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Mon cœur rata un battement à l'entente de ses mots. Elle ne peut pas être avec lui. Elle ne peut pas. Je refuse de l'entendre. Elle est à moi. Je repris mes esprits lorsque le président des Déchus plaqua violemment le couillons contre la table. Malgré la violence du choc, ce connard n'arrêtait pas de sourire. Et sans que je ne le vois venir Amalyia pris le bras droit de son père qui tenait précédemment le rasé pour lui faire une clé de bras. Nott se retrouva la joue plaquer contre le bois de la table de pic nic alors que Lyia dont le visage ne reflétait rien poussait son bras plus haut entre ses omoplates.

 – Amalyia, il est blesser. Donc lâche le. Fit durement Rhydian. 

La princesse ricana sadiquement. Avant de tourner la tête vers son frère. Rhydian dut voir quelque chose qui ne lui plaisait pas dans son regard car il fit une moue bizarre.

 – Oh pauvre petit Déchus, il est blesser ? Mais non ! Je devrais lui faire un bisous magique. Non mais tu te prends pour qui Rhydian ? Je sais qu'il est blesser, mais on ne touche pas à mes proches. Alors si tu n'as pas compris, non, je ne le lâcherai pas. Cracha durement la princesse.

Dans son dos, le rasé eut l'air surpris d'être décris comme un de ses proches. Tu dis être son futur mari mais tu ne savais pas qu'elle tenait à toi. Est ce que tu es con à ce point ? Brusquement Nott se défit de l'emprise de la princesse, parce qu'elle le voulait bien, et se replaça devant elle en ne la lâchant pas des yeux.

 – Je n'ai pas besoin que tu me défendes Rhydian quant à toi Amalyia, tu peux m'en vouloir autant que tu veux mais tu me dois le respect autant parce que je suis ton père que parce que je suis ton président. Fit calmement Nott. 

La princesse leva les yeux au ciel ce qui ne plaisait visiblement pas à son père qui fronça les sourcils.

 – Est ce que tu m'as entendu Amalyia ? Je t'ai laissé faire ce que tu voulais jusque là mais j'en ai marre. Je veux retrouver la petite fille respectueuse que j'ai élevé. Rajouta Nott.

 – Pour ça, il aurait peut être fallut que tu finisse de l'élevé, tu ne crois pas ? Nargua la princesse.

Le rasé dont j'avais oublier la présence lâcha un ricanement. Et sans le contrôler, je me précipitais vers lui pour lui envoyer mon poings dans la figure. Mais il l'évita de nouveau et la princesse se plaça entre lui et moi en me regardant droit dans les yeux.

 – Qui touche à mes proches auras à faire à moi. Imprime toi ça dans le crâne Valac. Si tu le touche je te rendrais les coups au centuple.

La détermination que je vis dans les yeux de la princesse me ramena des années en arrières. 

Je repousse violemment Esteban qui tentait de me frapper. Je ne comprends pas pourquoi il est autant en colère. Je n'ai rien fait.

 – Pourquoi tu t'énerves ? Je lui demande mais il ne me répond pas et me fonce de nouveau dessus. 

Il essaye de me frapper mais je suis plus grand et plus imposant. Alors je le repousse de nouveau et il revient à la charge en hurlant de toutes ses forces. 

 – AMALYIA EST MA SOEUR. PAS LA TIENNE. ALORS ARRETE DE ME LA VOLER. 

Sa phrase me blesse et ma colère répondit à la place de la peine. Je le choppe par le col de son maillot et le rapproche de moi en cognant son front contre le mien. Je veux qu'il ai mal. D'un coup je sens des poings frapper mon ventre.

 – Lâche mon frère, espèce de grosse brute. Hurle une petite fille aux cheveux de jais.

Immédiatement, je lâche Esteban le laissant tomber au sol. Les poings de la princesse ne cessent pas pour autant de me frapper. Avec sa force de mouche, je ne ressens que de petite tape mais elle y mettait toute sa force. Doucement je prends ses poignets dans mes mains pour qu'elle arrête. 

Obsidian Flammer [T1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant