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TW : Violence

Assise sur l'un des tabourets de la cuisine, je ne mis étais pas rendu de gaieté de cœur, je regardais l'assiette présente devant mes yeux. Des pâtes carbonaras. L'odeur de fromage s'infiltrait dans mes narines alors que tout les Déchus s'étaient placé autour de moi me regardant attentivement. Mon géniteur insistait pour que je mange au point ou il m'avait menacer de me retirer ma triumph. Mais étant l'unique détentrice de la carte grise, je lui avais rétorquer qu'il serait facile d'appeler la police et de le faire accuser de vol. Pour qu'ils me lâchent enfin j'avais manger une pomme entière mais apparemment cela ne leur suffisait pas.

 – Valac cuisine vraiment bien Lyia, il faut que tu goûtes. En plus ça te redonnera des forces. Intervient doucement Kyle dont les yeux me suppliait de manger. 

Cependant je ne pouvais pas plier et leur donner raison. J'avais tenter de nier mais aucun d'eux ne m'avait cru. J'avais tenter de les prendre par les sentiments ce que Dean avait très bien comprit. Alors j'allais devoir me battre. Mais au moins j'avais repris des forces. Une pomme me suffisait.

 – Je n'ai plus cinq ans, vous n'avez pas à me forcer pour manger. Je ne suis pas anorexique. Je n'ai plus faim. J'ai manger une pomme ce qui est amplement suffisant. Lâchais-je en descendant du tabouret.

 – Je me fous que tu n'ai plus cinq ans Amalyia si tu ne manges pas ce qu'il y a dans cetteassiette, je te punirais comme si tu étais une enfant parce qu'en refusant de t'alimenter, tu ne fais rien d'autre qu'un caprice. Tonna la voix de mon géniteur. 

Lui aussi s'était redressé et ne me lâchait pas des yeux. L'autorité dans sa voix fit se recroqueviller la petite fille en moi. Malheureusement pour lui et heureusement pour moi, je n'étais plus cette petite fille.

 – Ouh j'ai trop peur, non je ne veux pas être punie, s'il te plaît papa, je t'en supplie, ne m'engueule pas. Fis-je d'une voix enfantine. 

Mon insolence ne dut pas lui plaire car son visage se ferma. Ouh je vous ai vexer, monsieur Nott, toutes mes excuses dans ce cas. Ou pas.

 – C'est ce que tu aurais voulus que je te réponds pas vrai ? Dommage pour toi, j'en ai rien à faire de tes état d'âme. Rajoutais-je calmement.

 – Je n'arrive pas à comprendre comment tu as pu devenir aussi différente ? Tu étais ma gentille et toute mignonne petite fille et aujourd'hui tu me traites comme si j'étais ton ennemi. Mais je n'ai rien fait pour être traiter d'une tel façons. S'énerva-t-il.

 – Justement ! Tu n'as rien fait. Tu n'as rien fait quand ta femme me criait dessus parce que selon elle, à cause de moi, elle avait perdus les enfants qu'elle aimait et la vie dont elle rêvait. Tu n'as rien fait quand mon école t'a appeler parce que je m'étais battue. Et oui j'avais donner ton numéro, en espérant que tu répondes et que ce soit toi qui vienneme sortir de cette enfer. Tu n'as rien fait quand la moitié des mec que Virginie ramenait essayait de m'expliquer ce qu'était un bon père. Tu n'as rien fait quand je t'ai inscrit à la journée « les papas viennent parler de leur métier. » J'en ai des centaines comme ça mais je pense que t'as compris donc maintenant j'apprécierais que tu bouge de mon chemin. 

J'en ai trop dit. J'aurais du me taire. Tu aurais fermer ta grande gueule, petite conne. Un sentiments de regrets était omniprésent dans mon esprit même à l'instant ou je traversais la cuisine pour monter dans ma chambre. La prochaine fois ferme ta gueule, grosse vache. Moninstinct me fit m'arrêter à mis chemin dans les escaliers. Maintenant accroupis j'attendais quelque chose, ça arrivait, il allait se passer quelque chose mais je ne saurais dire quoi. La sonnette du portail retentis brisant le silence environnent. J'entendis du mouvement et je vis Zik entrer dans le salon avant d'appuyer sur l'interphone.

Obsidian Flammer [T1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant