Amalyia
– Pas faux. Rajouta Esteban. Après si on regarde bien tout le monde sourit et sa faisais longtemps. Surtout de voir Valac sourire.
Sans même le contrôler, je levais les yeux au ciel. Il ment. Valac avait dut sourire tous les jours depuis que j'étais partie. Comme chacun d'entre eux. Lorsque je me concentrais de nouveau sur le monde qui m'entourais. Je sentis des regards sur moi. Et je croisais les yeux vert de Rhydian. Nos regards restèrent connecter pendant quelques secondes seulement. Ses yeux m'observaient comme si j'étais quelque chose de précieux. Il joue très bien la comédie. Il faudrait qu'ils me donnent les coordonnées de la personne qui leurs à appris l'art de la fourberie. Peut être ont-ils prient des cours avec Loki en personne. Cela ne m'étonnerai guère. Il détourna les yeux en premier. Se concentrant sur Esteban pour lui chuchoter :
– où est ma petite sœur Esteban ?
Esteban tourna les yeux vers moi. Tandis que je me mis à fixer la forêt en face de moi. Il faut que j'aille au motel.
– Je n'ai pas faim. Fit-je en me levant brusquement.
Tous tournèrent leurs attention sur moi alors que je quittais la table direction la sortie. Enfin.
– Amalyia ! M'interpella le président. Rassied toi à ta place.
Je ne put m'empêcher de laisser sortir un léger rire sarcastique. Croyait-il vraiment pouvoir me donner des ordres ? Mon rire fut suivit par plusieurs petits ricanements.
– Pardon, mais c'était hyper marrant. On aurait dit que tu pensais vraiment que j'allais écouter ton ordre. Rigolais-je sardonique.
Et je repris mon chemin jusqu'à la sortie. Tout en l'écoutant me hurler de revenir. Un rictus coller au visage, je sortie de la maison. Les Déchus mener par mon géniteur à ma poursuite. J'enfourchais ma moto et vis le président serrer durement la mâchoire lorsque je démarrais.
– Descends de cette moto Amalyia ! M'ordonna-t-il en me fusillant du regard. Maintenant.
– Je vais revenir. Ne t'inquiète pas. Ça ne te serre à rien de perdre la face devant tes hommes en me donnant des ordres. Que, sois dit en passant, je n'écouterai pas. Le rassurai-je d'une voix glaciale.
– Tu descends immédiatement de cette moto. Renchérit-il durement.
– Tu as peut être gagner du temps en appelant Mme Harrison. Mais ne croit pas une seule seconde que je resterais dans ta petite maison et que je te laisserais me donner des ordres.
J'avais répondus calmement et je crois que c'était ce qui l'avais le plus énerver. Tant mieux ! J'activais la musique de mon casque et me lançais sur la route. La musique réduisait légèrement ma perceptions des sons environnant sans m'en couper totalement. Et c'était exactement ce dont j'avais besoins. Du répit. C'est tout ce que je demande. Bien que j'avais perçus que j'étais suivit. Je pris la direction du motel.
Arriver au motel, je récupérais toutes mes affaires qui tenais dans un sac à dos. Puis je ressortis de la chambre afin de rendre les clés et de payer le propriétaire. Une fois fait, je quittais le motel. Et remarquais que le parking était remplis de motos et par conséquent des Déchus. Enfin des enfants des déchus. Valac se tenais face à moi. Et pour la première fois, je remarquais à quel point son regard semblait tourmenter. Heureusement, grâce à une claque mentale, je revenais sur terre.
Il avança vers moi et s'arrêta juste à quelques centimètres de mon corps. Mes épaules se crispèrent comme à chaque fois. Et il murmura :
– Dit moi que ce n'est pas ici que tu as dormis cette nuit. Sa voix résonna dans mes oreilles. Son regard semblait me hurler de le rassurer. Ce que je ne fis pas. Esteban s'approcha de nous suivit de près d'Hadriel. Tandis que Kyle et Rhydian restèrent en retrait. Ils ont peur pour leurs motos. S'en est presque mignon. Presque.
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Obsidian Flammer [T1]
RomanceA sept ans, tous l'ont rejetés. Son père, ses frères, sa famille. Abandonner aux mains d'une mère abusive et colérique. La petite princesse a dut survivre et devenir une jeune femme. Dix longues années sont passées lorsque le président des Chi...