– Tu n'auras aucune séquelles H. je te le promets. Soufflais-je exaspérée.
– Tu es sur ? Non parce que je sens quelque chose de différents en moi. Si ça se trouve je n'ai plus qu'un seul reins. Ou un seul poumon. Fit-il paniqué.
– Tu as toujours tous tes organes. Si tu veux en être sur tu peux aller voir un médecin. Ou demande à Rhydian.
Il faut que je m'éloigne d'eux. Je ne veux pas qu'ils soient de nouveau en danger. Je dois partir. Valac assit à coté de moi ne cessait de me regarder, ses iris flamboyante brillaient encore plus qu'avant depuis...Ça. Les mini Déchus étaient rassemblés autour de nous assis pour certain sur le sol de ma chambre pour d'autre sur mon lit. Malgré l'angoisse que je devrais ressentir, j'étais apaisée de leurs présences. Par ailleurs aucuns d'eux n'avait oser me poser de questions de peur de me brusquer sûrement. Tous souriaient en regardant Hadriel s'agiter pour regarder son torse essayant de voir entre les couches de peaux pour savoir s'il avait tous ces organes. Heureusement pour lui, la Belladone n'avait pas pour attribue de s'attaquer aux organes, elle paralysait le système interne de la victime. Pris à temps, l'antidote permettait d'empêcher le cœur de s'arrêter.
– Bon très bien, je te crois. Mais maintenant que je sais que je ne pourrais te toucher que si je suis gravement blesser, laisse moi te prévenir qu'il est très possible que je sois souvent blesser. Lâcha-t-il en riant.
Pourtant sa réflexion ne me fit pas rire, seuls les Déchus rirent avec lui. Voyant que je ne rigolais pas, ils se calmèrent rapidement. Un long silence s'installa dans la chambre, sans que personne n'ose le rompre. Il n'était pas angoissant ou gênant, c'était un silence de calme. D'un coup, je me levais de mon lit avant de me diriger vers ma porte ayant un objectif bien précis.
– Lyia, tu vas ou ? Hurla Valac et Hadriel en même temps.
Je ne pris pas la peine de leur répondre sachant parfaitement qu'ils me suivraient. J'aurais aimé être seule mais j'avais sentis leur inquiétude. Ils me pensaient en danger après ce qu'il s'était passé ce matin. Pourtant si quelqu'un était en danger, ce n'était pas moi.
– Je viens de me faire empoissonner, tu pourrais au moins ralentir pour que je puisse marcher à tes cotés. Hurla Hadriel alors que je sortais de la maison, jouant un peu trop de son empoissonnement à mon goût.
Je levais les yeux au ciel sans qu'ils ne le voient bien sur. Depuis que j'étais rentré, j'avais l'impression que lever les yeux au ciel était devenu mon tic préféré.
– Je ne sais pas ou tu vas avec tes petites jambes mais tu pourrais quand même nous attendre. Lança Rhydian.
Sa petite pic sur ma taille allait lui valoir une remontrance.
– Je suis peut être petite, mais j'ai plus de couille que toi, Rhydian. Alors il serait temps que tu change de disque avec tes blagues pourries. Rétorquais-je sans me retourner.
J'entendis dans mon dos des éclats de rire me faisant sourire par la même occasion. Je continuais mon chemin jusqu'au salon de jardin qui surplombait la vallée. J'adore cette endroit. Il est calme, apaisant, naturelle et l'air y est respirable. Tout ce dont j'avais besoins en ce moment. Je me laissais tomber sur l'un des sièges qui était orienté vers la rivière en contre bas. Le bruit de l'eau qui ruisselait me parvenait grâce au silence des Déchus. Il faut croire qu'à certains moment, ils savent se taire. Valac s'installa près de moi, accompagné d'Hadriel tandis que le reste des Déchus se plaçait sur les sièges restant. C'est le moment.
– Je sais que tu n'aimes pas les question, Lyia mais je pense qu'il faut que tu nous racontes pour que l'on puisse tous avancé. Se fit doucement entendre Rhydian.
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Obsidian Flammer [T1]
RomanceA sept ans, tous l'ont rejetés. Son père, ses frères, sa famille. Abandonner aux mains d'une mère abusive et colérique. La petite princesse a dut survivre et devenir une jeune femme. Dix longues années sont passées lorsque le président des Chi...