Un ange tomber en enfer

Un Pas vers la Lumière

Pdv Giulia 
Depuis notre retour de la forêt, je me suis enfermée dans un silence douloureux, subi les ombres du passé consumer mon âme. Les jours défilaient, monotones et froids, tandis que je m'abandonnais à mes pensées tourmentées. Pourtant, malgré ma douleur, je sentais une petite lueur d'espoir brûler en moi, une envie de renaître de ces cendres, de retrouver ma voix et de regarder l'avenir avec courage.

Un matin, alors que le soleil se levait timidement, j'entendis un léger toquement à ma porte. C'était Alessandro, le bras droit d'Ezio, celui qui m'avait aidée à m'entraîner. Je ne voulais plus lui ouvrir la porte trop honteuse et vulnérable pour lui montrer mon visage. Mais cette fois-ci, quelque chose en moi me poussa à ouvrir la porte.

« Giulia, puis-je entrer ? » demande-t-il doucement.

J'hochai la tête et ouvris la porte, les yeux baissés. Alessandro entre et ferme la porte derrière lui.

"Je suis désolé pour tout ce qui s'est passé," dit-il avec sincérité. "Mais tu sais, tu n'as pas à porter ce fardeau seule. Nous sommes là pour toi."

Je levai les yeux vers lui et me perds dans son regard chaleureux. Il avait toujours été mon pilier, celui qui me guidait quand je me sentais perdu. Cela faisait peu de temp que je le connaissait mais un lien special avait été creer entre nous malgre la situation initiale j'avais toujours été seule sans personne pour m'aimer pour me montrer que j'étais importante pour elle. Alors oui, j'étais stupide de m'attacher a eu mais j'étais seule. Putain oui j'étais seule dans se monde....

Je... je ne sais pas comment faire face à tout ça," murmurai-je.

"Tu n'as pas à tout gérer en une seule fois," répondit-il. "Prends ton temps pour guérir, Giulia. Et nous serons là à chaque étape."

Ces mots me touchèrent profondément, et pour la première fois depuis longtemps, je sentais un poids s'alléger légèrement sur mes épaules. J'allais devoir apprendre à accepter l'aide.

Les jours suivants, je me sentais plus forte, même si la tristesse persistait en moi. Alessandro et moi reprenions lentement notre entraînement. Il me montrait différentes techniques de défense et d'attaque, m'aidant à canaliser ma colère et ma douleur dans des mouvements puissants.

Un soir, alors que le coucher de soleil teintait le ciel de nuances orangées, Ezio nous rejoignit dans la salle d'entraînement.

"Giulia, Alessandro, asseyez-vous," dit-il d'une voix calme.

Nous obéîmes et nous installons autour d'une petite table.

"Nous avons besoin de nous préparer pour une mission importante au Mexique", a commencé Ezio. "Le cartel ennemi a renforcé ses activités là-bas, et nous avons besoin d'obtenir des informations cruciales sur leurs opérations. C'est risqué, mais c'est nécessaire. La bas j'ai Juan le chef de la favela qui m'aidera a me donner des informations sur c'est putain de traitre."

Je sens mon cœur s'emballer à l'idée de partir pour le Mexique, un pays lointain et inconnu. Mais en même temps, l'excitation de l'aventure se mêlait à ma peur.

Nous partons demain matin, alors reposez-vous bien ce soir", dit Ezio en se levant.

Le Mexique nous attendait, avec ses mystères et ses dangers. Mais j'étais prête à affronter tout ce qui se présentait sur mon chemin, car j'avais appris que je n'étais pas seule dans cette lutte. Et peut-être, au bout de ce voyage.

Pdv Ezio

Assis dans mon bureau, j'observe les plans et les rapports dispersés sur la table. La tension était palpable dans l'air alors que je réfléchissais à l'opération délicate qui nous attendait au Mexique. L'alliance du cartel ennemi avec d'autres organisations et leur trahison envers nous ont causé notre insécurité. Nous devions agir rapidement pour contrer leurs plans.

Le téléphone sonna, me sortant de mes pensées. C'était Juan, le chef de la favela a qui j'avais sauver la vie et qui m'avait promis de me donner toutes les information sur ce putain de cartel Mexicain 

"Ezio, tu dois savoir quelque chose d'important", dit-il d'une voix inquiète. "Le cartel avec lequel vous avez retenu de vous allier a vendu des informations sur vous à d'autres organisations en échange d'armes lourdes. Ils vous ont trahis."

Je serrai les poings de colère. Comment avais-je pu être aussi naïf de croire qu'ils pouvaient être de confiance ? C'était une erreur que je ne pouvais pas me permettre, car cela mettait en danger la vie de mes hommes et la sécurité du cartel.

"Merci pour l'information, Juan," répondis-je d'une voix tendue. "Je vais régler cette affaire moi-même."

Je raccroche le téléphone, laisse la colère bouillonner en moi. Il était temps de prendre des mesures drastiques pour neutraliser cette menace.

Mon esprit était en ébullition, élaborant un plan qui nous permettrait de détruire le cartel ennemi de l'intérieur. Ils avaient joué avec le feu en s'alliant avec nos ennemis, et ils devaient en payer le prix.

Je me rendis dans la salle de sport pour y parler a  Alessandro et Giulia pour les informateurs de la situation. Ils étaient tous les deux essentiels pour m'aider dans cette mission délicate.

"Alessandro, je veux que tu mobilise nos hommes et que tu assures la sécurité du quartier général en mon absence," ordonnai-je.

"Entendu, Ezio," répondit-il avec détermination.

"Giulia, je vais avoir besoin de toi pour infiltrer le cartel ennemi et recevoir des informations vitales sur leurs opérations," ajoutai-je.

Elle hocha la tête, ses yeux brillants de détermination. "Je ferais tout ce que je peux pour vous aider."

"L'heure était venue de faire face à notre destin: Vivre ou mourir"