XIX : Hypersexualisation

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- Coucou Nina. Dis-je en m'approchant d'elle.

Elle me scrute un instant.

- Toi tu vas me demander quelque chose.

Je soupire.

- Je ne vais pas être là les trois semaines qui suivent.

- Pardon ?!

- D'habitude quand je prends des congés je ne gère pas les affaires et je ne te demande pas de prendre mon travail, s'ils viennent te voir pour des choses qui ne te concernent pas alors ignorent les.

- Éros ! Trois semaines ?! Je vais jamais réussir à m'en sortir sans toi !

- Nina tu t'en sortiras très bien sans moi.

- J'y arriverais pas !

- Mais tu l'as déjà fais.

- Parce que tu me supervisais ! Et si j'arrivais pas à quelque chose à qui je demanderais ? Je vais pas réussir si t'es pas là j'y arriverais pas.

Je pose ma tablette et la prends dans mes bras.

- Je vais pas réussir à gérer tout ce réseau toute seule c'est déjà dur à deux.

- Tu as les capacités pour le faire, tu manques seulement de confiance en toi.

- J'y arriverais pas Éros...

- Écoute, on va faire un deal. J'appelle Ennio et je lui dis qu'il vienne te voir tout les jours pour vérifier que tout va bien et toi en retour t'essaye de te faire confiance et de faire les choses seule.

Elle me serre davantage fort.

- Si je me plante tu m'en voudras ?

- Bien sûr que non. On fait tous des erreurs et chaque erreurs peut être réparé. Ne t'inquiète pas.

Je caresse son dos avant de la relâcher.

- Je te fais confiance. Et même si tu commets des erreurs c'est pas grave, même moi j'en ai fait, énormément. Et je ne t'en voudrais pas si tu en faisant aussi. Tout va bien se passer, je te le promets.

Elle revient dans mes bras. Ma petite choupette elle est mignonne, ça montre qu'elle tient vraiment à ne pas me décevoir.

Je passe la journée à lui montrer certaines choses qu'elle devra assurer en mon absence et à la rassurer.

Je préviens mes associés etc avant d'aller chercher Livia pour l'emmener au jet privé. Elle dit au revoir à son frère avant qu'on ne s'en aille.

Livia
Je m'allonge à côté de lui, essoufflée.

Faire l'amour dans un avion...

J'aurais jamais pensé.

Il me prend dans ses bras.

- Je savais pas qu'il y avait un lit dans les avions.

- Il y en a plusieurs. Et dans les jets privés il y en a un dédié au propriétaire du jet.

DÉSIR Où les histoires vivent. Découvrez maintenant