Le rêve d'une autre vie.

🔞Chapitre 52 : Epilogue.🔞

Voilà presqu'un an que Wei Ying et moi avons détruit le Yin Hufu, un an que nous vivons toutes nos journées ensemble. Un an d'amour, de passion et de crises parfois. Je n'échangerais cette vie pour rien au monde, alors même si je dois travailler pour financer mes études, car mon père a mis sa menace a exécution, et que la fatigues me tiraille souvent, j'aime toujours autant les bras réconfortant de mon amour. Mon Shufu m'aide comme il peut pour que je puisse continuer mes études, je lui en serais à jamais reconnaissant, je pense que depuis qu'il a récupéré ses souvenirs d'antant, il nous considère, XiChen et moi comme ses propres fils. Wei Ying est définitivement venu s'installer dans mon dortoire, il participe aux frais en divisant ma part en deux, et de temps à autre il vend quelques toiles économisant pour l'insciption de ma prochaine année à la faculté. Bien que je lui répéte sans arrêt que ce n'est pas nécessaire. C'est le principal sujet de dispute entre nous, il veut m'aider, alors que j'ai du mal à accepter cette aide. Le dortoir est plus calme ces dernier temps, il est vrai que l'absence de Jiang WanYin y est pour beaucoup. Depuis qu'il fréquente la jeune médecin Wen, nous n'avons plus autant d'occassion de le voir, et par la même de nous tirer dans les pattes. J'ai l'impression qu'elle le canalise assez bien. Les rêves de notre première vie sont toujours présent dans notre vie actuelle, mais ne nous nous préoccupent plus vraiment. A part quelques chasses nocturnes et autres quêtes, ils ne nous apportent pas de grand changement. Toutefois certains objets magiques piquent souvant ma curiosté, comme ce brûleur d'encens... Je tenterais bien de le retrouver mais je ne sais pas par où commencer.... Aujourd'hui, c'est notre anniversaire de mariage, celui de notre première vie, le premier de nombreux autres, je prépare une sortie au restaurant pour mon Wei, il est vrai que dans notre premier vie, je ne ratais pas une occassion pour lui montrer mon amour. Je l'ai invité à se préparer et à se faire beau. Alors qu'il travers le couloir seulement vêtue d'un essuie autour de la taille, je parcour ses coubes sans honte. Je me resaisis et passe moi-même par la salle de bain. C'est avec étonnement que je ne trouve pas les vêtements que j'y avais laissé plutôt, je me pare le bassin d'une serviette, et me dirige vers ma chambre, ça ne peut-être que mon Wei. Que prépare-t-il encore ? S'il continue comme ça, on va finir par être en retard pour aller au restaurant. Je suis furieux quand j'ouvre la porte de ma chambre, mais le spectacle qui se jout devant moi, me fait tout oublier.

Wei Ying est là devant moi, beau à en mourir, vêtu d'un Han fu, non de son Han fu. Celui qu'il portait dans notre première vie, d'un noir profond brodé de rouge. Je respire si vite, mes émotions se mélangent et je ne sais si je suis heureux, triste ou envieux. Je sens une larme couler sur ma joue, puis les doigts de mon Wei, qui l'essuyer doucement.
- Lan Zhan, joyeux anniversaire.
Je reste là, sans rien dire car je ne sais pas quoi dire, je suis pris un tourbillon d'émotion et d'amour si intense que je me sens perdu.
- Aiya Lan Zhan ! J'ai fait tant d'effort pour refaire ce Han fu et tu ne réagis même pas, s'offusque faussement mon Wei avec un immense sourire.
J'attrape sa taille et le rapproche au plus près de mon corps et l'étreins aussi fort que je ne le puisse sans lui faire de mal. Le contact avec le tisssu d'une douceur prodigieuse, me fait chavirer le coeur, me ramenant dans une autre vie.
- Lan Zhan, je suis sûr que tu veux juste m'aimer, mais là, je veux juste respirer, assure Wei Ying.
Je le relâche doucement et pose ma bouche sur la sienne, je l'embrasse avec tout mon amour, je veux voir ses belles lèvres prendre cette couleurs rouge, et se gonfler sous l'assaut des miennes. Je les quittes avec regret, quand le souffle vient à me manquer, je peux voir les yeux gris de mon amour se dilater, et s'embuer de désir.
- Oublie le restaurant.
- Lan Zhan quand tu me parles comme ça, je frissonne.
Je pose mes lèvres son cou délicat pour y parsemé des baisers, Wei Ying penche sa tête pour m'offirir plus d'accés, et profité de mes lèvres. Mes mains glissent doucment sur l'encolure de son Han fu, je me délecte de cette douceur, qui me ramène des siécles en arrière. Je passe mes doigts sous les couches de tissus et dénude les épaules de mon amour, pour le couvrir de baisers. Je prodigue ce soin sur chaque parcelle de peau.
- Lan Zhan, défait ma ceinture, je ne peux plus bouger les bras, et moi aussi je veux toucher !
- Non.
- Quoi ?! Mais pourquoi ?
Je ne répond pas et je continu de couvrir mon amour de mes lèvres. Je pousse doucement mon Wei sur notre lit, il est tellement beau, tellement sexy, cela est tellement indécent. Ma respiration et mon coeur s'accelèrent lorsque je m'allonge à ses cotés. Ma main glisse sur cou, puis sur son torax jusqu'à atteindre ses execroissances de peau rosée que je pince doucement. La respiration de mon Wei s'en fait plus forte et plus rapide. Je m'en hardis, je prend son téton gauche entre mes lèvres et le suce, le mordille, le vénère. Lorsque je suis satisfait de la couleur rouge et du gonflement de ce dernièr, je m'attaque au droit. Mon Wei gémit de plus belle, me suppliant de mettre fin à son attente et de passer aux chose sérieuse. Je ne lui donne qu'une seule réponse.
- Non.
- Lan Zhan, je suis déjà dure, libère- moi.
- Non.

