Obsidian Flammer [T1]

°27°

Valac 

– Comment ça, elle est monter dans une voiture et elle est partie ? Demandais je l'oreille coller à mon téléphone. 

Mon niveau de panique était à son maximum. Je ne suis parti que depuis une quinzaine de minutes et la princesse à déjà eut le temps de s'enfuir.

 – On la suit actuellement, elle est avec le rasé là. Mais je ne sais ce qu'elle fout dans cette putain de voiture. Fit Esteban de l'autre coté du fil. 

Je vais lui faire implanté une putain de puce GPS, c'est plus possible là.

 – Active ta localisation, je vous rejoins. Lui disais je.

 – Ok mais ne dit rien au prés. L'entendis je me dire que je ne raccroche. 

Étant déjà sortie pour pouvoir répondre à mon frère, je ne pris pas la peine de prévenir les anciens de ma disparition. Ils comprendrons bien à un moment que je ne reviendrais pas. Quand je ne sais pas mais ils le comprendrons. Sans perdre une seconde, j'enfilais mon casque et grimpais sur ma moto. Je démarrais et m'élançais sur la route en me dirigeant grâceà la localisation d'Esteban. Qu'est ce qu'elle va faire dans la maison d'Anna Liston ? Ne me dit pas qu'elle va en soirée. Cette pensée me fit accélérer. Faites qu'il ne lui arrive rien. La panique parcourant mes veines me faisait prendre des risques dans ma conduite. Tu ne la sauveras pas si tu es mort. Je lâchais l'accélérateur en remarquant que je n'étais pas loin du point GPS. Je reconnaissais la maison d'Anna pour avoir presque passer toute ma terminale. En me précipitant vers l'entrée je remarquais les motos de mes frères garer juste à coté d'une voiture. J'entrais dans la maison d'où sortait la musique que l'on aurait pu entendre à des kilomètres à la ronde. Passant la porte tel une furie, j'attirais les regards mais je n'y fis pas attention et avançais vers mon objectif. Situer au milieu du salon, embrumé de fumé, mes frères et la princesse semblaient en pleine joute verbale. En m'approchant je discernait, malgré la fumé et la lumière tamisé, le visage du rasé au cotés de la princesse. Alors c'est lui qui l'a entraîner dans ces conneries. Putain de rasé de merde.

 – Tu vas rentré avec nous, Amalyia. Ne discute pas. Gronda durement la voix d'Esteban. 

Je ne l'entendis pas à cause de la musique, mais je devinais son ricanement ironique. Elle n'allait pas obéir, c'était évident. Malgré la situation, je restais bloqué sur sa tenue. Elle est putain de magnifique. Pourtant mes muscles se crispèrent et la colère monta en moi cherchant à me submerger. Je déteste que d'autres hommes puissent voir ce qui est à moi.

 – Tu penses vraiment que j'en ai quelque chose à faire de ce que tu me dis ? Non parce que là ça commence à devenir lourd. Donc je vais le répéter une dernière fois : Tu n'as aucun ordre à me donner, tu n'es personne. Rétorqua la princesse.

Je ressentais la peine de mon frère en même temps que lui. Je te comprends mon frère, mais n'abandonne pas. Ne m'ayant pas remarquer depuis le début la princesse eut presque l'air surprise lorsque j'apparaissais à ses cotés. Presque.

 – Tu ne veux pas rentré avec nous, OK. Mais nous, on va rester là, jusqu'à ce que tu rentres. Ça vous branche les gars ? Intervenais je faisant grimacer la princesse. 

Le souvenir de son corps seulement entourer par un serviette hantait mon esprit me rappelant à chaque secondes à quel point ma princesse était belle. Son souffle qui s'était mêler au mien, jusqu'à ce que Zik nous sortes de notre bulle, m'avait rendu vivant. J'avais l'impression d'avoir retrouver mon souffle en lui arrachant le sien. Mais là c'était elle qui m'avais retirer le mien. Son rouge à lèvres bordeaux mettait en valeurs ses lèvres et son regard semblait encore plus magnétique qu'habituellement. Ses cheveux effleuraient ses épaules dénudés ce qui attirait mon regard. Sa peau halé brillait alors que j'analysais sa robe. Qu'est ce qu'elle peut être belle.