Une ange déchu

368 17 20
                                    

Pdv Giulia 
Je me sens terriblement malade. Mes yeux se ferment et j'ai l'impression que je pourrais dormir pendant des heures. Je suis complètement épuisée, et je ne sais pas pourquoi. Je me rappelle avoir été emmenée à l'extérieur, mais tout le reste est flou.

Je suis allongée sur le canapé, mon corps tremblant de froid. J'entends Ezio qui parle fort à quelqu'un. Il est en colère. Je ne sais pas pourquoi, mais je sais que ça doit être à cause de moi.

Je me sens encore plus mal. Je lui en veux de m'avoir parlé ainsi. Il n'a pas l'idée de ce que je suis en train de vivre en ce moment. Pourquoi est-il si dur avec moi ? Pourquoi ne peut-il pas être gentil ? Je sens les larmes monter à mes yeux, mais je fais tout pour les retenir.

Je me recroqueville sur le canapé, tenté de me réchauffer en me serrant contre moi-même. Je sens Ezio qui s'approche de moi, mais je ne veux pas lui parler. Je ne veux pas le voir. Pas maintenant.

Il s'assoit à côté de moi et me tend une tasse de thé chaud. "Bois ça, ça va te réchauffer", dit-il en me souriant timidement .

Je le regarde, encore en colère. Mais son sourire est si doux et si réconfortant que je ne peux pas m'empêcher de me détendre un peu.

Je prends la tasse et le bois une gorgée de thé chaud. C'est délicieux et ça me réchauffe immédiatement. Ezio reste assis à côté de moi, silencieux. Je peux sentir sa présence apaisante à mes côtés.

Je finis par lui demander pourquoi il m'a crié dessus. Il me regarda surpris t me répondit  que c'est parce qu'il était inquiet pour moi. Il me dit que c'est dangereux de sortir dans le froid en Russie , surtout si on n'a pas les vêtements adéquats.

Je suis touchée par ses paroles. Je comprends maintenant qu'il ne veut que mon bien. Je suis émue qu'il se soucie de moi à ce point.

Je me blottis contre lui, le remerciant pour sa gentillesse. Il passe un bras autour de moi et me serre contre lui. Nous restons ainsi un moment, silencieux, tous les deux réconfortés par la présence de l'autre.

Une personne entra dans la suite

Le monsieur ne semblait pas se préoccuper de moi, même si je me trouvais juste à côté d'Ezio. Il avait l'air d'être plus intéressé par l'information qu'il avait à donner. Alexei, le parrain de la mafia, avait des soupçons quant à une servante qui travaillait pour l'ennemi. Ezio se mit immédiatement en action, écoutant soigneusement tout ce que l'homme avait à dire.

Pendant qu'Ezio parlait avec le messager, je sentais ma colère monter en moi. J'étais toujours en train de tousser et de me sentir mal, mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser à la façon dont Ezio m'avait traité plus tôt. J'étais en colère contre lui et je voulais qu'il sache que je ne tolérerais pas qu'il me parle de cette façon à nouveau.

Finalement, l'homme quitta la chambre et Ezio se retourna vers moi, un regard inquiet sur son visage. "Giulia, ça va ?", demanda-t-il 

Je me redressai un peu, serrant les dents pour retenir une autre vague de nausées. "Non, ça ne va pas. Tu m'as hurlé dessus et tu n'as pas été gentil avec moi", rétorquai-je, ma voix rauque à cause de ma gorge irritée.

-Je voulais te prévenir hier, tu n'étais plus la et puis tu ma même pas laisser m'expliquer que tu ma agresser. Dis je les larme au yeux 

Je fus coupé par une personne qui frappait a la porte 

Ezio ouvrit la porte de la chambre d'hôtel et la femme qui se ramenait devant lui ne m'était pas inconnue. C'était la servante qui m'avait mise dehors sans ménagement. Ezio la regarda d'un air interrogateur, comme s'il ne savait pas ce qu'elle faisait là. Elle se présente comme étant de la famille d'Alexei, le parrain de la mafia Russe . Elle avait été envoyée pour lui parler d'une affaire urgente.

Un ange tomber en enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant