. L'homicide.

Éradiquer l'existence de ces pédés essayant de bousiller mon règne était la seule pensée réjouissante.

- Trouvez-moi le hijo de puta qui ment à mon sujet ! braillais-je avant de raccrocher.