Voilà une semaine et demi que mon Wei Ying est renté de l'hôpital, il a repris les cours, même si les remettre en ordre à été une vrai plaie pour lui, au vu de sa motivation. Je me suis occupé de notre travail de communication, pour lui rentre la tâche plus facile. C'est une matière qu'il maîtrise parfaitement, ce n'est donc pas un problème pour lui. Je sais que maintenant qu'il est libre de pouvoir se déplacer, il va vouloir retourné dans son dortoir pour y récupérer l'amulette que nous avons cacher, il y a deux semaines. Je lui ai promis que nous irions ensemble, je préfère être avec lui lorsqu'il utilise la magie démoniaque. Il semble en avoir conscience et me comprendre. Ses rêves lui montre notre histoire, mais de son point de vu, peut-être qu'ils lui ont montré d'autres choses... qu'ils lui permettent de comprendre les sentiments que je n'arrive pas à exprimer.
Après une journée de cours plutôt calme, nous nous dirigeons vers son dortoire. Rien n'a changé dans sa petite chambre, en même temps depuis plus d'une semaine, il dort dans mon lit.
- Lan Zhan, je n'ai pas envie de retourner à ton dortoire, on peut dormir ici, s'il te plaît.
Arf... Ce visage, cette moue de boudeur suppliante...
- Mn.
En fouillant dans les placards, je trouve de quoi nous faire quelque chose pour manger, mon Wei est dans sa chambre, sur son... ce qui lui sert de bureau et examine déjà la moitier du Yin Hufu. Il est tellement concentré que quand je l'appelle pour manger, je n'obtiens qu'un "mm". Du coup, je lui ramène un bol de nouilles, lorsqu'il le voit, il me regarde avec de grands yeux interrogateurs.
- Mange.
- Lan Zhan, pourquoi tu ne m'as pas appelé ?
- C'est ce que j'ai fait.
- Oups, désolé, je devais vraiment être concentré !
Il attrape le bol que je lui tend et va s'asseoir sur son lit, je le suis et m'installe à ses côtés.
- Mais une chose est sûr, cette moitier de Yin Hufu pourrait faire de gros dégats entre de mauvaises mains, si elles savent s'en servir. Bien sûr, pas autant que celui que j'avais forgé à l'époque, mais bien assez pour prendre le pouvoir et tout renverser sur son passage, heureusement que nous sommes tombés dessus, affirme-t-il tout en mangeant son repas.
- Mn, mais...
- Nous l'avons récupèré trop facilement. Je suis d'accord, il nous a été donné pour une raison bien particulière. Il faudra être vigilant, dit-il en posant son bol sur sa table de chevet.Mon amour se retoutne vers moi et me saute au cou, je le connais, je sais ce qu'il va faire, alors je prend les devants et pose mes lèvres sur les siennes. Sa bouche est douce, si sucré, si bonne... Son odeur m'en ivre et en cet instant, je veux plus. Ma bouche quitte ses lèvres pour glisser le long de sa mâchoire, suivant les courbes de son cou délicat. J'entend sa respiration s'accélèrer, il penche sa tête sur le côté, me laissant l'accès à toutes la surface de la peau nu de son cou. Je respire vite et mon coeur bat plus fort, mais je ne peux pas aller plus loin sans son accord. Je me redresse et cherche ses grands yeux gris, lorsque j'y plonge, j'y lis le désir qui brûle en lui. C'est le même que le mien...
- Wei Ying ?
- Lan Zhan, je veux tous de toi, fais de moi ce qu'il te plaîra... tous les jours.
Alors qu'il me dit ses mots, je sens le souffle chaud qui passe entre ses lèvres, frôler mon visage, puis ses lèvres sont sur les miennes. Il m'en ivre, tout son corps est un appel à la luxure et je ne tiens plus, je le veux tout entier... Mes mains se glissent lentement sous son t-shirt que j'enléve, profitant pour passer mes pouces sur ses excroissances de chaires rosées. Wei Ying insprire profondément, alors que mes lévres parcourent son cou, la courbe de son épaule et que mes doigts taquinent doucement ses tétons. Je l'allonge sur son lit et je sors de ma poche de gilet, un minusule pot contenant un lubrifiant que j'avais pris le temps de faire pour ce jour spécial. Je le pose sur la table de chevet. Mes yeux parcourent mon amour, puis ma langue vient lapper le bouton de son pectoral droit, je ne peux résister de le pincer entre mes commissures, le suçant, le tirant. Alors que j'attrape le gauche entre mes lèvres, Wei Ying gémit en reprenant de l'air. Je malméne ses tétons, mes mains glissent sur son corps, je veux en connaître chaque parcelle, trouver chaque zone érogène qui font grimper le plaisir en lui. Ses mains se promène dans mon dos, je sais qu'il trace à nouveau le même chemin, à ce contact ma peau se grêle et frisonne. Je défais les boutons de son pantalon, quand sa voix entre coupée de longs soupires, résonne à mon oreille.
