🔞 Chapitre 45 : Repas copieux.🔞

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Nous avons encore parlé longtemps avec mon frère et Yao Gege, qui sont parti assez tardivement, avec beaucoup de chose en tête. Peut-être que de leur avoir dévoiler une partie de notre autre vie, va déclancher les mêmes rêves que nous... Ce n'est qu'une hypothèse, qui je l'espère ne se réalisera pas. Car je ne sais pas comment ils réagiraient l'un et l'autre en apprenant le chaos et les tromperies de cette vie là. Je sais que je ne devrais pas, mais au fond de moi, la mort de Su She me soulage grandement, maintenant je sais que mon amour ne risque plus rien. Je décide de l'emmener au restaurant, peut-être pour célébrer le fait de savoir que maintenant plus personnes de notre vie antérieur ne viendra essayer de mettre fin aux jours de mon amour. Wei Ying est surexité par cette proposition et se précipite dans la salle de bain en criant.
- Je vais à la douche.
- Veux-tu que je vienne avec toi ?
- Lan zhan, sous tes airs de vieux-jeux rabat-joie, tu es un vrai pervert, affirme-t-il en passant sa tête par les pans de la porte.
- Rectification, je suis comme ça parce que c'est toi.
Alors que Wei Ying se faufile dans la salle de bain, son visage est illuminé d'un immense sourire, celui-là même qui réchauffe mon être. J'attrape mon télèphone et cherche un restaurant bien quoté près de la faculté. J'en trouve plusieurs qui me semble bien, mais finalement aucun d'eux ne plait réelement. Je choisie l'option d'aller dans le petit restaurant qui fait l'angle. A chaque fois que père vient en ville nous allons dans cet endroit avec XiChen, je n'ai jamais été déçu. Quand mon Wei sort de la salle de bain, entouré d'une simple serviette de bain, un instant l'idée de rester au dortoire me travers l'esprit. Il faut bien reconnaitre que son corps est scultural, sa peau telle douce, et ses lèvres si... je me ressaisi et passe par la salle de bain à mon tour, je me lave en vitesse, mais la vue de mon Wei en tenue d'adonis ne me quitte pas vraiment.

Nous quittons l'appartement, Wei Ying est accroché à mon bras et comme à son habitude s'étonne de tout ce qui capte son regard. Le temps s'est raffraichi, mais le restaurant n'est pas très loin, j'ai toute fois prèvu un trench fin. Wei Ying comme à son habitude est parti au "feeling"... je sais qu'il aura froid ce soir. Lorsque nous entrons dans le petit restaurant, les yeux de mon Wei brillent comme ceux d'un enfant devant un nouveau jouet, comme ceux de notre A-Yuan devant ses nouveaux jouets, intérieurement je souri. Je demande au serveur de nous mettre dans une des alcôves plus éloignés de la grande salle, un plus intime et un peu plus... romantique. Je commande les plats alors que Wei Ying profite de l'intimité du lieu.
- Patron, mettez une bouteille de BaiJiu, demande Wei Ying qui jusqu'ici m'avait laisser prendre les commandes.
- Bien, Monsieur, ce sera tout ?
- Mn.
Assis l'un en face de l'autre, j'apprécie la vue, les lumières tamisées donne à mon amour, une apparence sensuelle et féline. Le souvenir de Wei Ying traversant le couloir du dortoire avec une serviette pour seul vêtement me revient... mes oreilles chauffent.
- Lan Zhan ?!
- Mn.
- A quoi tu penses pour avoir les oreilles toutes rouges ?
Me voilà pris en flagant délit de pensées indécentes... je préfère me taire... Mais Wei Ying n'est pas de cet avis, soudain je sens son pied caresser doucement mon mollet et monter vers mes cuisses.
- A toi sortant de la douche, tout à l'heure, j'affirme rapidement dans l'espoir de le faire s'arrêter.
- Lan Zhan, si le vieu Qiren... je veux dire ton oncle était là, il en saignerait du nez, s'offusque faussement mon Wei.
- C'est mon professeur de biologie et anathomie.
- Euh... Pu...rée... alors tous les gens qui nous entour sont de notre autre vie !