J'aime le voir ainsi, les yeux remplient de plaisir et d'envie, de passion et d'amour, juste pour moi. Je suis le seul qui ait le droit de le toucher de cette façon, je suis le seul qui ait le droit de le voir si beau lors de la jouissance. Et j'aime ça. Je me redresse et dans un mouvement fluide, je lui retire ses bottes et son pantalon. J'attrappe son pied et pose mes lèvres dessus, ce qui semble le prendre de court. Ses grands yeux gris s'agrandissen et se dilatent. Mes lèvres remontent lentement le long de sa jambe jusqu'à mi-cuisse, je prend son autre jambe et refait ma même action. Je vois bien que le tissu du boxer de mon Wei est tendu par sa virilité fièrement dressée, mais je continu de vénérer son corps sans pour autant m'en approcher. Je lui retire le morceau de tissu, profitant pour palper ses belles fesses. Wei Ying ne peut retnir ses gémissements qui sonnent comme une douce mélodie à mes oreilles.
- Lan Zhan, s'il te plaît...
- S'il me plaît quoi ?
- Touche-moi... S'il te... c'est un ordre... Lan Zhan, finit-il par affirmer.
Cela me fait sourire, mais je m'exécute et lèche timidement le gland gonflé de mon Wei. Les son qui passent autravers des lèvres de mon amour, me prouve son plaisir. Je suce et lèche sa verge dans son entièreté, dans de long mouvement de va et vient.
- Han... Lan-Er-GeGe, je...

Mais mon Wei ne finit pas sa phrase et libère dans ma bouche un long jet blanchâtre de plaisir. Je me redresse pour le regarder, le souffle court et les yeux fermés, Wei Ying est le paroxysme de la luxure. J'enduis mon sexe de mon lubrifiant maison, puis défais rapidement la ceinture du Han fu de mon Wei. Ce dernier encore perdu dans la déferlante de plaisir, ne se rend pas compte que je viens de le libèrer de ses entraves. Je me place devant son intimité et le pénétre doucement. Les yeux de mon Wei s'ouvre grand, cherchant mon regard, qu'il trouve rapidement. Il a du y trouver mon amour et ma passion, car il me sourit. Je sais que je ne l'ai pas préparé, alors j'attend que son corps se détende, lui prend conscience de sa liberté et passe ses bras autour de moi pour caresser mon dos et mes cicatrices. Je m'enfonce plus loin dans l'intimité de mon amour, soupirant d'aise d'être en lui, de ne faire qu'un avec lui. Je me sens tellement entier quand nous nous aimons que je ne peux envisager une autre issue à nos journées. Alors que je me plonge au plus profond de ses chairs, je sens la virillité de mon amour se gonflé contre mon abdomen, je commence de long et lent mouvement de va et viens, mais comme toujours Wei Ying est insistant, préssant son bassin contre le mien. J'accelère le mouvement lui rendant coup pour coup, m'enfonçant toujours plus loin pour touché la prostate de mon amour. Lorsque mes coups de rien frappent ce bout de chaire aux milles délices, mon Wei ne peut s'empêcher de génir mon nom. Et alors que je me perd dans les profondeur de son intimité, je le caresse, l'embrasse, le mordille, et le vénére, laissant sur son corps magnifique de belles marques rouges, prouvant aux yeux de tous et surtout les siens que je l'ai aimé du plus profond de mon être.
- Han... Lan Zhan... Je... Lan-Er-GeGe...
Mon amour jouit une deuxième fois sur nos torses, je me laisse aller à mon tour, et le suis dans la jouissance.

Je respire vite et mon coeur bat fort, je me sens épanouie, j'ai le sentiment que rien ne pourrait plus m'enlever ce bonheur. Je me laisse tomber sur mon Wei, je le regard, je souris, je suis heureux.
- Han Guang-Jun, c'est moi ou tu souris !
Je ne répond pas mais mon sourire se fait moin timide.
- Lan Zhan regarde, à cause de toi, mon Han fu est tout sale, assure-t-il avec ce visage de boudeur tout mignon.
- Je le laverais.
Nous allonge l'un contre l'autre sous les couvertures, je n'ai plus envie de bouger, je veux juste être là, dans les bras de mon amour.
- Lan Zhan, j'ai refais faire le Han fu des Lan de Gusu aussi, affirme mon Wei qui s'est juché sur ma poitrine.
- Hein ?
- Mn, tu as bien compris, toi aussi tu as ton Han fu de notre première vie. J'ai du faire appel à tous mes souvenir, mais tu as un beau Han fu brodé de nuages à la dérivent. Je t'aime mon Lan WangJi, Han Guang-jan... Lan-Er-GeGe.
- Mn, moi aussi
Je serre mon Wei dans mes bras, même si je ne lui dis pas souvant mon Wei sait que je l'aime, et que je ne vis que pour lui. Mais aujourd'hui est un jour spéciale alors...
- Je t'aime Wei Ying et je veux t'épousé.

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Fin

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Chèr(es) fan de la culture démoniaque et des nuages à la dérivent, je tenais à vous remercier tous et toutes🫰🙇‍♀️. Vos commentaires m'ont touchés énormément, et si je suis arrivé au bout de cette fanfic, c'est aussi grâce à vous. Alors un tout grand merci.❤️