- Lan Zhan... pourquoi tu es.... encore habiller alors que je... suis pratiquement nu ? Ce n'est pas juste ! Moi aussi je veux te voir et toucher ta peau.Je ne me fais pas prier pour retire ma chemise et mon Wei pose ses mains dans mon dos pour reprendre son pélerinage, je ferme les yeux pour apprécier cette caresse. Au travers du tissus, je sens le pénis de mon amour contre mon bas ventre, ce qui me fait reprendre ma tâche et continue de le dévêtir. Les dernières barrières de tissus qui nous couvrent, rejoinent nos chemises sur le sol de la chambre. Ma virilité ne peut qu'être stimulé lorsqu'elle rencontre celle de mon Wei Ying. J'ouvre le petit pot qui dégage une forte odeur de coco et lotus, j'en enduis mes doigts de cette pâte huileuse. Tout en l'embrassant, je masse l'intimité de mon Wei, lorsque j'introduis lentement un doigt en lui, Wei Ying écarquille les yeux. Je le laisse s'adpter à la présence de mon doigt, je l'entend respirer plus vite lorsque mon doigt commence à se mouvoir en lui. Quand je sens ses chaires plus détendues, j'introduis un deuxième doigt, tout en continuant mes mouvements, massant lentement ses chaires délicates et chaudes qui seront bientôt miennes. Wei Ying ne peut retenir les gémissements de passer aux travers de cette magnifique bouche. Ma verge fièrement dressée commence à être douloureuse, je retire mes doigts. Wei Ying sait que je vais venir en lui, j'hésite, mais je vois le consentement dans ses yeux alors lentement je prend possession de son intimité. Mon Wei arrête de respirer pendant quelques seconds, je me stoppe pour lui laisser le temps.
- Lan zhan...
Aux coins de ses yeux, je vois se former quelque perles transparentes.
- Je suis là.
Ma voie n'est qu'un murmure, ma bouche vient posséder la sienne, je le sens se détendre, alors je vais plus loin. Wei Ying inspire contre mes lèvres.Pourtant c'est son bassin qui bouge en premier, m'insistant à venir au plus profond de lui. Je vais et je viens, lui rendant coup pour coup, à son rythme. Des petits soupirs d'aise franchisent ses lèvres, ce qui fait craquer ma raison. Je vais plus vite et plus loin entre ses reins. Je suis tellement bien... Je me sens enfin complet, je suis avec mon âme-soeur et je ne fais qu'un avec lui en cet instant. Dans cette étreinte, je me sens heureux et apaisé, car je sais qu'il est là, avec moi... Qu'il est bien vivant... Je sais qu'il en est de même pour mon Wei, je vois dans ses yeux l'amour se méler au désire. Je pousse plus fort, mes coups de bassin sont vigureux, plus que je ne l'aurais voulu mais je n'arrive à me repaître de ce corps, qui se moule à la perfection avec le mien. Lorsque je viens toucher la prostate de mon amour, il ne peut s'empêcher de crier mon nom. Cela m'en ivre de savoir que je suis le seul à lui faire autant de bien, je suis le seul à être entré dans son intimité... Sans déserrer notre étreinte je le retourne, il est tellement léger que je le souléve comme une poupée. J'attrape son beau fessier et l'attire à moi, c'est possition est intense, je suis tellement profond... Arf, je soufle, ma respiration est rapide et sacadée, mais je continu, je veux tout de lui.
- Lan Zhan... Han... Mon dieu... où as-tu appris à faire ça ? Va plus doucement... je... Han...
Wei Ying se répend sur les draps et moi en lui. Ma tête est posé sur son épaule, je repend mon souffle, ma virilité est toujours en lui et recommence déjà à palpité... Je le veux... encore... Alors que je recommence à l'embrasser dans le cou, la nuque, les épaules. Mes mains parcourent à nouveau sa peau délicate, repassant par ses tétons et ses magnifiques fesses. Je retourne une nouvelle fois mon amour, je veux voir ses yeux au moment de la jouissance. Je suis le seul à qui il montre ce visage emplit de désir. Il semble fatigué, mais sa verge se dresse aussitôt que je touche ses bouts de chairs rosés de son torse. Mes coups de reins viennent à bout de sa raison.
- Han... Han Guang-Jun est si puisant, Yiling Laozu est toalement vainçu... Lan Zhan embrasse-moi.
A ses mots, je prend possession de ses lèvres gonflées et rougies par nos précédants échanges, nos langues se carressent, se mélangent, s'aiment. Mes coups de reins sont de plus en plus profonds, frappant à chaque pénétration ce bout de chair qui fait gémir mon Wei plus fort. J'arrive au bout de mes limites, je ne retiens plus mes va-et-vients, les gémissements de mon Wei Ying m'indique que lui aussi est au point de non retour... Je le pénétre fort, nous partons ensemble dans la jouissance, lui se répendant sur nos torses, moi en lui. Je m'éffondre sur lui, mon front va à la rencontre du sien. Nous restons ainsi longtemps, ne voulant ni l'un, ni l'autre être séparré. Je sens mon Wei Ying grolotter, je décide de me déclaler pour nous recouvre de la couverture. Wei Ying vient se coller à moi et comme tous les soirs enfouit son visage dans mon cou. J'adore ça.
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Le rêve d'une autre vie.
Teen FictionLan WangJi et Wei Wuxian sont des adolescents comme les autres, ils ne se connaissent pas. Depuis plusieurs mois, Lan WangJi fait des rêves étranges du passé ? D'une vie qui n'est pas la sienne, d'un époque qu''il ne connait pas. Malgré cette distan...