C'est le moment que choisit le serveur pour ramener nos plats et l'alcool de mon amour, il repart rapidement, apparemment embarrassé de servir un couple d'homme, mais nous n'y prêtons pas d'importance. Je commence mon repas en silence, mais Wei Ying n'arrête pas de parler, c'est à se demander comment il fait pour manger au même rythme que moi. Alors que j'allais mettre mes baguettes en bouche, je sens de nouveau le pied de mon Wei sur mes cuisses, puis sur mon sexe, je me stoppe, le regarde, s'il continu à jouer avec moi, je vais le prendre sur cette table. Mais Wei Ying en rajoute en attrappant un morceau de Jièlàn (légume chinois) entre ses baguettes et en suce doucement la tige. Je passe ma langue sur mes lèvres et déglutis difficilement.
- Wei Ying, si tu continus, je peux t'assurer que nous ne finirons pas ce repas.
- Mmmm, intéressant... Murmure mon amour avant de partir en éclat de rire. HanGuang-Jun n'es-tu pas la personne la plus forte du monde ?
- Non.
- Bien, je vais arrêter mais c'était marrant quand même, continu-t-il toujours en riant. Veux-tu m'excuser, je vais me laver les mains.
Mon Wei se lève et se dirige vers les sanitaires du restaurant, se faisant il me laisse apprécier les coubes de son corps, notamment le robondi de ses belles fesses. Je déglutis une nouvelle fois, j'ai chaud, j'ai soif... je vide mon verre d'une seule traite... Je souffle et essaye de me calmer, mais rien n'y fait. Je me lève et me dirige à mon tour vers les toilettes, lorsque j'entre, je constate qu'en dehors de mon Wei, elles sont vide. Je ferme la porte à clé derrière moi.
- Hey Lan Zhan, tu...
Je plaque mes lèvres sur les siennes et l'embrasse avec fougue, caressant sa langue avec la mienne, je ne quitte sa bouche que quand le souffle vient à me manquer. Les yeux de mon Wei sont dilaté, empreint de désir, tout comme les miens.
- Rentrons, me souffle-t-il.
Ma bouche est déjà dans son cou, mordillant, sucottant, lêchant sa peau délicate, j'entend quelques murmures franchirent les lèvres de Wei Ying.
- Han ! Lan Zhan, rentrons... On risque de nous entendre...
- Alors je te conseille de fermer cette bouche.
- Mais Lan Zhan, je suis né avec cette bouche...
Je pince ses excroissances au travers du tissu de son t-shirt, le privant d'air, ce qui a pour effet de le faire taire. Je le pousse contre le bord du meuble de l'évier, soulève son t-shirt pour lapper son têton droit. Mon Wei gémit à cette caresse rugueuse, je le regarde en pincant ses excroissances rosées entre mes doigts et mes lèvres. Wei Ying se tient en appuis sur le rebord du meuble, sa tête se laisse aller en arrière, et de doux gémissements passent au travers de ses belles lèvres. Je les veux, je les prend... Je l'embrasse à nouveau avec amour et intensité, fougue et passion, je ne repais de ses baisers...
- Wei Ying, je t'aime tellement, je chuchote au creux de son oreille.

Je le sens frémir à cette phrase qui vient le caresser comme le ferait mes mains. Je me sens déjà dure et serré dans mon pantalon, mais quand Wei Ying pince ma virilité au travers de  mon pantalon, je grossi encore. J'ouvre le Jeans de mon Wei, passe mes mains dans son boxer, empoigne ses fesses pour les malaxer, les caresser. Wei Ying lui aussi a ouvert mon pantalon pour liberer mon érection, qu'il caresse dans de long mouvement de va et vient. Je ne peux attendre alors après avoir mouillé mon doigt au lavabo, je l'insère dans l'intimité de mon amour. Au même instant, je plaque ma bouche sur la sienne, ce qui étouffe son gémissement. Tout en continuant mes mouvements avec application, dans son antre et dans sa bouche, je glisse un deuxième doigt en lui. Mon Wei ferme les yeux se laissant submerger par le plaisir que lui procure mes caresses. Je le retourne et baisse son pantalon vivement, puis dans un même mouvement j'introduis ma hampe en lui et mes doigts dans sa bouche, pour étouffer son plaisir.
- Suce, lui dis-je à l'oreille.
Mon amour s'excute, ses lèvres glissent le long de mes doigts et moi je m'enfonce en lui. Mes coups de butoire d'abord lent, s'accèrent en même temps que notre plaisir. Je vois le visage de mon Wei dans le miroire au dessus de l'évier, il est beau quand le plaisir prend possession de son corps magnifique. Mon amour attrape le rebord de l'évier pour se maintenir, alors que j'accélère encore la cadence de mes va et vient. Des gémissements de plaisir s'échappent de ses lèvres malgrès mes doigts. Je fais glisser ma main le long de cou, puis de son t-shirt et pince son têton au travers du tissu en disant.
- Tais-toi, si tu ne veux pas qu'on nous entend.
Wei Ying se raidit, puis je le vois se mord la lèvre pour éteindre ses gémissements, il n'en est que plus sensuelle. Maintenant c'est moi qui doit contenir mes cries devant un tel spectacle. Je serre les mains sur ses hanches et m'enfonce au plus profond de lui, au plus profond de ses chaires délicieuses. Je sens que je vais venir, alors j'attrape le sexe de mon Wei entre mes doigts et y applique de rapide mouvement de va et vient. Ma virilité se déverse dans l'antre de mon amour, quelques secondes après, sa verge se libére entre mes doigts.

Je suis aussi à bout de souffle que mon Wei, je pose ma tête sur son dos, le temps de retrouver une respiration normale. Wei Ying se passe de l'eau sur le visage, je prend du papier destiné à s'essuyer les mains et nettoie l'entre jambe de mon amour, puis en fait de même pour moi. Une fois tous les deux presentables, je l'attrape dans mes bras et dis.
- Qu'est-ce que tu m'as fait ?
- Du bien, Lan Zhan, déclare-t-il en passant ses bras autour de mon cou.
- Mn.
Alors que nous sommes dans notre cocoon, le bruit de quelqu'un qui s'acharne sur la porte nous fait sursauter.
- Mais qu'est-ce qui se passe ? Garçon...
La voie s'éloigne, je décide d'ouvrir la porte, je sors en premier et me dirige vers notre table discrétement, mon Wei me rejoint peu à près. Je dois avoué que je n'ai plus très faim maintenant, je paie et nous prenons la direction du dortoire, ou notre lit nous attend.

Le rêve d'une autre vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant